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Gabon : Omar Bongo et son fils Ali Bongo détroussent l’état de 20 millions d’Euros
Yapako Kongo

6 février 2006

par Lu pour vous

BDP, 17-01-2006 :

Les fameux dons d’Omar Bongo à la marine et à la gendarmerie nautique ne seraient, en fait, qu’une autre manoeuvre mafieuse de détournement de déniers publics de la part de la famille maudite de Bongo Ondimba pour détrousser l’état gabonais de 20 millions d’Euros. C’est ce que le BDP-Gabon Nouveau a appris de source sûre proche de la famille maudite.



C’est en effet ce lundi 16 janvier 2006 (hier) qu’Omar Bongo a, à grandes pompes, fait un "don" de douze vedettes à la marine et à la gendarmerie nautique. C’est du moins ce que l’agence de presse Gabonews aurait rapporté. Ce que Gabonews a cependant manqué de réveler c’est que :

1) Ceci ne pouvait pas être un "don" personnel de Bongo vu que l’opération s’est faite au travers d’un contrat financé à cent pour cent par l’Espagne spécifiquement pour l’achat de bateaux pour la marine et la gendarmerie.

2) L’opération a coûté la bagatelle de 20 millions d’Euros, soit près de 13,5 milliards de F CFA, remis à l’état gabonais sous forme de prêt par l’Espagne.

MAIS, à la surprise générale, on découvre en fait qu’au lieu d’allouer 100% de l’argent remis par l’Espagne à l’achat de bateaux, achat qui devait se faire auprès du constructeur espagnol RODMAN, la famille Bongo aurait détourné 50% de la somme pour acheter deux yachts privés au profit exclusif de Bongo et de son fils Ali Bongo. Bongo se serait ainsi octroyé un yacht personnel de 30 mètres tandis que son fils se serait contenté de celui de 24 mètres. Ces yachts sont actuellement visibles au Port Mole de Libreville (nous savons que dès lecture de cet article, ils vont les dissimuler).

Pire, la famille Bongo n’aurait alloué que 30% de la somme à l’achat des fameuses douze vedettes acquises au profit de la marine et à la gendarmerie nautique, le reste de l’argent, c’est-à-dire 20%, étant allé dans la poche d’Ali Bongo et ses complices sous forme de commission par l’intermédiaire de trois personnes : un certain Henri Pozzo di Borgo-Bourcier qui serait un escroc de réputation internationale ayant sévi un peu partout en Afrique où il serait interdit de séjour dans plusieurs pays, le Général Ibaba, un Gabonais d’origine sénégalaise et un certain Maixant, Conseiller et Directeur du Cabinet militaire pour le second conseiller financier du Ministre de la défense, qui n’est autre qu’Ali Bongo. Maixant serait un Gabonais d’origine béninoise à l’origine de l’affaire du Béninois retrouvé mort il y a quelques temps à l’Hôtel Méridien de Libreville.

Ainsi, la distribution de l’argent prêté par l’Espagne se serait faite selon le modèle suivant : 50% pour l’achat des deux yachts privés de Bongo et de son fils Ali, 20% pour les Commissions et seulement 30% pour les douze vedettes. De source bien informée, les vedettes en question ne seraient même pas armées.

Les deux yachts acquis par Bongo et Ali viennent ainsi grossir la petite flotte privée de la famille maudite. On se souviendra que Bongo avait déjà offert à sa femme Edith Sassoun Nguesso un yacht de 30 mètres qui, selon la rumeur, était un simple "don" des "amis" corses de Bongo. La flotte de la famille maudite se compose donc désormais de 3 yachts : un yacht de 30 mètres pour Edith, un yacht de 30 mètres pour "Papa" et un yacht de 24 mètres pour le plus nigérian des "Papamadis".

En gros donc, Omar Bongo, Ali Bongo et leurs complices dans cette transaction aurait détourné 70% de la somme totale de 20 millions d’Euros, soit 14 millions en tout, ne laissant pour l’achat des vedettes de la marine et de la gendarmerie nautique que 30%, soit seulement 6 millions d’Euros.

La multiplication des "dons" ces derniers temps par Omar Bongo semble donc de plus en plus trahir une nouvelle méthode d’enrichissement illicite de la part de la famille Bongo, une famille maudite qui semble avoir trouvé comme moyen d’enrichissement le simple fait d’aller demander de l’aide, donc de l’endettement, aux pays occidentaux pour des petits projets par trop chers comme l’achat de bateaux ou de voitures. Mais une fois l’argent déboursé par les bailleurs, il est tout de suite détourné par la famille maudite qui donne quelques miettes aux organes pour lesquels le prêt a été octroyé, mais gardant pour elle-même entre 50 et 70% de l’argent, comme on vient de le voir avec les bateaux de la marine et de la gendarmerie nautique.

Si l’on en croit les rumeurs, la construction par les Chinois des immeubles devant abriter le Sénat, l’Assemblée nationale et le palais de l’information a été faite sur le même modèle :

1) La famille maudite convainc un état étranger de la nécessité pratique d’aider le Gabon à construire un immeuble ou acquérir un bien important pour l’état.

2) Evidemment, le projet est surestimé à la source, pour donner une marge suffisante aux complices qui de préférence utilisent un intermédiaire expérimenté dans ce type de combine,

3) le prêt est accordé et versé dans les caisses de l’état et,

4) La famille maudite se sert sur la marge prédéterminée par elle.

Et c’est le Gabon qui se retrouve endetté, devant par la suite rembourser une dette qui est, en fait, aller grossir les poches de la famille maudite.

La question c’est : les Gabonais vont-ils continuer ainsi à se laisser tromper par les suceurs de sang de la famille Bongo ?

Le BDP-Gabon Nouveau appelle donc les Gabonais, lycéens, étudiants, chômeurs, militaires et policiers à rejoindre Le Mamba, sa branche armée, pour mettre fin au dépeçage du Gabon par la famille maudite.

Source : BDP-Gabon Nouveau

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