La santé au Congo-Brazzaville

Libre d'accès et ouvert à tous sujets de discussion.

Re: La santé au Congo-Brazzaville

Message par Aboualo » Mar 18 Sep, 12 9:18

Règle n° 7
Pas de test visuel ou auditif, j'utilise mon sens prédominant pour avoir cette bonne santé .
Ah si vieillesse pouvait encore dominer :lol: le débat .hein mbouinnnnnnnnnn!
Aboualo
Veterran
 
Message(s) : 7285
Inscription : Ven 12 Déc, 08 1:37

Re: La santé au Congo-Brazzaville

Message par Loumo » Mer 19 Sep, 12 3:12

En fait c'est tout le Congo qui doit être évacué.

Par ailleurs si les journalistes faisaient bien leur métier (au lieu de se livrer à des publireportages) tout ce qu'ils déplorent ne leur arriverait jamais. Aux Etats-Unis un Président mordit la poussière grâce à l'action conjuguée de deux journalistes. Il y a tellement d'occasions de provoquer des Watergate au Congo qu'il suffit d'un journaliste indigné pour que le régime de Sassou tombe en Enfer où il serait comme un poisson dans l'eau ou un porc dans la boue.
Loumo
Veterran
 
Message(s) : 8261
Inscription : Mar 16 Sep, 03 10:30

Re: La santé au Congo-Brazzaville

Message par Aboualo » Mer 19 Sep, 12 7:05

Règle n°8
Je reste positif ,je peux avec les progrès de la médécine m'offrir ce que je peine à avoir par moi même .
Congopage est pour moi une chance à saisir
Moralité :Mieux vaut tard que jamais woualaiiiiiiiiiii!!! :lol:
Aboualo
Veterran
 
Message(s) : 7285
Inscription : Ven 12 Déc, 08 1:37

Re: La santé au Congo-Brazzaville

Message par niaou » Sam 03 Nov, 12 4:31

Droit à la santé au Congo-Brazzaville : réalité ou simple utopie?

Pour l'Organisation mondiale de la santé (OMS), le droit à la santé est une préoccupation que doit gérer chaque Etat membre de l'organisation. Et la République du Congo en est membre. Mais pourquoi son système sanitaire, malgré sa croissance économique et quelques efforts faits par le gouvernement pour l’améliorer, est loin de satisfaire les larges masses populaires?

Si la Charte sociale européenne de 1961 est plus ou moins respectée par les Occidentaux, ce n’est pas le cas pour la Charte africaine des droits de l'homme et des peuples de 1981 dont la République du Congo est signataire qui stipule en son article 16 alinéa 1 et 2 « que toute personne a le droit de jouir d’une bonne santé physique et mentale, qu’elle soit capable d’atteindre ». Aussi le Congo devrait s’engager à prendre toutes les mesures nécessaires pour protéger la santé de ses populations et leur assurer l’assistance en cas de maladie.

Société congolaise : fonctionnement double vitesse en matière de soins de santé

Le Congo est un pays où n’existe pas de sécurité sociale. 70% de sa population vivent avec moins d'un dollar par jour en tirant le diable par la queue. Comme la pauvreté empêche les populations déshéritées d’affronter le coût exorbitant des médicaments, se développent les pharmacies de rue, véritables officines qui programment la mort lentement et sûrement dans une population gagnée par l’analphabétisme. Les produits pharmaceutiques, la plupart « made in India », sont vendus à la sauvette dans des étales, sous les durs rayons des soleils tropicaux, au vu et au su de la force publique et des agents du ministère de commerce. Rappelons que le prix d’un médicament peut doubler ou tripler à l‘importation, en particulier les antibiotiques. S’ajoute à ce phénomène, le trafic des faux médicaments à des prix abordables dans le milieu des populations pauvres. Se creuse un fossé entre celles-ci et les 30% des nantis (hommes d’affaires et acteurs politiques) qui peuvent se soigner normalement et même s’offrir des séjours de santé au Maroc, en Afrique du Sud et dans les pays occidentaux car il y a manque de certains spécialistes sur le territoire national. Malheureusement tous ces nantis ne trouvent pas gain de cause quand ils vont se faire soigner à l’étranger. Certains d’entre eux reviennent, hélas, sans vie malgré leurs valises bourrées de billets de banque. Ainsi va la vie au sud du Sahara.

Santé publique : un département social négligé

Il y a régression au Congo du point de vue de la santé publique de 1960 à nos jours malgré la modernisation des structures d’accueil. Et cela avec un des taux de mortalité infantile les plus élevés au monde (une prévalence de 69%). Avec la résurgence de certaines maladies éradiquées il y a quelques années comme le choléra et la poliomyélite, il ya lieu de comprendre l’inquiétude des populations. Se remarque un paradoxe entre les royalties qui proviennent de la rente de l’exploitation des richesses (bois et pétrole) et les dépenses de santé publique ne dépassant à peine 3% du budget.
Le droit à la santé des populations non respecté par les décideurs de la tutelle, une situation malheureusement révélée par le nouveau ministre de la santé, François Ibovi, lors de ses visites des centres hospitaliers de Brazzaville. Dans un langage franc et direct, il a eu le courage, (que ses prédécesseurs n’avaient peut-être pas) à fustiger les maux qui minent la maison Santé. Un manque d’hygiène dans certains milieux hospitaliers avec du matériel obsolète. Des malades négligés aux services des urgences (un malade est resté dans la salle d’entente pendant huit heures avant d’avoir les premiers soins). Des équipements modernes et neufs ne sont pas malheureusement utilisés dans certains centres par manque de spécialistes. Les populations vont plus se faire consulter chez les guérisseurs (tradi-thérapeutes) que chez les médecins.

Esquisses de solutions pour améliorer le système sanitaire

Il faut nommer les gestionnaires de santé sur la base des compétences au lieu de le faire sur des critères obscures (népotisme, favoritisme, tribalisme, ethnicité...). Des antivaleurs sur lesquelles s’appuient certains acteurs politiques dans les nominations des cadres de santé pour se maintenir à leur poste de direction. Et cela se remarque aussi dans les autres institutions de la république malgré la bonne volonté des autorités politiques à lutter contre ces antivaleurs.
La pratique de la bonne gouvernance financière doit être mise en œuvre car les populations constatent qu’il y a la croissance économique favorisée par la rente du bois et du pétrole. A partir de cette croissance, il y a possibilité de réfléchir sur une mise en place de la sécurité sociale financièrement réalisable si on lutte contre les antivaleurs (gabegie, corruption, tribalisme, favoritisme, impunité...) qui ne cessent de gangrener les sociétés au sud du Sahara. A la sécurité économique, il faut maintenant penser à celle qui doit garantir le social alimentaire, sanitaire, hygiénique et même professionnel pour les jeunes qui sortent des écoles de formation et des universités. 70% des actifs sont en chômage et cela pourrait constituer une bombe à retardement dans une société où les inégalités sont toujours « visibles » malgré tous efforts consentis par le gouvernement pour les éradiquer. Une croissance doit en principe générer la création d’emploi, l’amélioration des conditions de vie des populations, surtout dans le domaine de la santé et de l’éducation. Mais il est regrettable de constater que le Congo, qui dispose depuis 2003 d’énormes capacités financières provenant de la manne pétrolière, regarde impuissant les 70% de sa population « vivre dans la merde ».

Pour conclure

Quatrième producteur de pétrole du golfe de Guinée avec un PIB de 9,5 milliards, la République du Congo, avec le retour de la paix depuis 2002, s'est assuré une relative prospérité au point macroéconomique, et cela malgré le mauvais état des services publics comme la santé et l’éducation.
Selon « Perspectives Economiques en Afrique », le taux de croissance en République du Congo devait progresser à 5,7% en 2012 et 4,7% en 2013 après avoir été de 5,3% en 2011. Des chiffres qui pourraient permettre aux gouvernants de solutionner le droit à la santé des Congolais pour qu’il ne soit plus une simple utopie, comme on le remarque actuellement.

Noël KODIA
Source: cliquez ici
niaou
Veterran
 
Message(s) : 6898
Inscription : Jeu 15 Fév, 07 12:10

Re: La santé au Congo-Brazzaville

Message par Aboualo » Sam 03 Nov, 12 9:42

Pour les fondamentaux je mémorise .
je vise une intelligence :lol:
Aboualo
Veterran
 
Message(s) : 7285
Inscription : Ven 12 Déc, 08 1:37

Re: La santé au Congo-Brazzaville

Message par niaou » Mar 13 Nov, 12 1:39

Le taux de prévalence du diabète est estimé à 7% au Congo

BRAZZAVILLE (Xinhua) - Le taux de prévalence du diabète au Congo est estimé à 7%, indique l'Association Diabaction Congo, en citant les résultats de l'enquête STEPS, effectuée par l' Organisation mondiale de la santé (OMS) et le ministère congolais de la Santé et de la Population.

Face à cette situation, l'Association Diabaction et ses partenaires organisent du 8 au 17 novembre à Brazzaville une série d'activités pour faire barrière à l'incidence croissante de cette maladie chronique qualifiée d'épidémie, à l'occasion de la célébration le 14 novembre de la Journée mondiale du diabète placée cette année sous le thème "La prévention du diabète et l' éducation : protégeons notre futur".

Selonc ce communiqué remis lundi aux médias, cette célébration sera marquée par une conférence-débat sur la prévention du diabète et de ses complications, précédée par une messe d'action de grâce à la Cathédrale Sacré Coeur de Brazzaville, un contrôle glycémique gratuit pour les patients diabétiques et une marche de santé partant de l'Hôtel de ville de Brazzaville à l'Institut Maison Bleue du Diabète qui abrite les activités liées à cette journée.

En outre, une Visioconférence intéressant les villes de Dakar au Sénégal, Conakry en Guinée, Brazzaville au Congo et Genève en Suisse, est prévue mardi sur le thème "Comment lutter contre le diabète en Afrique", ajoute la source, précisant que les journées des 12 et 13 novembre, sont consacrées au dépistage à jeun gratuit du diabète. Dans le cadre de cette journée, des séances de sensibilisation sur le diabète ont eu lieu du 8 au 9 novembre dernier dans les écoles, suivies du jeu des SMS du 11 au 17 novembre avec les compagnies de téléphonie mobile au Congo, a-t-on appris.

La Journée mondiale du diabète est célébrée chaque année le 14 novembre, date anniversaire de Frederick Banting, concepteur avec Charles Best, de la théorie à l'origine de la découverte de l' insuline en 1972, conclut le communiqué de presse.
.
URL http://www.afriquinfos.com/articles/201 ... 212912.asp
niaou
Veterran
 
Message(s) : 6898
Inscription : Jeu 15 Fév, 07 12:10

Re: La santé au Congo-Brazzaville

Message par niaou » Mer 14 Nov, 12 1:18

90% des malades du cancer meurent au CHU de Brazzaville

Le professeur Jean Félix Péko du laboratoire d’anatomie cytologie du Centre Hospitalier et Universitaire (CHU) de Brazzaville, au Congo, a révélé lundi que 90% de cas de cancer diagnostiqués dans ce centre meurent de cette maladie.

«90% de cas de cancer diagnostiqués au CHU de Brazzaville décèdent parce que les malades viennent à l’hôpital à un stade tardif et le diagnostic, et on constate que la maladie est déjà au delà de l’organe primitif, où elle s’est développée», a-t-il déclaré lors du lancement de la campagne de lutte contre le cancer intitulée : «85 jours pour s’unir contre le cancer, journée d’information et appel à la solidarité», organisée par la Fondation Calissa Ikama.

«De janvier 1998 à décembre 2011, près de 7074 cas de cancer ont été enregistrés au Congo dont près de 40,3% chez les hommes, plus de 50% chez les femmes et plus de 4,6%. Une situation qui s’explique par le manque de programme de lutte contre le cancer au Congo ainsi que par le retard dans les consultations, l’indisponibilité du traitement, le manque de structures, etc.», a affirmé le Pr. Péko. .../...
En savoir plus
niaou
Veterran
 
Message(s) : 6898
Inscription : Jeu 15 Fév, 07 12:10

Re: La santé au Congo-Brazzaville

Message par Aboualo » Mer 14 Nov, 12 1:52

...Cliquez ici woualaiii
Aboualo
Veterran
 
Message(s) : 7285
Inscription : Ven 12 Déc, 08 1:37

Re: La santé au Congo-Brazzaville

Message par niaou » Sam 24 Nov, 12 8:16

Congo Brazzaville : 26% de décès par les AVC

Le Centre Hospitalier et Universitaire de Brazzaville (CHU), enregistre 26% des Accidents Vasculaires Cérébraux (AVC), selon les statistiques données par les services de neurologie de cet hôpital. Les AVC constituent un véritable problème de santé publique plus important que les maladies infectieuses chez l’adulte.

L’AVC, quatre fois plus de risque au Congo

Le nombre de cas d’AVC enregistré au CHU a doublé de 450 en 2007 contre 200 en 2006. L’hypertension artérielle est l’une des premières causes comportant quatre fois plus de risque, les études montrant que 32 à 43% des Congolais sont hypertendus et nombreux d’entre eux ne sont pas suivis.

Les malades meurent également en raison du caractère brusque de la maladie, du temps passé par le malade avant d’arriver à l’hôpital, ainsi que du coût élevé de la prise en charge, ce qui constitue un handicap par rapport au revenu du Congolais moyen.

Deux types d’AVC

L’AVC désigne l’obstruction ou la rupture d’un vaisseau transportant le sang dans le cerveau. Il en résulte un manque d’apport d’oxygène mettant en danger le fonctionnement d’une ou de plusieurs zones du cerveau.

Il en existe deux types, à savoir un vaisseau sanguin bouché (AVC ischémique) le plus fréquent est un visseau sanguin rompu ou AVC hémorragique dans 20 à 30% de cas.
Source: cliquez ici
niaou
Veterran
 
Message(s) : 6898
Inscription : Jeu 15 Fév, 07 12:10

Re: La santé au Congo-Brazzaville

Message par niaou » Ven 14 Déc, 12 4:01

L'hopital de base de Bacongo aussi malade que les malades qui le fréquentent

C'est à la 5ème minute du reportage:

http://www.dailymotion.com/video/xvwdru ... rch_algo=2
niaou
Veterran
 
Message(s) : 6898
Inscription : Jeu 15 Fév, 07 12:10

Re: La santé au Congo-Brazzaville

Message par Aboualo » Ven 14 Déc, 12 4:08

Eine ergreifende Rede. Das Glück! :roll:
Aboualo
Veterran
 
Message(s) : 7285
Inscription : Ven 12 Déc, 08 1:37

Re: La santé au Congo-Brazzaville

Message par niaou » Dim 16 Déc, 12 12:49

Pointe-Noire: 31 cas de choléra déclarés par la cellule de coordination

Après la pluie diluvienne qui s’est abattue à Pointe-Noire, dans la nuit du 17 au 18 novembre dernier et qui a causé des pertes humaines et des dégâts matériels importants, l’épidémie de choléra refait surface dans la ville pétrolière.

Les statistiques de la coordination du plan de riposte contre cette épidémie, mise en place et supervisée par le docteur Jean-Michel Dzondault, directeur départemental de la santé par intérim, fait état de 31 cas de choléra déclarés. Dieu merci! il y a zéro décès dans les trois hôpitaux qui ont accueilli les malades. La prise en charge est gratuite pour toutes les personnes affectées.
Lasemaineafricaine.com
niaou
Veterran
 
Message(s) : 6898
Inscription : Jeu 15 Fév, 07 12:10

Re: La santé au Congo-Brazzaville

Message par niaou » Sam 29 Déc, 12 9:10

Une visite à l'hôpital de base de Mindouli...

Un hôpital qui est logé dans des bâtiments laissés par les colons, sans eau ni électricité, dans un pays pétrolier....

http://www.dailymotion.com/video/xwaiy5 ... tie-2_news

Vive le chemin d'avenir...
niaou
Veterran
 
Message(s) : 6898
Inscription : Jeu 15 Fév, 07 12:10

Re: La santé au Congo-Brazzaville

Message par Aboualo » Ven 01 Fév, 13 7:20

Wouaaaaaaa il et elles sont gros et croient qu'ils sont en bonne santé :o
Terce mondo mama mia
Aboualo
Veterran
 
Message(s) : 7285
Inscription : Ven 12 Déc, 08 1:37

Re: La santé au Congo-Brazzaville

Message par sycie l'impérative » Mar 05 Fév, 13 1:12

Ils sont très en retard, comme dirait "Dieudo" le Kamer... Ils sont trop gros !!!
sycie l'impérative
Veterran
 
Message(s) : 4181
Inscription : Jeu 20 Mai, 10 9:08

Re: La santé au Congo-Brazzaville

Message par niaou » Sam 15 Juin, 13 4:04

Pointe-Noire: le choléra signe et persiste

L’épidémie de choléra déclarée à Pointe-Noire en février 2013, connait augmentation considérable de cas, atteignant quelquefois 19 nouveaux cas par jour

L’épidémie de choléra déclarée à Pointe-Noire, connait depuis février dernier une augmentation considérable de cas, atteignant quelquefois 19 nouveaux cas par jour, alors qu’on a déjà dénombré un total de 1054 malades dont 16 décès. Cette situation alarmante a été révélée dans le rapport du plan d’urgence de riposte élaboré récemment par la cellule départementale de crise contre les catastrophes avec la participation de l’OMS, l’UNICEF, des Médecins Sans Frontières (MSF) et autres ONG œuvrant dans le cadre de la santé et les secteurs connexes. Le plan d’urgence de riposte a été mis en œuvre, à l’issue de la visite de travail que le ministre de la santé et de la population, François Ibovi, a effectuée dernièrement à Pointe-Noire.

Urgence d’un nouveau plan de riposte

Avec le taux de létalité de 1,55%, souligne-t-on dans ce rapport, il y a nécessité de mettre en place un nouveau plan de riposte contre le choléra renforcé qui serait axé sur le plaidoyer pour la mobilisation des ressources, l’identification totale des Circonscriptions Socio-Sanitaires (CSS) et des communautés, l’intensification de l’assainissement, de l’hygiène environnementale, alimentaire et de l’eau dans les zones à risques, le renforcement de la surveillance épidémiologique et la prise en charge de cas.

Dans ce rapport, les enquêteurs confirment que c’est la pluie diluvienne du 17 au 18 novembre 2012 ayant causé à Pointe-Noire plusieurs dégâts matériels et des pertes en vies humaines qui a engendré l’apparition de plusieurs maladies dont neuf cas de diarrhées à caractère cholérique, parmi lesquels quatre ont été confirmés au Laboratoire National de Santé Publique (LNSP).

En effet, lors du sinistre causé par la pluie diluvienne, plusieurs maisons ont été emportées et 1407 sans-abris étaient logés dans l’enceinte de la foire et de la caserne des sapeurs-pompiers. Le retour précipité de ces populations sinistrées qui étaient logées dans les sites, dans leurs domiciles potentiellement infectés par les eaux souillées après cette pluie, a entraîné la résurgence des maladies diarrhéiques, dont le choléra.

Parmi les facteurs aggravant la situation de l’épidémie dans la ville océane, figure l’insalubrité permanente à Pointe-Noire. On cite les mauvaises conditions des latrines, voire l’absence des latrines, la consommation de l’eau de boisson non potable des sources inconnues; la vente des denrées alimentaires à même le sol et proches de zones de prolifération des microbes, les habitations situées à proximité des zones à risques de maladies, la promiscuité des populations avec l’environnement insalubre, les mauvaises conditions d’hygiène alimentaire et environnementale, rappelle-t-on.

http://journaldebrazza.com/article.php?aid=3176
niaou
Veterran
 
Message(s) : 6898
Inscription : Jeu 15 Fév, 07 12:10

Re: La santé au Congo-Brazzaville

Message par niaou » Mer 26 Juin, 13 1:43

Insalubrité à Pointe-Noire

Pointe-Noire, ville pétrolière n'a rien à avoir avec Oyo. La preuve.

http://www.youtube.com/watch?v=_MJag6h6q3o
niaou
Veterran
 
Message(s) : 6898
Inscription : Jeu 15 Fév, 07 12:10

Re: La santé au Congo-Brazzaville

Message par niaou » Ven 28 Juin, 13 12:39

Les cas de cancer en augmentation à Brazzaville

Le chef du service de cancérologie au Centre hospitalier et universitaire (CHU) de Brazzaville, Charles Gombé Mbalawa, a indiqué jeudi que les cas de cancers étaient en augmentation rapide dans la capitale.

Le dernier rapport du registre des cancers précise que 614 nouveaux cas ont été enregistrés au cours de l'année 2012, alors qu'en 2011 et 2010 les nouveaux cas étaient inférieurs à 500.

Les nouveaux cas ont été dépistés en grande partie chez des femmes, mais les types de cancers diffèrent surtout selon les sexes.

"Chez l'homme, les cancers de la prostate et du foie sont plus fréquents, alors que chez la femme ce sont ceux du sein et du col de l'utérus qui prédominent ; chez l'enfant c'est l'oeil, le rein et les os", a précisé ce professeur de cancérologie. Ayant intervenu lors d'une réunion des organisations de la société civile oeuvrant contre cette maladie, il a invité ces organisations à activer les campagnes de sensibilisation sur la prévention, la détection et les traitements de la maladie et invité l'Etat à faciliter les soins aux malades.

"C'est l'affaire de l'Etat de trouver le coût de traitement le plus bas possible pour les populations, afin de rendre possibles les traitements, puisqu'ils existent", a assené M. Mbalawa.

Selon les spécialistes, en effet, le cancer reste peu connu des populations au Congo et, pour tous les types de cancers, le traitement est très couteux dans les hôpitaux.
http://www.afriquinfos.com/articles/201 ... 224744.asp
niaou
Veterran
 
Message(s) : 6898
Inscription : Jeu 15 Fév, 07 12:10

Re: La santé au Congo-Brazzaville

Message par niaou » Lun 01 Juil, 13 2:18

Une femme meurt par négligence au C.h.u de Brazzaville

Une femme de quarante environ, victime d’une crise à son domicile, sis dans la rue Marie Bella, à Diata, un quartier de Makélékélé, le premier arrondissement de Brazzaville, a été évacuée d’urgence au C.h.u (Centre hospitalier et universitaire) de Brazzaville, jeudi 20 juin 2013.

Mais, au service de réanimation où elle devait être admise, il n’y avait pas de place, semble-t-il. En attendant qu’un lit soit libéré, on l’a placée dans un coin du service. Malheureusement, vendredi 21 juin, vers 4h du matin, la pauvre femme a rendu l’âme, probablement, par négligence.

http://www.starducongo.com/Une-femme-me ... a7858.html
niaou
Veterran
 
Message(s) : 6898
Inscription : Jeu 15 Fév, 07 12:10

Re: La santé au Congo-Brazzaville

Message par sycie l'impérative » Mar 02 Juil, 13 11:36

Toujours en retard ce gouvernement. Même en Lybie, tous les soins étaient gratuits...
Que fait le Congo des rentes de son pétrole ?

Ce gouvernement raisonne et agit comme une secte ; la secte du rien :
en quoi croyez-vous messieurs dames ?
- en rien,
que faites-vous pour le peuple ?
- rien

Bon ben merci pour les réponses.
- mais de rien...
sycie l'impérative
Veterran
 
Message(s) : 4181
Inscription : Jeu 20 Mai, 10 9:08

PrécédentSuivant

Retour vers Forum Public

Qui est en ligne ?

Utilisateur(s) parcourant ce forum : Aucun utilisateur inscrit et 14 invité(s)
cron