Martyrologie et idéologie, racines de guerres

Débats sur le Congo, réflexions sur ce qui s'y passe, sur son avenir, la recherche de solutions.

Re: Martyrologie et idéologie, racines de guerres

Message par sycie l'impérative » Mar 19 Jan, 16 4:08

https://youtu.be/lMCRmcFZSyg

Raisonnement dans la culture Kongolaise
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Re: Martyrologie et idéologie, racines de guerres

Message par sycie l'impérative » Mar 19 Jan, 16 4:09

Reconnaissance du Concubinage ???

Attention à la clause de solidarité
http://www.lemonde.fr/argent/article/20 ... 57007.html
Le casse-tête de la séparation entre concubins
Le Monde | 08.05.2015 à 13h47 • Mis à jour le 11.05.2015 à 10h11 |
Par Caroline Racapé


Près d’un quart des adultes vivent en concubinage, selon les derniers chiffres de l’Insee. Or, qui dit union libre, dit séparation libre : chacun peut partir quand il veut, sans rien devoir à l’autre.

En cas de rupture, et en l’absence d’accord amiable, seul le sort des enfants peut être décidé par un juge, suivant les mêmes règles que pour un couple marié. Concernant les questions financières – répartition des biens, du logement… –, les concubins doivent démêler seuls les fils de leur vie commune. Pour limiter les conflits, mieux vaut s’organiser en amont.

Première pomme de discorde, le logement. Le concubinage fonctionne comme un mariage sous le régime matrimonial de la séparation de biens : le patrimoine et les dettes de chacun restent personnels. Si vous achetez à deux, sans être mariés ni pacsés, précisez dans l’acte d’acquisition vos quotes-parts respectives (sinon, le bien sera considéré indivis par moitié).
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Re: Martyrologie et idéologie, racines de guerres

Message par sycie l'impérative » Mar 19 Jan, 16 4:20

Code : Tout sélectionner
    Avec un Billet je peux
— acheter un couteau pour préparer le repas de mon enfant
— acheter de quoi vêtir le pauvre
— acheter le billet pour rassembler une famille
Mais je peux aussi
— acheter un couteau pour tuer
— acheter le corps d'une prostituée
— acheter à vil prix le bien d'autrui           


Et ce fut le Sermon sur la Montagne (Matthieu ch. 5 à 7).

Histoire de la politisation d'un refus qui peut mener loin ! Blog :

http://freesoulblog.net/jO9/jO9tv.html
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Message par sycie l'impérative » Mar 19 Jan, 16 4:26

Et ce fut le Sermon sur la Montagne (Matthieu ch. 5 à 7).

http://freesoulblog.net/jO9/jO9tv.html
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Re: Martyrologie et idéologie, racines de guerres

Message par sycie l'impérative » Mar 19 Jan, 16 5:06

https://youtu.be/JmgiJl4l-uo

Bookelos - Je Sais Que Tu Reviendras - 1978


A peine sais t-on disséquer que l'on essaierait sur le vivant ??? Mamééé !

Je savais que tu reviendrais, sois la main tendue en signe d'amitié sois le couteau à la main, prêt à faire la guerre ! Ce n'est pas tant une question d'honneur à respecter que de liberté partagée !
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Re: Martyrologie et idéologie, racines de guerres

Message par sycie l'impérative » Mar 19 Jan, 16 5:26

https://youtu.be/2Uigsd4ZRt0


S'accorder aux mains tendues

on ne devrait pas être découragéd sous prétexte que personne ne comprend.
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Re: Martyrologie et idéologie, racines de guerres

Message par sycie l'impérative » Mar 19 Jan, 16 5:33

http://www.rfi.fr/afrique/20160119-rdc- ... nvier-2015

RDC: l’opposition empêchée de commémorer la répression de janvier 2015

En République démocratique du Congo, retour sur les manifestations qui s’étaient déroulées à Kinshasa il y a tout juste un an. Le 19 janvier 2015, des manifestations contre la révision de la loi électorale avaient été suivies de répressions. Plusieurs dizaines de personnes avaient été tuées. Pour commémorer ces évènements, l’opposition congolaise a organisé des conférences-débats, mais la police est déployée pour empêcher la tenue de ces réunions
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Re: Martyrologie et idéologie, racines de guerres

Message par sycie l'impérative » Mar 19 Jan, 16 6:38

https://youtu.be/tMzEHVLTZVI?list=PLWGH ... Yo81UVWBEJ

EXILE ONE- NOUS TRAVAIL POUR AYEN- cadence lypso- ( G.Henderson-Williams-)-1976
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Message par sycie l'impérative » Mar 19 Jan, 16 6:50

La question est, bien entendu, de savoir que se comporter comme un enfant de six ans a à voir avec le « désarroi collectif », les « sources de la violence » et le mal macrosocial. Est-ce commun à tous ? Chacun de nous peut-il devenir possédé par un mécanisme de défense primitif et par un déchaînement implacable de vengeance et de représailles comme des enfants jouant aux cow-boys et aux indiens jusqu'à ce que nous soyons totalement exténués par la rage qui s'empare de nous ou fatigués de jouer ? J'en doute, quoique certes, comme je viens de le dire, il existe des individus qui possèdent ces caractéristiques : des déviants pathologiques qui sont les pathogènes de la société et attaquent le corps social lorsque celui-ci est affaibli. Je ne contesterai pas que se sentir impuissant et désarmé pourrait très bien être à l'origine de la faiblesse de la société normale - cela peut certainement faire partie d'un tel syndrome. Mais les conduites et les directives des pathogènes sont différentes de celles des tissus sains de n'importe quel corps physique et il en est de même dans le corps social. Un virus ou une bactérie diffèrent d'une cellule musculaire ou de n'importe quel autre organe du corps, même si cette cellule est à plat, âgée ou endommagée d'une manière ou d'une autre.

Wolf suggère que ses interprétations (et celles de Kohut) de la rage narcissique sont ce qui se trouve à la source de tous les comportements violents, partout et à toutes les échelles ; c'est en chacun de nous et il ne s'agit que d'une question de degré. Et au bout du compte, au fond, il est simplement question de se sentir désarmé et impuissant. À un moment, Wolf suggère même que ce fut le sentiment d'impuissance qui transforma les bons Allemands en nazis meurtriers.


Une théorie structurelle du narcissisme et de la psychopathie
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Re: Martyrologie et idéologie, racines de guerres

Message par sycie l'impérative » Mar 19 Jan, 16 11:56

http://fr.sott.net/article/18016-Une-th ... ychopathie

il faut devenir humain
Par: Loroless
L'Homme a la capacité de devenir "bon" (encore faut-il s'entendre sur le terme), mais cela est un travail, il n'y a rien de spontané, de dû.
Comme le dit Gurdjieff, l' "homme" (au sens d'humain, homme ou femme), est une machine, un ensemble de petites personnalités (de mois) qui se font la guerre perpétuellement, voulant tirer la couverture à soi. Le monde, la violence collective, est le reflet de ce désordre individuel.
Une Voie d'évolution individuelle est de se guérir de ce désordre intérieur, de cette violence qui fait en rage en chacun de nous.
Reprendre le contrôle de tous ces petits mois qui veulent tous la parole et le pouvoir.
Au fond, nous retrouvons ces idées en orient, avec la parabole du cocher, des cheveux, de la calèche et du propriétaire de l'attelage... et très certainement dans les enseignements du Christ, ceux qui n'ont pas été dénaturés par la religion.
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Re: Martyrologie et idéologie, racines de guerres

Message par sycie l'impérative » Mer 20 Jan, 16 12:44

http://www.futurquantique.org/2008/08/0 ... e-nevrose/
Libido, pulsions, frénésie. Et vulgarité.

Signes des Temps

Fumer du Narcisse nuit à la santé

“Quand je pense à lui, je me sens envahie par une substance obscène dont je ne parviens pas à me débarrasser.”
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Re: Martyrologie et idéologie, racines de guerres

Message par sycie l'impérative » Mer 20 Jan, 16 12:55

Quand on lutte contre des monstres, il faut prendre garde de ne pas devenir monstre soi-même. Si tu plonges longuement ton regard dans l’abîme, l’abîme finit par ancrer son regard en toi."
Friedrich Nietzsche


http://www.rts.ch/decouverte/monde-et-s ... aussi.html

Une interprétation répandue de l’aphorisme – celle qui a assuré sa popularité dans les médias cités plus haut – se focalise sur la première phrase et la comprend comme un avertissement sur le fait que combattre un mal peut conduire, si nous n’y prenons pas garde, à devenir et incarner le mal même que nous combattons. Ainsi, nous pouvons être tellement obnubilés par l’idée d’éradiquer une certaine menace que nous ne réalisons pas que les moyens que nous mettons en œuvre pour y parvenir nous rendent tout aussi mauvais. Cette idée se retrouve dans de nombreuses œuvres littéraires et cinématographiques. Un exemple « classique » peut être trouvé dans la pièce de Marivaux La Colonie dans laquelle un groupe d’hommes et de femmes exilés sur une île doivent former une nouvelle société. Les femmes en profitent pour s’émanciper de l’oppression des hommes, qui revendiquent pour eux tout le pouvoir. Mais, peu à peu, ce mouvement de libération des femmes se radicalise et certaines de ses dirigeantes commencent à vouloir confisquer tous les pouvoirs et toutes les fonctions au seul profit des femmes, mettant ainsi en place un système de pouvoir oppressif qui ressemble en tout point à celui qu’elles condamnaient au départ. Un autre exemple, plus "moderne" peut être trouvé dans la série de films La Guerre des Etoiles, où l’une des thématiques principales est que lutter contre le mal (le "côté obscur") comporte le risque de soi-même plonger de ce "côté obscur". Ainsi, la première partie de l’aphorisme de Nietzsche pointerait du doigt le fait que l’ennemi peut être tout aussi intérieur qu’extérieur, et que lutter contre le second peut faire le jeu du premier si l’on ne s’impose pas des limites.
Qu’en est-il maintenant de la seconde phrase? Toujours selon cette interprétation répandue, elle est considérée comme une simple extension de la première, et interprétée comme signifiant qu’être obsédée par l’idée du mal peut corrompre. En effet, si "à force de regarder l’abîme, l’abîme regarde en vous", cela signifie qu’à force de regarder l’abîme, vous êtes vous-mêmes devenu l’abîme: si A regarde B, mais que A est identique à B, alors on peut aussi dire que B regarde A. L’idée est donc que la contemplation continue d’un certain mal peut vous convertir en ce mal lui-même. La seconde phrase poursuivrait donc l’idée de la première en la transposant du domaine de l’action (le combat) à celui de la connaissance (la contemplation) en développant l’idée selon laquelle un intérêt continu porté au mal peut être source de corruption.
Le problème de cette interprétation, c’est qu’elle est bien trop moralisatrice, au sens où elle présuppose et accepte sans critique les concepts de "bien" et de "mal", alors même qu’elle se situe dans un ouvrage dans lequel Nietzsche entend se situer Par-delà Bien et Mal, et rejeter les morales traditionnelles. Pour cette raison, le "monstre" de la première phrase ne doit pas être interprété dans un sens moral (qui serait hors de propos) mais dans un sens pathologique (qui colle mieux à l’œuvre de Nietzsche en général, dans laquelle l’intérêt pour le "développement" humain prend le pas sur l’intérêt pour la "morale"): le "monstre" ne serait alors pas une personne moralement monstrueuse (le mal absolu) mais une forme de vie qui aurait échoué à atteindre sa forme pleine et parfaite (un homme qui ne serait pas pleinement homme).
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Re: Martyrologie et idéologie, racines de guerres

Message par sycie l'impérative » Mer 20 Jan, 16 9:55

La tyrannie de l’absence de structure

Le texte suivant a été écrit en 1970 par une activiste du Mouvement de Libération des Femmes américain. Ayant « déjà inspiré de vastes débats » dans la mouvance autonome espagnole, il a été re-publié « pour l’actualité de son contenu » dans la revue ContraPodernuméro 3, en 1999, dans le cadre d’un dossier sur les questions d’organisation.

Il est donc traduit de l’anglais au castillan, puis du castillan au français. Il doit en exister de meilleures traductions !

La nature de l’élitisme

(…) Le terme « élitaire » fait référence à un petit groupe de gens qui domine un autre groupe plus grand, dont il fait partie, sans normalement avoir une responsabilité directe sur ce plus grand groupe, et qui agit fréquemment sans son consentement ou sa connaissance. Une personne devient élitiste quand elle fait partie ou défend la domination de ce petit groupe, indépendamment du fait qu’elle soit ou non connue des autres. La notoriété n’est pas un équivalent de l’élitisme. Les élites les plus insidieuses sont habituellement composées de gens que le grand public ne connaît pas. Les élites intelligentes sont, en général, assez sagaces pour ne pas se faire connaître ; elles savent que si on les connaît on les observe, et qu’alors le masque qui cache leur pouvoir cesse d’être préservé.

Le fait que les élites soient informelles ne veut pas dire qu’elles sont invisibles. Dans la réunion d’un groupe quelconque, n’importe qui peut, en ayant l’oeil avisé et l’oreille attentive, se rendre compte de qui influe sur qui. Les membres d’un groupe qui ont de bonnes relations entre eux se fréquenteront plus fréquemment que d’autres. Illes s’écoutent plus attentivement et s’interrompent moins ; illes répètent les points de vue ou les opinions des autres et, en cas de conflit, illes cèdent plus amicalement ; de même illes tendent à ignorer voire à lutter d’arrache-pied contre les « exclu-e-s » (« out »), dont l’assentiment n’est pas nécessaire pour prendre une décision, et pourtant les « exclu-e-s » (« out ») doivent maintenir de bonnes relations avec les « inclu-e-s » (« in »). Evidemment les lignes de démarcation ne sont pas aussi clairement tracées que ce que j’affirme ici : dans l’interaction naissent des nuances. (…)

Les élites ne sont pas des groupes de conspiration : il est rare qu’un petit groupe se réunisse et essaye délibérément de s’accaparer un plus grand groupe à ses fins. Les élites ne sont rien de plus et rien de moins que des groupes d’ami-e-s qui, accidentellement, participent à la même activité politique, bien que, d’un autre côté, illes auraient probablement une activité politique indépendamment du maintien ou non de leur amitié. La coïncidence de ces deux faits est ce qui génère une élite dans un groupe déterminé, et aussi ce qui rend si difficile son anéantissement.

Ces groupes d’ami-e-s fonctionnent comme des réseaux de communication en marge de tous les canaux que le groupe a pu établir avec eux, et s’il n’existe pas de canaux, ils fonctionnent comme le seul réseau de communication : parce que ces gens sont ami-e-s, parce qu’en général illes partagent les mêmes valeurs et conceptions politiques, parce qu’illes se parlent dans des circonstances de la vie quotidienne, parce qu’illes se consultent quand illes doivent prendre des petites décisions pour leur vie, les gens qui participent à ces réseaux ont plus de pouvoir que ceux qui ne participent pas. Il est rare qu’un groupe n’établisse aucun réseau informel de communication entre les ami-e-s qui se lient en son sein.

Certains groupes, selon leur taille, peuvent avoir plus d’un réseau de communication informelle, en outre ces derniers peuvent s’entremêler.

femmes (en théorie, égales, d’une même classe).

Comme nous le savons bien, ces efforts n’ont pas empêché la persistance de la discrimination contre les femmes, bien qu’au moins celle-ci soit devenue plus difficile.

Etant donné que les groupes du mouvement n’ont pas pris de décisions concrètes quant à qui doit exercer le pouvoir en leur sein, les critères suivis diffèrent d’un bout à l’autre du pays. Dans la première étape du mouvement, par exemple, le mariage était requis, en général, pour pouvoir participer à l’élite informelle. C’est-à-dire qu’en accord avec les enseignements traditionnels, les mariées restaient fondamentalement entre elles, considérant que les célibataires en tant qu’amies intimes sont un danger excessif. Dans plusieurs villes ce critère fut nuancé en incluant dans l’élite uniquement les épouses d’hommes de la nouvelle gauche. Cette norme-là prend en compte quelque chose de plus que la simple tradition, en effet les hommes de la nouvelle gauche, en général, avaient accès à des ressources dont le mouvement avait besoin et qu’il ne pouvait obtenir que par leur biais. Le mouvement a changé avec le temps, et le mariage a cessé d’être un critère universel pour une réelle participation ; d’autres normes ont été adoptées pour n’ouvrir la porte de l’élite qu’aux femmes qui avaient des caractéristiques matérielles et personnelles déterminées. En général, celles-ci sont : être originaire des classes moyennes (malgré toute la rhétorique existante sur les relations avec la classe prolétaire), être mariée ou pas mais vivre avec quelqu’un-e, être ou se prétendre lesbienne, avoir entre 20 et 30 ans, avoir étudié à l’université ou avoir au moins un certain niveau d’éducation, être « marginale » mais pas trop, avoir une posture politique ou être reconnue comme « baba-cool », avoir une personnalité d’une certaine manière « féminine » avec des caractéristiques telles que « être agréable », s’habiller de manière appropriée etc. Il existe également des caractéristiques déterminées qui presqu’inévitablement définiront une personne « marginale » avec qui il ne faut pas tisser de liens, par exemple : être trop âgée, travailler 8 heures par jour, ou, encore plus, avoir un intense dévouement « professionnel », ne pas être agréable et être explicitement célibataire (c’est-à-dire n’avoir d’activité ni hétéro ni homosexuelle).

Nous pourrions ajouter d’autres critères de sélection mais ils seraient tous en rapport, d’une manière ou d’une autre, avec ceux énumérés ci-dessus : les pré-requis typiques pour faire partie des élites informelles du mouvement, et, ainsi, exercer une certaine forme de pouvoir, sont en rapport avec la classe sociale, la personnalité et le temps libre. Ils n’incluent pas la compétence, la consécration au féminisme, le talent ou la contribution potentielle au mouvement : ceux-là sont les critères employés pour établir une amitié, ceux-ci sont ceux que chaque mouvement ou organisation doit adopter s’il veut avoir une certaine efficacité politique.

Le système des stars

La notion « d’absence de structure » a créé le système des « stars ». Nous vivons dans une société qui attend des groupes politiques qu’ils prennent des décisions et désignent des personnes déterminées pour les exposer au public en général. La presse, à l’instar du public, ne sait pas écouter sérieusement les femmes en tant que femmes, elle veut savoir ce que pense le groupe. A partir de là, il existe trois techniques pour connaître l’opinion de vastes secteurs : le vote et le référendum, le sondage, et l’allocution de porte-paroles dans les meetings. Le Mouvement de Libération de la Femme n’a utilisé aucune de ces techniques pour communiquer avec le public. Ni le mouvement dans son ensemble ni la majorité des groupes qui le composent n’ont concrétisé une façon de connaître ou de faire connaître leur position sur différents thèmes. Pourtant le public est conditionné à ce qu’il existe des porte-paroles.



https://r-eveillez-vous.fr/tyrannie-labsence-structure/
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Re: Martyrologie et idéologie, racines de guerres

Message par sycie l'impérative » Mer 20 Jan, 16 10:19

https://r-eveillez-vous.fr/la-peur-pour ... langoisse/

Je vous avais bien dit que tous ceux qui se sont ys des capacités à mobiliser par internet y compris les bloggers ont se faire persécuter par les supporteurs des pouvoirs politiques. Cela tombe bien pour revendiquer des droits avec les autorités car Internet permet de se former tout seul et qu'on est en sous représentation politique, la société civile c'est à dire les groupes humains en particulier les diasporas.

Vous pouvez faire attester vos nouvelles compétences car l'entrée dans les écoles sont fermées à ceux qui se forment seuls? IL YA LA VALIDATION DES ACQUIS PROFESSIONNELS pour ça et les entreprises ont cassé le monopole des structures étatiques.

Le truc c'est la représentation de soi-même ; protéger aussi sa vie privée, car les journalistes sont des combattants ethniques MAINTENANT et ils ont leurs propres filtres d'analyse et peuvent vous faire passer pour des fachos.
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Re: Martyrologie et idéologie, racines de guerres

Message par sycie l'impérative » Mer 20 Jan, 16 10:31

https://r-eveillez-vous.fr/resister-ces ... lternatif/


Merci à tous ceux qui luttent !!!

réseau de résistance alternatif
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Re: Martyrologie et idéologie, racines de guerres

Message par sycie l'impérative » Mer 20 Jan, 16 10:34

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Re: Martyrologie et idéologie, racines de guerres

Message par sycie l'impérative » Mer 20 Jan, 16 10:37

http://www.raidh.org/-Reseau-

Etat d’urgence et libertés fondamentales
Le gouvernement a décrété l’état d’urgence sur l’ensemble du territoire national après les attentats du 13 novembre 2015 qui a fait 131 victimes et 352 blessés.
Ces attentats appellent une réaction des pouvoirs publics pour garantir la sécurité des citoyens. L’Etat a en effet l’obligation de protéger la population et poursuivre en justice tous ceux qui ont ordonné, planifié, organisé et participé à ces attaques.
Toutefois, ces mesures, qui dérogent au droit commun, méritent selon nous d’être interrogées, quelques soient les opinions formulées sur leur opportunité.
Prévu pour une période de 12 jours, l’état d’urgence a été prorogé par le Parlement pour une période de 3 mois à compter du 26 novembre, cette mesure sera donc effective jusqu’au 26 février 2016.
L’état d’urgence est une réponse exceptionnelle à une situation exceptionnelle.
La loi du 20 novembre 2015, qui amende la loi de 1955, restreint - comme la précédente - le champ des libertés publiques, notamment la liberté d’aller et venir, la liberté de réunion, la liberté de manifestation et autorise des perquisitions à tout moment, jour et nuit, en l’absence totale d’une décision judiciaire.
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Re: Martyrologie et idéologie, racines de guerres

Message par sycie l'impérative » Ven 22 Jan, 16 11:29

La mère patrie égoïste !!!!

application :
https://youtu.be/xUMdIy8Il2s

un enfants perdu qui retrouve sa mère biologique Mais.....
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Re: Martyrologie et idéologie, racines de guerres

Message par sycie l'impérative » Ven 22 Jan, 16 11:57

ouai, la tyrannie de l'absence !!!

A force de méconnaître, on nie ;
http://rue89.nouvelobs.com/parti-pris

voilà toutes les affres de la réforme !
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Re: Martyrologie et idéologie, racines de guerres

Message par sycie l'impérative » Ven 22 Jan, 16 12:03

A relier avec la tyrannie de l'absence de structure ou e refus de sa reconnaissance sur un territoire

http://www.freakencesixties.yi.org/text ... cture.html
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