les enfants du PCT de Marien Ngouabi

Débats sur le Congo, réflexions sur ce qui s'y passe, sur son avenir, la recherche de solutions.

Re: les enfants du PCT de Marien Ngouabi

Message par sycie l'impérative » Ven 12 Août, 16 4:58

T'es pas doué ??? Tu parles pas Japonais ???

Collez la cougar ???

Réponse de la petite, saigner les tontons !!!

https://www.youtube.com/watch?v=JWeusMgdvSw

Passage à la caisse !!! On a finit de souffrir !
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Message par sycie l'impérative » Ven 12 Août, 16 5:04

Laisses tomber les petits Mous'

https://www.youtube.com/watch?v=sGf4c0bRTu8

Niska - Mustapha Jefferson
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Message par sycie l'impérative » Ven 12 Août, 16 5:08

L'homme qui avait la poisse

Sade est ce que l'on appelle aujourd'hui un " loser ". Il a vraiment la poisse.

Sade est ce que l'on appelle aujourd'hui un " loser ". Il a vraiment la poisse.

Il se fait emprisonner alors que tout autre, muni de sa fortune, passerait sans encombre. La prise de la Bastille aurait pu faire de lui un héros ; il la rate de 10 jours et y perd tous ses manuscrits. Il se fait soupçonner de délits qui lui sont étrangers. Ses biens sont mis sous séquestre par erreur. Il se fait plumer par des escrocs.

De plus, avec le " divin " marquis, nous sommes bien loin de la liberté sexuelle. C'est un jules à l'esprit étroit, qui bat sa femme qu'il soupçonne d'infidélité.
Contrairement à dom Juan, il ne fait pas de conquêtes féminines ; il fait des achats. C'est un riche, qui s'offre des plaisirs tarifés.

Il n'a manifestement aucun prestige. Sa femme prend l'initiative de le répudier. Les mendiantes et les prostituées auxquelles il s'adresse n'hésitent pas à le dénoncer et à le traîner en justice.
Emprisonné pendant des années, il n'arrive pas à se faire juger.

A partir du XXème siècle, Sade devient un mythe républicain, emblématique de l'audace et de la transgression. Adorer Sade et choquer les passants, c'est donner des preuves de liberté. Cela équivaut, pour la petite bourgeoisie voltairienne, à " chanter les paillardes romances qui font peur aux nonnettes ", comme disait Jacques Brel.



Si on te traite de Brel, ou de Branquignol c'est pas un compliment....
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Re: les enfants du PCT de Marien Ngouabi

Message par sycie l'impérative » Ven 12 Août, 16 5:11

Mythologie de l'audace et de la transgression

Ce n'est qu'un mythe.. Si tu y croies et que tu veux faire de ta vie un mythe, c'est que t'es mythomane....

les guerres de Religion étaient le produit des luttes des grands clans nobiliaires : Guise, Bourbons, Montmorency.


Des intriguants...
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Re: les enfants du PCT de Marien Ngouabi

Message par sycie l'impérative » Jeu 15 Sep, 16 2:24

http://www.congopage.com/Les-cellules-d ... on-d-arret

Ben quoi, M. Osséré, onn' est pas à Hollywwod, on ne pratique pas la californication entre soi !
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Message par sycie l'impérative » Jeu 15 Sep, 16 2:31

Hollande vient de faire suspendre les "droit de l'homme" près l'Union européenne... Trop d'hommes sauvages se sont "crus" devenir des grands... à coup de coup foireux, et médias interposés.
Pépélé finish !
Trois ans de prison ferme requis contre Jérôme Cahuzac: une peine particulièrement sévère
"L'affaire Jérôme Cahuzac n'est pas la plus grosse, remarque l'avocat fiscaliste, il y a des cas avec des dizaines, voire des centaines de millions d'euros. Dans mon bureau, j'ai beaucoup de dossiers similaires, avec des cas beaucoup plus importants et plus graves que celui-ci. Ce qu'on lui reproche, c'est d'avoir menti."


c’était le juste prix de la «trahison» pour avoir «sacrifié tous les principes pour l’appât du gain».
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Re: les enfants du PCT de Marien Ngouabi

Message par sycie l'impérative » Jeu 15 Sep, 16 2:45

La vie au CONGO se vit au prorata des sautes d’humeur des nguesso , une vieille chefferie ressuscitée à l’occasion de la mort de NGOUABI ;ON Y APPREND , à voler , à tuer, à mentir à corrompre, à violer à,tribaliser l’administration , bref un sanctuaire maléfice où l’exorcisme aura fort à faire .



Prenez donc de la graine :
Qu’est-ce qui pousse un État confronté à un État plus puissant ou à une puissance hégémonique à le « contrebalancer » en s’efforçant d’accroître sa propre puissance ou en s’alliant à un groupe d’opposants ?

"Le modèle du père

J'espère que Dieu vous fera la grâce de ressembler à vos pères et que je vous porterai bonne fortune pour être le premier qui vous a mis les armes sur le col. Elles m'ont jusqu'ici été favorables. Dieu vous rende aussi vaillants que vous êtes beaux et fils de très bons et généreux pères !
En effet, à chaque fois qu'on le regarde agir, on est frappé par les similitudes avec les gestes du père. "

A quoi sert l'histoire ???

Exemple :
Ainsi, l'objectif d'Henri lors des moments les plus conflictuels de la Ligue contre Henri III, entre les barricades de mai et l'assassinat de la fin décembre, semble être de devenir connétable ou lieutenant général du royaume, c'est-à-dire une sorte de mentor du roi. Quand on connaît la situation politique de l'époque, le désir d'Henri III de se dégager des grands lignages qu'il craint, comme les Guises, les Montmorencys, ou les Bourbons, ses aspirations et même son obstination à vouloir créer autour de lui une grande noblesse nouvelle qui lui devrait tout, on demeure stupéfait de la naïveté guisarde qui ne peut s'expliquer que par la volonté de suivre le même parcours que le père. En effet, ce dernier, sous le règne de François II, jeune homme majeur parce que les rois le sont à treize ans, confia aux oncles de la reine Marie Stuart, le père et l'oncle d'Henri, le soin de gouverner la France avec lui.
Cette application à mettre ses pas dans ceux de son illustre père sans se rendre compte que les temps ont changé et que ce qui était possible avec un enfant roi ne l'était plus avec un homme adulte en âge de gouverner et en pleine possession de ses moyens, traduit chez le duc de Guise l'idée que rien n'évolue et que tout est un éternel recommencement. Sans doute pense-t-il aussi qu'Henri III est un roi faible à qui il peut imposer tout ce qu'il souhaite. Cette attitude montre, chez le duc de Guise, une culture plus militaire que politique, où la stratégie des rapports de force doit l'emporter sur le droit régalien. Elle est significative également dans la mesure où elle permet de percevoir un attachement aux traditions familiales plus important que la conscience des réalités nouvelles du temps. Rien ne conduit à voir dans son comportement un novateur alors que le souverain Henri III, par bien des côtés, incarne la réforme et le souci de coller aux réalités de son époque.
Un prince attaché aux traditions religieuses et politiques
Tout, dans la vie du duc de Guise, respire la tradition de la vie princière et son catholicisme intransigeant ne l'empêchait pas de courir les aventures féminines, à la grande joie du peuple de Paris qui, raconte-t-on, détestait Coligny et son allure sévère de huguenot intègre. Au contraire il aimait le prince de Condé, pourtant tout aussi efficace chef protestant, parce qu'il « savait caresser la mignonne ». Dans ce domaine bien particulier de la vie princière, Henri de Guise ressemblait à Condé et on sait que la dernière nuit de son existence fut fort courte et joyeusement célébrée avec une des perles de la cour.
Mais le test le plus sérieux se révèle lors des états généraux de 1588 lorsque le tiers état parisien Ligueur voulut imposer sa politique révolutionnaire, que l'on peut résumer en quatre points :
contrôler les finances et les dépenses de l'État, décider une diminution de l'impôt pour soulager les populations, nommer les ministres,
imposer une Chambre de justice pour juger les financiers honteusement enrichis au détriment de l'État.
Face à ce programme très neuf qui plaçait les états généraux dans la position de contrôler efficacement l'action du pouvoir royal et qui remettait en cause le fonctionnement de la monarchie capétienne, le duc de Guise et son conseiller Pierre d'Épinac, archevêque de Lyon et primat des Gaules, tentèrent d'infléchir la position de leurs fidèles Ligueurs. Convié à dîner par La Chapelle-Marteau, prévôt des marchands de Paris et leader du tiers état, le Balafré évoqua la misère du roi, les besoins d'argent nécessaires pour entreprendre la guerre contre les huguenots. Cependant les chefs parisiens de la Ligue demeurèrent inébranlables au grand dépit du duc de Guise. Pasquier (E.), Lettres historiques (1556-1594), éd. D. Thickett, Genève ; Paris, 1966, livre XII, lettre iii.
Les historiens ont souvent interprété cette impuissance du Lorrain à assouplir la position des Ligueurs comme de la duplicité, s'appuyant sur une phrase ambiguë rapportée par Pasquier qui écrit :
[Le Roi] a parlé à Monsieur de Guise comme à celui qu'il estime avoir grande autorité sur tous les députés afin qu'il les voulut rendre plus souples mais il s'en est fort excusé disant n'y avoir aucune puissance.
En fait le duc de Guise disait vrai, comme le révèle le député de Bourgogne Bernard dans le récit des états qu'il fit. L'historien du xixe siècle Georges Picot, auteur d'une gigantesque Histoire des états généraux en quatre volumes publiée en 1872, écrit que l'exactitude ordinaire de Bernard est plus crédible que celle des historiens. De plus, Bernard a été un témoin direct de ces événements car il a été reçu de multiples fois par Henri III et il raconte avec beaucoup de détails les propos qui furent échangés lors des entrevues entre le souverain et les délégations de députés du Tiers. D'ailleurs, le lendemain de cette demande du roi au duc de Guise (29 novembre), il s'entretiendra avec quatre députés, leur déclarant qu'hier il avait parlé au nom du roi mais qu'aujourd'hui il voulait leur livrer le fond de sa pensée. Il leur expliqua alors que la rupture des états était imminente, que seuls les huguenots pouvaient s'en réjouir. Aussi il mettait les députés en garde à ne pas pousser les choses à l'extrême et que le seul parti à prendre était « de contenter le Roi » pour lui permettre de faire la guerre contre les protestants. « Journal des États de Blois tenus en 1588 et 1589 par Me Étienne Bernard avocat au Parlement de Dijon, député du tiers état de la dite ville », in Histoire des États généraux et autres assemblées nationales, La Haye ; Paris, 1789, t. XIV ; Picot (G.), Histoire des États généraux, Paris, 1872, vol. 3.
On voit très bien dans cette affaire que le duc de Guise n'adhère pas du tout aux thèses révolutionnaires des ligueurs, que son but est le triomphe du catholicisme et qu'il croit en une alliance possible avec le roi pour réaliser cet objectif.
Le mémoire que lui adresse son conseiller Pierre d'Epinac va dans le même sens.
• D'abord il propose que le duc vive à la cour, y installe ses fidèles pour participer à la direction des affaires et travailler à son avancement personnel.
• Ensuite, entrant tout à fait dans le système de gouvernement d'Henri III, il lui indique qu'il devra entretenir les meilleures relations avec les favoris du moment, Bellegarde et Laugnac, et faire en sorte que les deux hommes conservent entre eux d'excellents rapports de façon à éviter les jalousies.
Le troisième point est sans doute le plus important car il préconise que le duc de Guise devienne le médiateur entre Henri III et sa mère Catherine de Médicis. Il remarque que cette dernière finit toujours par l'emporter et c'est pourquoi il recommande au duc de se rendre indispensable pour créer entre la mère et le fils un climat de confiance de telle sorte que l'un et l'autre ne puissent plus se passer de sa présence.
Après avoir établi un tel programme, le primat des Gaules songeait à évoquer les conditions d'exercice du pouvoir. Il envisageait tous les moyens possibles pour que les ministres dépendissent étroitement du Balafré. Il s'attachait à montrer que le chancelier devait être un homme en qui il pouvait placer sa totale confiance. Sur ce point Pierre d'Epinac se faisait plus offensif, n'hésitant pas à menacer et à préconiser que, en cas de désaccord, il fallait laisser les états généraux en nommer un autre. Outre que beaucoup de gens de l'époque pensaient que le primat des Gaules se serait fort bien vu dans la robe du chancelier, il faut noter que le principal conseiller du Balafré rejoignait complètement, dans ce domaine, le point de vue du tiers état. Il n'est d'ailleurs pas impossible qu'il ait inspiré cette position.
Enfin, il demandait au duc de Guise de tenter de se faire nommer connétable de France en lui indiquant un modèle à suivre : Charles Martel.
Cette dignité, écrivait-il, lui servirait d'échelle et degré après degré pour monter à la grandeur à laquelle il parvint [...] et depuis ayant institué laisser ses enfants rois.
Cette phrase est claire : elle découvre les objectifs de l'entourage du duc : être un proche du souverain capable, à la génération suivante, de fonder une nouvelle dynastie, celle des Valois, comme tout le monde le savait, disparaissant avec Henri III.
Certes le problème de l'authenticité d'un tel texte ne peut que se poser. Pierre Richard après l'avoir analysé pense qu'il ne s'agit pas d'un faux fabriqué par les royalistes après l'assassinat parce que la fermeté de ton du texte est bien typique de l'archevêque de Lyon et l'action du duc de Guise semble obéir à ces directives.
Richard (P), La Papauté et la Ligue. Pierre d'Épinac, thèse à l'université de Lyon, Paris ; Lyon, 1901, 666 p.
On s'aperçoit ainsi que le duc de Guise s'inscrit dans une tradition monarchique et qu'il ne comprend pas les innovations opérées par Henri III dans le sens d'une monarchie plus absolue ou, tout au moins, s'il les comprend, il ne les accepte pas.
Pour lui, le roi doit s'appuyer sur les princes qui sont nés pour gouverner. Il le dira presque clairement en 1585 comme le raconte Beauvais-Nangis dans ses Mémoires. À propos du duc d'Épernon, alors favori d'Henri III, Henri de Guise explose : « C'est grand pitié qu'un petit cadet de Gascogne ait les plus belles charges de France ». En réalité, le père du duc d'Epernon, loin d'être un petit gentilhomme, appartenait à la noblesse seconde car il était lieutenant général du gouvernement de Guyenne et capitaine d'une compagnie d'ordonnance mais, pour le duc de Guise, il était inadmissible que le roi choisisse un homme appartenant à un lignage de second rang pour en faire un duc et pair de France et lui confier les plus hautes fonctions afin de mieux écarter un prince issu d'une famille souveraine européenne, les Guises, dont la naissance, l'expérience et les relations ne pouvaient qu'être bénéfiques pour le royaume de France8.
Entre la conception d'un état moderne, organisé autour de la personne du roi suivant la tradition capétienne, et celle d'une monarchie à l'ancienne, où le monarque entouré de grands seigneurs s'accommode de leur influence et de leurs conseils, l'incompréhension est totale. De plus, le duc de Guise se sent encouragé dans son action par la reine qui conseille à son fils de s'appuyer sur le Lorrain et la Ligue parce qu'ils représentent un antidote contre les protestants et les Bourbons qui lui paraissent beaucoup plus redoutables pour la monarchie. Entre le roi, qui ne veut entendre ni la proposition de sa mère ni celle du duc de Guise, et la position du Balafré, l'opposition est totale. En voulant lui imposer par la force des armes et des états généraux sa présence auprès de lui, le duc de Guise met Henri III dans une situation politique intenable qui ne pouvait déboucher que sur un drame.



La vie au CONGO se vit au prorata des sautes d’humeur des nguesso , une vieille chefferie ressuscitée à l’occasion de la mort de NGOUABI ;ON Y APPREND , à voler , à tuer, à mentir à corrompre, à violer à,tribaliser l’administration , bref un sanctuaire maléfice où l’exorcisme aura fort à faire .
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Message par sycie l'impérative » Mer 21 Sep, 16 11:35

Des arrestations d’opposants discutées cette semaine à Genève

Le fil actu

droits-homme-geneve

Les défenseurs des droits de la personne entendent revenir sur les arrestations d’opposants, dès lundi 19 septembre, à l’ouverture de la prochaine séance du Conseil des droits de l’homme à Genève. Il sera notamment question du Congo-Brazzaville, où des opposants ont été arrêtés avant et après l’élection présidentielle de mars dernier.

Maître Alphonse Mitoumbi-Ondzibou est l’avocat de cinq prisonniers congolais, qui ont été inculpés d’« incitation au trouble à l’ordre public ». Ils sont détenus à la maison d’arrêt de Brazzaville depuis cinq mois. Ils gardent malgré tout le moral, selon leur avocat.

Trois d’entre eux, notamment le colonel à la retraite Marcel Mpika, qui est congolais et américain, étaient dans le camp du général Jean-Marie Michel Mokoko, candidat malheureux à l’élection du 20 mars. Les deux autres, dont Jacques Banangandzala, étaient des proches du candidat André Okombi Salissa.

Leur état de santé est préoccupant. Deux d’entre eux sont diabétiques. Un troisième souffre de problèmes de vue, des suites de coups qu’il a reçus lors de son arrestation, selon l’avocat, Me Mitoumbi-Ondzibou.

Leur détention préventive ne pourra pas se prolonger, du moins en principe, au-delà de six mois. Me Mitoumbi-Ondzibou espère que le juge d’instruction décidera d’un non-lieu, qui se traduirait par leur remise en liberté : « A notre connaissance, il n’y a aucune preuve, aucun indice. J’espère que le dossier est pratiquement à la fin, soit qu’ils vont bénéficier d’un non-lieu définitif ou d’une mise en liberté provisoire, où que le juge d’instruction aura la latitude de les renvoyer devant une juridiction professionnelle. Nous attendons », dit-il. Les défenseurs des droits de l’homme qui prendront la parole au Conseil des droits de l’homme, la semaine prochaine, à Genève, les considèrent comme des prisonniers politiques.



http://zenga-mambu.com/2016/09/18/des-a ... -a-geneve/

Les avocats c'est bien !!!!!
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Message par sycie l'impérative » Ven 30 Sep, 16 3:22

C'est vraiment triste d'être aussi kons !
https://www.youtube.com/watch?v=6B4AkUOfEQw


Y en a qui méritent une gifle !

Un grand nombre de pères abandonnant continuent de séquestrer des enfants pour avoir le visa schengen !!!
Les gars, on vous regarde !
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Message par sycie l'impérative » Mer 12 Oct, 16 3:19

Détourner et voler les bourses de la diaspora congolaise c'est bien, ça rapporte des titres et des postes : gardien des bœufs de la diaspora :
http://social3f.com/edith-laure-itoua-u ... -diaspora/

Édith-Laure Itoua, une femme en charge des Congolais de la diaspora
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Message par sycie l'impérative » Mer 12 Oct, 16 3:23

En outre, ces organisations dont les ambitions affichées sont louables demeurent suspectées du fait que leurs animateurs sont plus ou moins proches du pouvoir de Brazzaville.

Mobiliser la diaspora ?
[Edith Itoua nommée par Dénis Sassou Nguesso pour représenter la diaspora congolaise]

Edith Itoua nommée par Dénis Sassou Nguesso pour représenter la diaspora congolaise
Pressé par la banque mondiale la France et l’Union Européenne, financements à l’appui, le gouvernement congolais par le biais du Ministère des Affaires Étrangères a mis en place une cellule de mobilisation de la diaspora qui n’est que l’ombre d’elle-même. Ses deux missions à Paris, Rome et Bruxelles en 2012 n’ont pas donné les résultats attendus. Cette cellule est très mal connue, elle ne communique pas ou trop peu. Ses réunions quasiment improvisées à Paris ne drainent pas les foules. La dernière qui s’est tenue à l’ambassade n’a réuni qu’une quinzaine de personnes dont la moitié faisait partie de la délégation venue de Brazzaville. Comment fédérer une diaspora quand tous les membres qui composent la cellule de mobilisation sont des hauts fonctionnaires installés à Brazzaville ? Devant ce gâchis d’énergies, et d’intelligences, n’est ce pas raisonnable de dire que la diaspora congolaise est la plus bête du monde ?


http://www.dac-presse.com/diaspora/actu ... onde-.html
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Message par sycie l'impérative » Sam 10 Déc, 16 6:29

Hommage MAe de Brazza

https://www.youtube.com/watch?v=pipbEBK2f0M

Non te préoccupa !!! kisses !

Amor marteno !
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Re: les enfants du PCT de Marien Ngouabi

Message par sycie l'impérative » Sam 10 Déc, 16 6:37

https://www.youtube.com/watch?v=oHhlM1I9cMM

ça ne finira jamais tant que c'est la diktature de la laideur il faut s'échapper en rêve !

LA BALLADE SAPELOGIQUE AU MARIAGE DE STANY DE PARIS

miséréré !
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Re: les enfants du PCT de Marien Ngouabi

Message par sycie l'impérative » Mer 28 Déc, 16 2:45

Unstoppable !!! Le passé ne finit jamais !


https://www.youtube.com/watch?v=XowYudkB0Pc
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Message par sycie l'impérative » Mer 28 Déc, 16 3:19

Un héraut n'est pas tout à fait mort et n'aspire qu'à revivre, un héritier, qui reconnaît sa dette envers ses maîtres : le chaos ne fut qu'une conséquence et non une cause. Très perverse et traversée de contradictions, la catastrophe n'est que le fruit de l'héroïsme intéressé porté par la génération à l'origine de la précédente... A la fin des Deux Parties, où s'oppose la tradition ("des pères") à l'idéologique (les droits de l'homme), on remarque que le bouc émissaire, a bien coupé le courant, en chargeant la terre de son sang. Le savoir essentiel, reste un secret. De cette décharge, le corps calciné doit renaître de ses cendres.

Il y a des routes droites, qui vous conduisent vite vers un objectif bien précis. Il y a des itinéraires plus rares et plus sinueux qui vous coupent le souffle, mais vous rapproche du devin. Et puis il y a les chemins de traverse, fruit d'un hasard contrôlé ou manipulé, la route balisée de la fuite, seulement parce que le hasard n'existe pas : ils ne parcourent pas forcément des paysages sublimes, ils ne conduisent pas à quelques buts prestigieux, mais on dû souffrir à s'y égarer, parce qu'ils ont le parfum de la trahison, parce que leurs tours et détours intriguent, parce qu'on y découvre des mains de chevaliers noirs qui, l'âme diabolique, vous touchent et peuvent même vous conduire à une inattendue consummation.
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Message par sycie l'impérative » Mer 28 Déc, 16 3:25

https://www.youtube.com/watch?v=_WXQat0o8_s
on n'efface pas son passé si facilement...
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Message par sycie l'impérative » Mer 04 Jan, 17 7:40

Ecrire l'histoire, son histoire :

Mais les fautes qui se commettent dans l'histoire paraîtront, si l'on y fait réflexion, celles-là mêmes que j'ai souvent observées, lorsque j'ai entendu quelque lecture historique, et frapperont encore davantage ceux qui se mettront à écouter tous nos historiens du jour. Il ne sera pas hors de propos de rappeler ici, comme exemples, quelques-unes de ces sortes de compositions. Examinons, en premier lieu, quel en est le défaut le plus choquant. La plupart de ces historiens, négligeant de raconter les faits, se répandent en éloges sur les princes et les généraux, élevant jusqu'aux nues ceux de leur nation, et ravalant indécemment les ennemis. Ils ignorent que ce n'est pas un isthme étroit, un faible intervalle qui sépare l'histoire de l'éloge, mais une épaisse muraille, et que, pour nous servir d'une expression de musique, il y a entre eux la distance de deux octaves. Le faiseur d'éloges n'a qu'une préoccupation, c'est de louer, de charmer l'objet de sa louange, et s'il y réussit par le mensonge, il s'en inquiète fort peu. Mais l'histoire n'admet pas plus un mensonge, même le plus léger, que le conduit nommé trachée artère par les enfants des médecins (11) ne peut recevoir la boisson qui s'y engage.
8. Nos auteurs semblent ignorer encore que la poésie et les poèmes ont d'autres règles, d'autres lois que celles de l'histoire. Là règne une liberté absolue : l'unique loi, c'est le caprice du poète ; il est dans l'enthousiasme ; les Muses le possèdent tout entier ; et, soit qu'il attelle des chevaux ailés à un char, soit qu'il en fasse voler d'autres à la surface des eaux (12) ou sur la tête des épis, personne ne lui en veut. Quand leur Jupiter enlève la terre et la mer, suspendues à une seule chaîne, on ne craint pas qu'elle ne se brise et que l'univers ne soit écrasé par cette chute (13). Quand ils veulent louer Agamemnon (14), personne ne s'oppose à ce qu'ils lui donnent la tête et les yeux de Jupiter, la poitrine du frère du souverain des dieux, Neptune, et la ceinture de Mars. Il faut absolument que le fils d'Atrée et d'Aéropé soit un composé de tous ces dieux, puisque ni Jupiter, ni Neptune, ni Mars ne peut répondre isolément à l'idée qu'on a de sa beauté. Mais si l'histoire admettait pareille flatterie, que serait-elle, sinon une poésie en prose, dépouillée de la magnificence de son style, et laissant apercevoir toutes les fictions dont le mètre poétique ne cache plus la nudité ? C'est donc un grand, un énorme défaut, que de ne pas savoir séparer l’histoire de la poésie, et de donner à l'une les ornements qui ne conviennent qu'à l'autre, tels que la fable, la louange, et ce qu'il y a d'exagéré en elles. C'est comme si l'on revêtait d'habits de pourpre un de ces robustes athlètes, aussi durs qu'un chêne, et qu'on lui mît sur le corps toute une parure de courtisan, avec de la céruse et du vermillon au visage. Par Hercule ! combien on le rendrait risible ! Combien on l'enlaidirait par cette parure même !
9. Je ne prétends pas pourtant interdire complètement l'éloge à l'histoire, mais il faut qu'il y soit amené à propos, qu'il y soit fait avec mesure, et de manière à ne pas choquer ceux qui le liront un jour. En un mot, il faut se régler sur certains principes, que nous développerons plus loin. Quant à ceux qui croient bien faire lorsqu'ils divisent l'histoire en deux parties, l'une d'agrément et l'autre d'utilité, et qui, par suite, y introduisent l'éloge, comme étant de soi-même agréable et propre à égayer le lecteur, vois combien ils s'écartent de la vérité.



http://remacle.org/bloodwolf/philosophe ... stoire.htm
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Message par sycie l'impérative » Mer 04 Jan, 17 7:41

http://www.sos-ecriture.fr/2013/05/les- ... toire.html

Les outils d'écriture à travers l'histoire

Depuis 5500 ans, nous laissons des traces écrites. Du calame à la rotative voici un petit résumé historique des outils d'écriture.
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Message par sycie l'impérative » Sam 25 Fév, 17 6:25

On juge une société à la manière dont elle traite ses étrangers !!!

https://www.youtube.com/watch?v=VZJSY6DC6uQ

DANS LA PEAU D'UN NOIR : Un blanc découvre l’Allemagne négrophobe
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Re: les enfants du PCT de Marien Ngouabi

Message par sycie l'impérative » Mer 01 Mars, 17 3:44

Allez nic le system !! vote pour le kartel !
https://youtu.be/TX4dFmH6N9Y

Candidat Royaliste à l'élection présidentielle 2017

fini les magouilles !!!
sycie l'impérative
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