"Apartheid. Le mot est tombé de la bouche du Premier ministre quinze jours après l’attentat du 7 janvier. On s’interroge aujourd’hui encore sur son sens véritable."
Discrimination positive qu'il disait Sarko ! Sa pouline répète ; "la France est catholique de race blanche !" (Nadine Moréno)
Il a dit oui, c'était son programme électoral présidentiel et les pauvres votent contre eux-mêmes !
SE SÉPARER DES AUTRES :
Apartheid. Le mot est tombé de la bouche du Premier ministre quinze jours après l’attentat du 7 janvier contre Charlie Hebdo, dans une France crispée sur les questions de laïcité et de communautarisme. Il a frappé comme une réplique de séisme. On s’interroge aujourd’hui encore sur son sens véritable. Ce qui est sûr, c’est que la violence d’un tel constat crée des obligations. Volontairement ou non, Manuel Valls a transféré le débat sur le terrain social. Et sur un aspect particulier de la question : non pas seulement les inégalités entre citoyens, mais entre les territoires, les quartiers, les écoles. François Hollande n’était peut-être pas ravi de devoir répondre à une question sur « l’apartheid » lors de sa conférence de presse du 5 février, et replonger dans ce débat sur des inégalités qui résultent d’une longue histoire. Ce sont des lois qui ont repoussé les plus pauvres toujours plus loin des centres-villes et des moyens de transport. Bien souvent, les politiques de la ville et d’éducation prioritaire ont eu comme effet pervers de légitimer des ghettos. Plus d’un tiers des municipalités assujetties à la loi Solidarité et renouvellement urbain (SRU) ne remplissent toujours pas leurs obligations de construction de logements sociaux. Et les aides au logement ont d’abord bénéficié aux offices HLM qui ont organisé la répartition ethnique dans les logements sociaux, comme le dénonce le maire PS de Sarcelles, François Pupponi. Pour illustrer ce débat, nous sommes allés dans deux villes de banlieue, à Grigny, où l’on parle volontiers d’« apartheid » de fait, et à Stains, où l’on dénonce plutôt un « abandon » qui condamne les initiatives locales.
C'est pire que ça encore ! Les élus africains, dont Sassou Nguésso se plaignent en reliant le coup des BMA à la polémique actuelle sur la ségrégation politique mondiale du développement séparé. La chose est claire comme de l'eau de roche. L'Afrique s'est mal développée, surtout l'Afrique francophone, car d'après eux, le développement des noirs, DOM TOM compris, polluerait la planète, leur développement séparé ; eux ils ont droit à tout mais pas les colonisés et anciens esclaves ; oui il s'agit des noirs et pas des autres. Les africains et leurs descendants, même s'ils sont devenus blancs ou asiatiques ou latinos 'métis).
Oui il s'agit bien de ça et c'est tellement choquant que personne n'ose en parler ouvertement, au niveau du Sénat, ni de l'ONU, encore moins de l'Union Africaine. Quelle déception pour ceux qui ont lutté contre l'apartheid et le mur de Berlin ! Quelle déception !
C'est bien l'extrême gauche qui est aux commandes en sous-main et ses détracteurs sont l'extrême droite. Mais en réalité ce sont les deux face d'une même médaille.
Le genre a de pair avec le racisme et la xénophobie. Quel homme noir peut devenir quelqu'un quand sa mère,n ses sœurs, et les femmes de couleur ou d'origine noire sont ségrégationnées, à commencer sur le territoire dit d'origine en Afrique ? Ils sont considérés comme des importations illégales quel que soit l'histoire de la migration ou d'intégration car ils ne sont pas intégrés en réalité et destinés à retourner sur leur territoire dit d'origine. ?
Et cela vient des lois !!!! Le sénat en cause, les parlementaires et les sénateurs tous confondus, y compris les partis politiques ; l'état n'est plus le peuple !
Ils l'ont dit très ouvertement !