par mto » Dim 25 Mai, 08 8:41
par kamit » Dim 25 Mai, 08 9:37
par mto » Dim 25 Mai, 08 10:24
par kamit » Dim 25 Mai, 08 11:25
par aké » Mar 27 Mai, 08 4:50
par kamit » Mar 27 Mai, 08 11:07
par Gnoka » Mar 27 Mai, 08 11:42
par kamit » Mar 27 Mai, 08 12:48
par Blaise » Mar 27 Mai, 08 12:52
par kamit » Mar 27 Mai, 08 2:07
Blaise a écrit :Allons vers le haut, nous laissons pas tirer vers le bas par ces discussions stériles et puériles. Eux sont dans leurs éléments. Ils ne peuvent pas faire plus. Insuffisance cérébrale oblige !
Blaise
par niaou » Mer 28 Mai, 08 11:10
Tentative d'assassinat sur la personne du Professeur Marion MADZIMBA
Le samedi 17 mai 2008 à 9 h 30, le Professeur Marion MADZIMBA, Président de l'Association "Marien NGOUABI & Ethique" a échappé à une exécution sommaire à son domicile, commanditée par le Général Jean-François NDENGUET.
LES FAITS
Selon le témoignage de son gardien, le samedi 17 mai 2008 à 03 heures du matin, des individus armés ont cherché, en vain, à pénétrer dans son domicile. Le gardien affirme que ces individus ne sont partis que lorsqu'il a allumé le projecteur placé sur le mur latéral gauche de la parcelle. Le professeur Marion MADZIMBA relate les faits de la manière suivante :
" Travaillant dans mon bureau à 09 h 30, l 'un des éléments de mon protocole est venu m'annoncer la visite du Colonel Jacques Antoine BOUITY, le commissaire central de la ville de Brazzaville. Intrigué, bien qu'encore vêtu de pyjama, je suis allé à sa rencontre, l'ai installé dans mon salon, et fais descendre Monsieur Yvon NDZAMBO, le Vice - Président de l'Association Marien NGOUABI & Ethique qui se trouvait à l'étage".
"Mais à peine commencions-nous à discuter sur l'objet de sa visite, que des individus (une quinzaine), pistolets (P.A.) à la ceinture se sont engouffrés dans la maison, certains par la porte centrale qu'ils ont fracassé, d'autres par la cuisine.
Ils ont commencé à vociférer des insultes à mon endroit, disant : "Vous voulez faire tomber le pouvoir du Général Dénis SASSOU NGUESSO, ce pouvoir que nous avons arraché par la guerre, vous allez voir.... nous allons vous tuer."
"L'un d'entre eux est allé décrocher au mur, le portrait du défunt Président Marien NGOUABI et s'est mis à le piétiner nerveusement. Les autres s'en sont pris à mon mobilier et aux baies vitrées de mon salon.
A travers l'espace laissée par l'une des baies brisées, j'ai aperçu trois autres "bandits" dont l'un avait sorti un pistolet, je me suis placé vers le mur du salon, tandis que Monsieur Yvon NDZAMBO sortait par la porte du salon conduisant à mon bureau. Nous n'avons eu la vie sauve que grâce à la dextérité du commissaire de police de Talangaï qui, s'étant aperçu du danger a utilisé son téléphone portable pour appeler au secours ses collaborateurs restés au poste de police du quartier.
Le Colonel Jacques Antoine BOUITY qui disposait d'un talkie-walkie ne l'a pas utilisé et ses gardes du corps restés à l'extérieur de la maison en compagnie du commissaire de police de Talangaï n'ont pas bronché.
Lorsque les "bandits" ont quitté précipitamment mon domicile après que le commissaire de Talangaï ait utilisé son téléphone, les 11 policiers amenés par le Colonel Jacques Antoine BOUITY n'ont rien fait pour les arrêter ; C’est tout juste s'ils n'ont pas formé une haie pour les protéger.
LES AGRESSEURS :
Willy OBA, NDOBA (déjà cité dans l'affaire des disparus du Beach), ONGAGNA BIKA, LEPEMBE IBONDO, BOKATOLA Franck, SABIN, Judy IPEMBA, ATIPO
LES ACCOINTANCES :
NDOBA serait le chauffeur du Général ADOUA Blaise ; SABIN serait des "cobras-militaires" très proches du Général Jean François NDENGUET ; Judy IPEMBA serait appelé de Pointe-Noire par le Général Jean François NDENGUET pour accomplir la basse besogne
Tous sont d'anciens "cobras" proches du Général Jean-François NDENGUET, engagés à la garde Présidentielle ou dans des corps militaires proche de Jean Dominique OKEMBA conseillé spécial du Général Dénis SASSOU NGUESSO.
QUESTIONS ?
· Que faisait le Colonel Jacques Antoine BOUITY au domicile du Professeur Marion MADZIMBA à 09 H 30 ?
· Pourquoi "les cobras" ont ils attendu que le colonel Jacques Antoine BOUITY soit reçu par le Professeur Marion MADZIMBA pour entrer, à leur tour et commettre tous ces actes devant lui ?
· Pourquoi n'ont ils pas eu peur du Colonel Jacques Antoine BOUITY et de ses gardes (11 policiers) ?
· Pourquoi le Colonel Jacques Antoine BOUITY n'a t-il pas appelé du renfort ? (faut il souligner que c'est lui qui commande toutes les unités de police de la ville de Brazzaville)
· Comment se fait il que ni le Procureur de la République , ni la police ne réagisse alors que des noms et adresses leurs sont communiqués ?
INFORMATIONS :
· Le Professeur Marion MADZIMBA et Monsieur Yvon NDZAMBO ont porté plainte pour tentative d'assassinat, et non assistance à personne en danger
· Les "agresseurs" sont identifiés et leurs adresses communiquées aux autorités de police depuis 5 jours, mais rien n'est fait... Ils continuent de se promener librement, et le Professeur Marion MADZIMBA reçoit régulièrement des menaces par téléphone.
· Encouragé par Jean Dominique OKEMBA, le Général Jean-François NDENGUET aurait introduit auprès du Général Dénis SASSOU NGUESSO une note disant que le Professeur Marion MADZIMBA serait entrain de préparer un coup d'Etat.
Fait à Brazzaville le 24/05/2008
Nous sommes le Congo !
Cessons d'avoir Peur !
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Pour un Etat de Droit au Congo !
Savoir c'est bien, Comprendre c'est mieux
"Chaque génération a le choix entre trahir ou accomplir sa mission"
par sycie l'impérative » Ven 20 Mai, 16 9:24
La piraterie historique
Le sang et la poudre, la saveur brûlante du rhum des tropiques, un drapeau noir claquant au vent… L’histoire de la piraterie est synonyme d’aventures épiques et romantiques. Qui n’a pas rêvé de se trouver sur la dunette d’un navire forban chassant un lourd galion aux flancs gonflés de promesses d’or et d‘épices ? Ripaillant et dépensant sans compter les pièces de huit sur une plage, bercé par le ressac de l’océan, ricanant de manière cruelle pendant que l’on dépèce un capitaine espagnol attaché au grand mât… Euuuh non pas çà, bon ! Qu’en est-il en vérité ?
Il faut tout d’abord pour être honnête avouer que la piraterie telle que nous la concevons de manière traditionnelle (voir ci-dessus) n’a duré qu’un temps relativement court. Laissez-moi si vous le voulez bien vous résumer son histoire.
par sycie l'impérative » Ven 20 Mai, 16 9:26
Ce sont donc des aventuriers de toutes les nations que l’on voit se déverser dans les îles. Des membres de familles à la noblesse certaine mais désargentée, des gibiers de potence, des filles de mauvaise vie, des réfugiés politiques, des protestants traqués… toute la lie de la vieille Europe se retrouve ici. Beaucoup meurent lors du voyage où emporté après leur arrivée par les fièvres. Mais les survivants trouvent dans ces îles un espace de liberté jusque là inconnu, propre à toutes les utopies.
Toutes les nations d’Europe et plus particulièrement L’Espagne, la France, l’Angleterre et la Hollande ont donc des colonies. Aux grés des guerres en Europe on distribue des lettres de marques. Les gouverneurs de l’époque sont à l’image des personnes qu’ils sont censés gouverner : des fripouilles hautes en couleurs envoyées là par des monarques désirant se débarrasser d’eux. Il est donc aisé de se voir délivrer des lettres de marques … Blanc sein permettant d’attaquer un navire ennemi et de le piller en toute impunité. Et si on a la vue qui baisse et que l’on se trompe de pavillon ou que sa mémoire flanche et que l’on ne se souvient plus de la date de validité de sa lettre et bien il suffit de s’arranger avec cette fripouille de gouverneur…
par sycie l'impérative » Ven 20 Mai, 16 9:33
La situation est plus complexe encore, puisqu’outre ces trois générations, quatre catégories de réfugiés doivent être distinguées du fait des pratiques étatiques de déchéance et de restitution de la nationalité : les partisans de la DSE, les enfants déplacés, les réfugiés catégorisés comme « d’origine grecque » et, enfin, ceux catégorisés comme « d’origine macédonienne ». Dans le contexte de l’après guerre civile, la biologisation de la citoyenneté [19] permet ainsi à l’État, vainqueur de la guerre, non plus seulement de priver les nationaux communistes de leur citoyenneté (en les catégorisant comme ennemis de la nation via l’idéologie de l’ethnikofrosini), mais aussi de déchoir de la nationalité grecque les minorités ethniques – les Macédonien.e.s ayant participé à la guerre aux côtés des communistes.
C’est à l’aune de ces pratiques de « dénationalisation » de ceux qui étaient auparavant des citoyens grecs, que la notion de patrie perdue doit d’être précisée. Elle est appréhendée dans cet article en référence à la thèse d’Halbwachs : « En réalité jamais l’image d’un disparu ne s’immobilise. À mesure qu’elle recule dans le passé, elle change, parce que certains traits s’effacent et d’autres ressortent, suivant le point de perspective d’où on la regarde, c’est-à-dire suivant les conditions nouvelles où l’on se trouve quand on se tourne vers elle. [20] » Les mémoires de la patrie, en tant qu’objet perdu, disparu, ne font pas exception à la règle. Elles se forment au départ par l’expérience individuelle de la perte, pour être reconstruites, au fil du temps, à l’aune des « conditions nouvelles » dont parle Halbwachs, c’est-à-dire des présents au sein desquels les individus et leurs narrations se situent. Parmi ces conditions nouvelles, qui transforment les mémoires de la patrie perdue, je montrerai le rôle prééminent de l’idéologie de l’ethnikofrosini et de son application étatique à travers la déchéance de la nationalité des réfugiés. Ainsi, la patrie perdue, et la mémoire qu’en ont les réfugiés, renvoient à des dimensions tant métaphoriques que tangibles, et concernent non seulement les réfugiés, mais aussi « le pouvoir, le territoire [et] les populations qui constituent la substance d’un État [21] ».
Dernière précision terminologique, les termes « rapatriement » et « droit au rapatriement », utilisés par les réfugiés, relèvent en premier lieu de catégories d’État. Ils désignent à la fois la restitution de la nationalité et les accords conclus entre l’État grec et les démocraties populaires (dont la Bulgarie) pour harmoniser les systèmes de cotisations à la retraite, donnant ainsi la possibilité aux réfugiés de recevoir une retraite prenant en compte leurs années de travail dans les deux pays [22]. Pour les réfugiés « d’origine grecque » en Bulgarie, ce droit a été en vigueur durant trois ans (1986-1989). Passées cette date, ces derniers se sont vus restitués leur nationalité, mais privés de la possibilité d’accumuler leurs retraites grecques et bulgares.
par sycie l'impérative » Ven 20 Mai, 16 9:45
par sycie l'impérative » Ven 20 Mai, 16 10:03
par sycie l'impérative » Ven 20 Mai, 16 10:06
par sycie l'impérative » Ven 20 Mai, 16 10:19
par sycie l'impérative » Ven 20 Mai, 16 10:32
par sycie l'impérative » Ven 20 Mai, 16 11:17
Étymologie et champ lexical
1. Sachant que bellum est le nom latin pour guerre, que veut dire: << C'est un héros belliqueux >> ? << Les belligérants se font face >> ?
2. Polemos est le nom grec pour guerre : qu'est-ce u'une polémique ? Quel est le verbe formé sur ce nom ?
3. En latin, hostis désigne l'ennemie politique. Donnez un adjectif formé sur ce radical.
4. Le mot ennemi est une déformation du latin, inimicus, qui désigne l'ennemi personnel. Donnez un nom formé à partir de ce radical et du suffixe -tié.