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France : " Le génocide imaginaire en République du Congo ", Michel Innocent PEYA rétablit toute la vérité face à la Presse internationale et à la Diaspora congolaise à Paris

« Le génocide imaginaire en République du Congo : chantage contre l’unité nationale et toutes formes d’assistances », le nouvel ouvrage du Docteur Michel Innocent Peya paru aux éditions l’harmattan a été présenté le week-end dernier à la presse internationale et la diaspora congolaise de Paris.

Cet ouvrage de 200 pages, vient éclairer les congolais ainsi que la communauté internationale sur des accusations infondées de "génocide", proférées par une frange minoritaire des congolais haineux qui ont fait le choix de l’exil en France. Ces pseudo-opposants sont visiblement animés par la soif du tribalisme et de la division voire de stratégies politiques machiavéliques inavouées.

« Un mensonge peut faire le tour de la terre, le temps que la vérité mette ses chaussures. » C’est par cette pensée de Mark Twain que le Dr Michel Innocent Peya commence l’introduction de son ouvrage. Une occasion qui lui est offerte de débattre d’un sujet inconnu dans l’univers politico-social de son pays le Congo : " Le génocide des Laris ".

« Ma mission n’est pas de dresser une tribu contre une autre, mais plutôt de démontrer scientifiquement, preuves théoriques et empiriques à l’appui, que le génocide des Laris dans le département du Pool est une construction imaginaire motivée par le désir de briser l’unité nationale et les progrès économiques de la République du Congo » , a déclaré Michel Innocent Peya, répondant aux questions de la diaspora et de la presse internationale.

« Malgré les efforts inlassables des autorités politiques en place dans la recherche de la paix et la stabilité du pays, certains compatriotes en mauvaise posture politique recourent à des méthodes machiavéliques pour troubler la paix sociale afin d’atteindre leurs objectifs égocentriques. L’instrumentalisation de la population du département du Pool par ces vendeurs d’illusions a été toujours à l’origine des rébellions et mouvements subversifs.

Cet ouvrage vient éclairer la religion de chacun dans la compréhension d’un plan de diabolisation et de la haine vouée ou inavouée aux dirigeants politiques en place au Congo-Brazzaville, cette haine animée par la volonté de nuire par tous les moyens à l’autre qu’on estime responsable de ses propres échecs politiques et personnels.

Cet objectif n’étant pas atteint au niveau national à travers la manipulation d’un groupe social, qu’ils estiment selon eux victimes d’injustices, de marginalisation par les pouvoirs successifs, ces compatriotes sont alors passés à la vitesse supérieure pour tenter d’instrumentaliser l’opinion et la justice internationale par des accusations grotesques, calomnieuses et de contrevérité sur le prétendu génocide des Laris » , a-t-il ajouté.

Dans son ouvrage de cinq chapitres, Michel Innocent Peya explique, avec luxe et détails, que « les groupes ethniques qui coexistent dans le territoire congolais revendiquent chacun leurs particularités, mais aucun d’entre eux n’a cherché à mater ou anéantir l’autre pour prendre possession du territoire et asseoir son hégémonie.

Néanmoins, les manipulations politiques, l’instrumentalisation sont parfois arrivées à muter cet élan républicain en clivages ethniques. La guerre civile qu’a connue le pays et les rébellions à répétition dans cette partie du pays n’ont jamais ciblé une ethnie par rapport à sa race, sa religion ou sa conviction politique. »

Les mobiles des mécontentements de ces opposants se revendiquant exclusivement du département du Pool ne se trouvent pas dans les prétendues injustices dont ils font l’objet de la part des pouvoirs successifs au Congo Brazzaville, mais dans le messianisme politique mal transmis aux générations d’aujourd’hui.

Aujourd’hui, comme hier, force est de constater que jamais un pouvoir n’a autant servi les ressortissants de la région du pool, que celui du Président Denis Sassou N’Guesso, par le nombre des membres du gouvernement, des directeurs généraux et centraux, des Hauts magistrats etc...Il est difficile de soutenir que le prétendu « génocide » ait pu se décider puis se concrétiser avec l’aide des filles et fils du pool, qui pour nombreux occupent des responsabilités et se revendiquent de ce pouvoir !

C’est un faux débat qui permet d’entretenir leur projet de voir encore l’un des leurs s’ériger à la tête du pays dont ils s’empresseront de mettre encore en difficulté. Nous sommes maintenant convaincus, sans peur d’être contredits, qu’il n’y a jamais eu un quelconque génocide au Congo Brazzaville.

En, effet, aucune ethnie n’a fait l’objet d’un projet d’extermination par rapport à sa race, ses convictions ou ses aspirations politiques ou encore religieuses.

Aucun projet génocidaire n’a été planifié, coordonné et exécuté par un quelconque pouvoir au Congo, contrairement aux autres cas de génocides à travers le monde.

En définitive, le génocide des Laris est un non-sens, une absurdité au Congo comme une simple vue de l’esprit. Ce qui doit nous animer, c’est travailler à développer notre espace convivial pluriel aux fins de le rendre le plus harmonieux possible, a conclu l’auteur avec une clarté biblique.

Sources - Jack de MAÏSSA / Les Echos du Congo Brazzaville

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