Rites et Coutumes de mariage au Congo

Libre d'accès et ouvert à tous sujets de discussion.

Message par Gnoka » Ven 11 Juil, 03 2:11

Non Joey, le Globo n'est pas le bonbon rouge. Le bonbon rouge c'est le bonbon de "chocona", enfin quelque chose de ce genre, certains étaient made in Cameroon. Le Globo était emballé (chui-gum) alors que le bonbon rouge, très sucré à la menthe, c'était le fameux bonbon ya konsi-konsi. Le bonbon rouge était génial et un délice. D'ailleurs, je pratiquais les tourments d'amour là-dessus. Nous connaissions un marabout résidant vers le centre du dépôt de trains à Mpila : un grand maître des "tourments". Wallaï, c'était imparable ! :lol:

Justice, bon sang, quelle soudaine grandeur ! N'étais-tu pas de cette partie qui faillit mettre un terme à ce site : la fameuse épisode de la mise à mort du renégat Benda Bika. Mais bon, il n'y a que les i-mbéciles qui ne changent pas, dit-on. :o

A propos de cette histoire du vagin comme don suprême à monnayer, je n'y adhère pas. Les femmes en salivent devant les beaux mecs tout comme les hommes réciproquement, à moins d'être homosexuel Je n'ai rien à envier à certains hommes qui gagnent leur vie en exhibant leur corps au point de payer une femme qui se régalerait à m'avoir à elle toute seule. C'est un comble. Cela peut vous paraître narcissique, mais j'ai toujours été dégoûté par l'attitude vénale de la LARGE majorité des Congolaises. D'ailleurs, elles sont bien connues. Leur réputation est toute faite. A Paris, on les surnomme les "picsous" et ne sont battues que par leurs consœurs les caméRUINEUSES : les plus grosses salo-pes de toute l'Afrique. Pis encore, elles n'ont ni l'affection, ni la tendresse d'une Zaïroise ou la profondeur d'une wara, a fortiori d'une Toubab, qui t'aime pour toi et non pour ton porte-monnaie ou ta caisse.

Les Congolaises sont la calamité incarnée en amour. Je meurs toujours d'envie lorsque que je vois les quelques rares frangins ayant tiré un bon lot. Mais, croyez-moi, la bonne Congolaise en amour est tout aussi rare qu'une combinaison gagnante au loto. Ca ne sert donc à rien d'y rêver.

Joey, je suis désolé de te contredire ; les Congolaises it's in the blood. Le mec doit saigner, combien même vous avez les mêmes revenus. D'ailleurs, très rares sont les Congolaises ayant épousé un mec de la promo. Elles préfèrent toutes les vieux car plus riches. Ceux qui n'avaient pas des difficultés ce côté là, c'est parce que les nanas misaient sans doute sur leur prestige familiale. En fait, TOUS les jeunes Congolais HONNETES reconnaîtront ce fait : les Congolaises sont des sa-lopes. En réalité, les Congolaises n'ont pas de cœur, c'est le porte-monnaie qui commande tout. Les couples entre lycéens ou entre étudiants de même niveau sont rarissimes (ndlr, Titus 74). C'est vrai lorsqu'elles sont vieilles (et amorties comme l'on dit) avec une ribambelle de marmailles, elles se rachètent, c'est-à-dire souvent à 35 ans passés, lorsque les yeux des vieux riches sont désormais tournés vers la chair fraîche et les fioti-fioti. Là en effet, un homme peut jouer au beau avec une Congolaise. Et, encore faudra-t-il qu'elle ait une position financière plus que forte. Autrement, tous rapports d'amour avec la Congolaise se résume aux rapports de prostitution. :evil:

Un vilain Parisien moche à cchier, ventru et mal coiffé, ou un rugueux colonel gras du quartier va te faire un carton que le bel homme musclé élancé et svelte d'à côté n'aura même pas un coup de regard : un vrai comble. Récemment, j'ai été effaré qu'une amie d'enfance s'est retrouvée la Nième femme d'un général charismatique, ancien chef d'Etat major général des armées congolaises ; enfin, vous voyez sans doute de qui je cause. Me-rde alors, avais-je dis, il a presque l'âge de ton vieux ! Et elle me rétorqua, et Edith, son mec est plus vieux que son papa. Bref, je ne vais pas l'allumer ici car elle m'avait bien aidé avec cette histoire des Kadhafi. Mais ça fout quand même les boules. Une femme d'un tel vieux même avec double "bottine", moi pas touche. POUAH !

Bref, en plus d'être réputé un bon coup et comme je me trouve plutôt bien fichu, je n'ai aucun intérêt à saigner pour une nana ; nombreuses devraient plutôt me payer. Conclusion, je ne m'intéresse JAMAIS aux Congolaises. Elles n'ont qu'à faire la pu-te avec ceux qui les intéressent. :evil:

Gnoka.
Avatar de l’utilisateur
Gnoka
Veterran
 
Message(s) : 2598
Inscription : Jeu 01 Jan, 70 2:00
Localisation : Paris, France.

Message par Mère Evé de Paris » Ven 11 Juil, 03 2:31

Alors là, Doyen, après ces beaux discours, il va falloir mettre ta photo en ligne, qu'on bave devant le beau gosse, même si on a passé l'âge du casting ! :cry: :lol: :lol: :lol: Vous êtes où, les filles, je commence à me sentir isolée !

Et maintenant, je comprends pourquoi mon homme revient toujours avec un meilleur poisson que moi de l'épicerie des Camerounaises en bas de chez moi… la dernière fois, elles m'ont refusé un crédit de 7 centimes d'euros, alors que je les visite bien 2 fois par semaine !


Mère Evé - VIEILLE et pas sorcière, mais qui se fait pas emballer pour un bonbon, POUAH !
Avatar de l’utilisateur
Mère Evé de Paris
Veterran
 
Message(s) : 4089
Inscription : Ven 19 Juil, 02 4:45
Localisation : Paris

Message par Gaspard » Ven 11 Juil, 03 5:27

Il est étrange de voir comment des coutumes du mariage on vous en êtes arrivés à ne plus débattre que de la sexualité vénale des femmes congolaises.
Gnoka a raison, un mec jeune, beau et bien foutu ne vaut pas un coup de sirop à côté d'un vieux gros moche avec une belle voiture, les nanas rèvent toutes d'un mec jeune, beau et bien foutu avec une belle voiture, si en plus il pouvait être blanc, célibataire et prêt à les épouser ce serait encore mieux.
Des tas de vraiment belles filles traînent dans l'Avenue Charles De Gaulle tous les soirs, elles commencent la soirée au Carnaval, casino monté par des libanais, où elles tentent de se trouver un mec qui les fera rentrer dans la boite juste en face, le Jaccadi's, de là si elles ne sont pas encore dans un lit, elles vont au Master, une autre boite un peu plus bas dans l'avenue, et elles finissent tout près de Score au Colibri avec celles qui ont réussi à se débarrasser de leur premier client, des fois qu'elles en trouvent un autre.
Sont-elles toutes des putes de métier ? Ben non, absolument pas, bon nombre bossent en secrétariat ou dans des commerces, certaines mêmes sont propriétaires de leur magasin, ça ne les empèche pas de se faire rémunérer pour leurs prestations.
Au début de mon séjour je suis sorti avec quelques belles, super sapées avec bagnole, je les invitais au resto, au ciné ou ailleurs payant pous les frais, aucune n'a jamais oublié de me demander son argent au moment de se séparer. Certaines ont passé une semaine ou deux avec moi, bien entendu je payais tout et chaque jour elles avaient de l'argent pour passer leur journée. Aucune lorsque nous avons décidé de nous quiter n'a accepté de partir sans un présent substantiel.
Alors quoi que faut-il faire, devenir PD ? Il y en a maintenant tout plein qui font lemême manège, rassurez vous je ne suis pas client, bien que si je l'étais je n'en aurais pas honte. Ca c'est un peu nouveau, l'hommosexualité masculine est vraiment tabou ici, et les gays se cachaient dans le temps, qu'ils s'affichent c'est une inovation.
Gaspard
Doyen du forum
 
Message(s) : 205
Inscription : Ven 20 Juin, 03 6:02
Localisation : Quelque part au pays

Message par Nyelenga » Ven 11 Juil, 03 5:45

Hé Gnoka là, faut pas critiquer les CameRuineuses, j'en ai une à la maison Moa! Quant à toi Gaspi (llage) sache qu'il n' y a pas de mal a etre GAY!

Recevez superbement un peu de sable du Sahel.

Nyelenga
Nyelenga
Doyen du forum
 
Message(s) : 492
Inscription : Jeu 01 Jan, 70 2:00

Message par Mère Evé de Paris » Ven 11 Juil, 03 6:07

Quand je dis que je me sens isolée… Kimia, où es-tu ?! Charme, Amme, Swazz, Eliaaaaaaane !!!!!!!!!!!!
Une pôvre mundele pour seule représentante de la gent féminine, je peux pas argumenter, et les sœurs du Congo qui ne répondent pas… :(

Mais enfin, comment fait-t-on la transition de "jolie fille" qui écume les clubs (et les portefeuilles, dites-vous) à "vieille de 35 piges" entourée de marmaille ? On se marie ou se met en ménage à quel moment ? :o

En tout cas, vous êtes une majorité de pessimistes à propos de vos compatriotes femmes ; alors, comment se comportent vos sœurs, les "utérines", élevées avec vous avec a priori la même éducation ?
Si elles sont différentes du portrait présenté, ça laisse un espoir, sinon, il y a une faille dans le message transmis par Papa-Maman, et il va falloir corriger ça sur "the next generation"…
Au boulot, les gars !


Mère Evé

Salut tonton Nyelenga, chausse tes lunettes, Gaspard a dit qu'il l'assumerait s'il était gay, et en plus il a l'air désespéré par ses rencontres féminines, un peu de compassion ! Et ta CameRuineuse, elle te demande de l'argent de poche, ou bien ? (j'espère qu'elle te lit pas, j'aurais pas apprécié…)
Avatar de l’utilisateur
Mère Evé de Paris
Veterran
 
Message(s) : 4089
Inscription : Ven 19 Juil, 02 4:45
Localisation : Paris

Message par TITUS 74 » Ven 11 Juil, 03 8:28

Joey The Kong,
j'apprécie ton écriture, j'adore te lire. Mais une fois de plus vous me montrez que vous n'avez aucune connaissance de terrain. Faites vous mes nègres et on écrira une vraie oeuvre sur le congo.

Si je ne t'appréciais tant, j'allais te dire : "quand on confond bonbon rouge et globo on ..."

La MAGISTRALE LECON que GNOKA vient de te donner te dira ce que c'est qu'un homme de terrain. Gnoka est un homme de terrain son exposé est à 100% véridique. Nous parlons de ce que nous savons car on a mis le nez dedans (le sujet j'entends).

Ne cherchez pas à trouver des excuses aux femmes congolaises. Elles sont comme ça, c'est connu de tous. On est déjà 2 (Gnoka et moi) à ne plus en vouloir. La liste s'allongera j'en suis sûr si jamais elles ne changent pas. Mais déjà on en trouve plein qui n'arrivent pas à se caser.

Des vrais Cartepilars comme dirait LUAMBO MAKIADI dans sa chanson intitulée Très faché, où il dénonçait publiquement ce comportement de la femme congolaise. Rappelez-vous cette phrase :

"Mwasi mobimba akoma Cartepilar na quartier, ba nzela nionso ye kaka kobonguisa".

A propos des CAMERUINEUSES, les congolaises elles mêmes reconnaissent que les camerounaises sont pires qu'elles.

Les congolaises surnomment les camerounaises "Bérets rouges" , pour les dégats qu'elles causent au sein de la gente masculine. Le CAUCHEMAR pour une congolaise est que son conjoint ait une amante camerounaise, car elle sait qu'elle n'aura même pas les miettes.


à GASPARD. Non nous ne sommes pas hors sujet. Nous sommes dans le sujet. Quand on incrimine la disparition de la dot comme cause de divorces répétés dans la société congolaise. On démontre à ceux qui le disent que les congolaises partent à cause de l'argent. Elles offrent leur corps et leurs ames aux plus offrants.


Une petite note gaie (sans jeu de mots)

à Mère Evé, voici un petit complément sur le bonbon rouge.

Le bonbon rouge s’appelait simplement « bonbon rouge ».

Si tu dis bonbon rouge a un congolais ou une congolaise, tu vas voir son visage s’illuminer car ça lui rappellera incontestablement son premier rapport sexuel ; survenu généralement à l’âge de 6ans. Et comme toujours, derrière une case. Car c’était le seul endroit où l’on pouvait échapper à la vigilance des parents et aux regards indiscrets. L’arrière de la case était l’endroit préféré des enfants. On y jouait au papa et à la maman. Les rapports sexuels s’appelaient « ko dobé », et cela se passait en plein jour. Des fois on était surpris par les parents ou les plus âgés qui nous chicotaient alors.

Pour « dober », le petit garçon montrait le bonbon rouge à la petite fille. Le bonbon rouge coûtait 5 CFA (1/20 de franc), mais symboliquement on peut dire qu’il représentait à peu près ce que c’était la somme de 1 franc en France avant l’euro. Une sorte d’unité monétaire. Mais pour les avoir ce n’était pas facile car les parents remettaient rarement de l’argent aux enfants de cet âge là (comme un peu partout dans le monde). Donc, soit on demandait 5CFA aux parents pour aller acheter le bonbon rouge prétextant que c’est pour soi même et on allait l’échanger contre sa belle. Soit en faisait la taie d’oreiller (cachette préférée de nos mamans) pour soutirer les 5 CFA et courrir chez le sénégalais (ouest africain) du coin acheter le bonbon rouge pour sa destinée d’un jour.

Une fois son bonbon rouge dans la main, le petit garçon le montrait à sa future proie, qui appâtée le rejoignait derrière la case. Et là commençaient les négociations :

- On fait ! disait le petit garçon
- Donnes d’abord le bonbon rouge ! rétorquait la petite fille
- On fait ! insistait le petit garçon
- Donnes d’abord le bonbon rouge ! répétait à nouveau la petite fille.

En effet, certaines petites filles roublardes avaient l’habitude d’escroquer les petits garçons, c’est-à-dire qu’elles prenaient la bonbon rouge et retournait du coté où il y avait les parents. Exactement comme font leurs grandes sœurs à l’âge adulte. Se faisant volontairement collée par une copine, après que le pauvre Justice leur aie payé le taxi, le dîner, l’entrée en boite de nuit, la conso, etc… « Tu vois pas que ma copine est là ? toi aussi ! », prétextent-elles alors, lorsque le pauvre Justice réclame son dû.

Et même parfois elles osent dire : « Pona soso osombeli ngaï ? »
(traduisez : Tu veux quoi ? à cause du poulet que tu m’as acheté ?)

Justice a dû l’entendre souvent. C’est la parade infaillible des congolaises qui laisse le congolais penaud, cloué devant l’entrée de chez lui, tandis la nénette dandine et prend devant ses yeux le taxi qu’elle payera avec le rendu de la monnaie posé sur la table du bistrot et dont elle s’était précipitée de récupérer pour mettre dans son porte monnaie. Galant, le mec laissa faire, large sourire à la bouche, imaginant déjà que l’affaire est dans la poche. Et ben il s’était trompé. C’était un « yuma » et non un « amona clair », les deux catégories dans lesquelles la congolaise classe les mecs. Avec un « amona clair », elle est obligé de monter, sinon ce sont les muscles (les autres) qui vont parler. Autant dans ces cas là, laisser parler le petit muscle.

Il y a quelques mois, j’avais suivi une émission sur ARTE qui montrait le comportement d’une espèce de gros singes de Madagascar qui était presque similaire à celui des congolais. La femelle est une vraie paresseuse qui va jamais cueillir ce dont elle a besoin pour manger. C’est le mâle qui cueille. Et la femelle vient ensuite demander au mâle qui, au début n’est pas enthousiaste pour donner. Alors la femelle se met dans toutes les positions sensées être érotiques. Le mâle perd la tête et finit par tout donner. Une fois que la femelle a fini de manger, ils font ngolo-ngolo sur les branches.

Après avoir regardé cette émission, je me suis sérieusement demandé si la branche humaine congolaise ne descendait pas directement de ces primates.

TITUS 74
TITUS 74
Doyen du forum
 
Message(s) : 298
Inscription : Mer 14 Mai, 03 10:24

Message par Ender End » Ven 11 Juil, 03 9:16

TITUS 74 et Gnoka Image trop fort !

Je partage votre avis, mais dans la limite où on ne fait pas dans le superlatif. Que la misère, la recherche d'un monde meilleur, d'une manière de donner une vie décente à sa famille pousse les congolaises (après les somaliennes, les tchadiennes, les camérounaises, les ex-zaïroises, les centrafricaines, les ivoiriennes, les cambodgiennes, les philippines, les marocaines, les américaines du nord, etc.) a marchander leurs charmes dans la recherche du bon coup qui subviendra à une vie de confort me paraît être la triste réalité de notre monde de brutes et de mondialisation.

J'ai, entre autres, une fille. Qui est donc une congolaise. Qui va hériter des à-priori sur les congolaises des mâles qui veulent faire croire qu'ils sont au-dessus du système. J'vous jure ... dès qu'elle a 13 ans, je me munis d'un 22 long rifle et les p'tits connards qui veulent se la jouer disparaîtront (à mon grand étonnement et sans trace) de la circulation. Et les connards en question sont ... des congolais.
Vous ait-il venu à l'esprit de penser que si les congolaises sont ainsi, les congolais y sont pour quelque chose ? :evil:

Tous mes souhaits d'espoir à ceux qui pensent que parce que leur femme n'est pas dans la liste d'origine ci-dessus (plus etc. :lol: ) sont à l'abri d'une relation vénale. Et ceci est également vrai pour les femmes ... prendre les mêmes et faire un négatif sexuel.
Ender End
Doyen du forum
 
Message(s) : 288
Inscription : Jeu 01 Jan, 70 2:00
Localisation : Perdu dans Internet

Message par Joey the Kong » Ven 11 Juil, 03 9:25

:cry:

Non Titus, je ne te suis pas dans tes règlements de compte avec la gente féminine congolaise qui ont fait leur éducation sexuelle à cinq ans appaté par des "bonbons rouges". J'ai raté des épisodes ou on a pas fréquenté les mêmes milieux : 3 ans à Ouenzé, 12 ans à Bacongo-centreville on a visiblement pas usé du bonbon rouge pour la même raison :roll:

Ce qui me surprend, c'est que tu ignores totalement mes exemples qui correspondent à un décor totalement différent du portrait décrit de la femme congolaise. Je t'ai décrit des hommes congolais démissionnaires, incapables de gérer une relation avec une femme émancipée.

Toutes des putes, des salopes ayant fait leur initiation derrière la case de papa et maman à 5 ans? :o

Je suis hébété par la radicalité de ta position et ton refus de voir en quoi les hommes sont responsables de la situation.

Toutes des putes et des salopes. C'est donc le cas de nos mères et de nos soeurs. J'ai pas de soeur, donc je n'ai pas observé le phénomène. Mais parlons de nos mères, gang bang et tournante devaient être leur lot quotidien dans leur jeunesse ou alors la machine sociale s'est détraquée d'une génération à l'autre. Le hic, il est où? C'est peut-être dans l'avancée des moeurs, la révolution sociale chèrement acquise que tu nous a décrite.

Cher Titus,
je pense que tu es un peu excessif, mais encore une fois si la femme congolaise est vénale au point où tu le décris, je pense qu'il serait intéressant de plancher sur les causes profondes de cette situation.

Un poil de passion est toujours intéressant dans la discussion, j'ai beaucoup de plaisir à te lire égalemment.
Joey the Kong
Doyen du forum
 
Message(s) : 171
Inscription : Jeu 01 Jan, 70 2:00

Message par Gnoka » Sam 12 Juil, 03 2:32

Ne nous cachons pas derrière les bonnes manières ou la pudeur. Je n'ai pas de sœurs ; cependant, j'ai des cousines que je considère, à part entière, comme mes sœurs. Elles ont toutes connues leur puberté à Paris et malheureusement entourées par la sale mentalité de croqueuse d'hommes des Congolaises. Un de mes amis (Congolais) en pinçait pour une, du même âge que lui. Mais seulement, à l'époque mon pote était étudiant et tirait le diable par la queue comme tout étudiant. J'ai eu beau intervenir en faveur de mon ami, c'était peine perdue. Aujourd'hui, mon ami est contrôleur de gestion chez Elf à Ponton la Poubelle et père de 2 petites filles avec une guadeloupéenne qui supporta sa misère de jeunesse. Quant à ma jeune cousine, elle est maquée à un vieux Congolais ( 9 ans de plus)- de bonne famille - qui avait déjà 3 gosses au bled. Ils en ont 2 ensemble. Mais les bonnes familles du Congo, ça va et ça revient. En ce moment, c'est plutôt la Berezina.

Les CaméRUINEUSES n'ont pas volé leur réputation, croyez-moi. Et personne ne viendra ici torpiller les Zaïroises que l'on sait très douces, tendres et affectueuses. Quant aux Congolaises, elles ne pratiquent que la torture en amour. Le mâle doit saigner, c'est clair. Amalgame, dites-vous ? Le mot est lâché. Une bonne et honnête Congolaise en amour est tout aussi rarissime qu'une combinaison gagnante au loto, avais-je dis. Et c'est clair. Le mail de Gaspard n'est pas du vent. C'est ça la Congolaise. C'est-à-dire une affreuse et cruelle nana sans état d'âme. Le pire dans cette histoire, souvent, ce sont des filles qui ne sont nullement dans la galère. Comme si c'était un jeu , elles préfèrent ce manège de ***propos injurieux, censuré***. S'il n'y avait que le sexe qui les intéressaient, je ne dirais rien. Mais, une nana qui a une caisse à Brazza ou vit dans une villa cédée par les parents et parfois possèdent un boulot ou des zong zing (ndlr business), je ne comprends pas qu'elles puissent jouer ainsi les salopes. Me comprenez-vous ? Les pourries, en tout cas, celles que je connais sont TOUTES plutôt dans des milieux favorisés. L'amour amour ne les intéresse pas. Ce qui les fait mouiller c'est l'amour vache, l'amour torture ou l'amour ***propos injurieux, censuré***. Il va de soi que j'attends une antithèse, que ça soit ici ou là-bas. Editez ces échanges et distribuez les aux Congolais, personne n'en trouvera à redire.

Mon cher Joey, on n'a pas besoin de sociologues pour stigmatiser la cruauté des Congolaises en amour. La misère n'est pas une excuse à cette barbarie en amour. Je connais Kinshasa comme nombreux d'entre nous. Il y a une misère là-bas qui dépasse toutes les descriptions les plus atroces. A côté de moi, il y a des veinards qui pourtant ont des Zaïroises comme femmes… eh ben, ils ne les échangeront jamais contre les escrocs de Congolaises. JAMAIS ! Une Zaïroise te rend heureux alors que les autres salopes te rendent aigri et même violent.

Quant aux CaméRUINEUSES, pour ceux qui en douteraient, allez-y, essayez et vous nous rendrez des comptes. Ce sont des vraies pros. Elles sont généralement toutes belles comme le jour et surtout très avenantes, pourvues de bonnes manières comme on les aime… mais alors après, c'est la cata… elle te travaille au corps au point de t'envoyer faire des cambriolages. Jamais, une Camer te fera d'histoires parce que t'es occupé. Contrairement à la Congolaise qui agit tout en force, avec la Camer c'est tout en finesse, dans l'art et les bonnes manières… jusqu'à littéralement te ruiner : d'où la réputation de CaméRUINEUSES ou les forces spéciales (béret rouge). C'est assurément la pointure d'en dessus.

Frangin Nyelenga, fais gaffe. D'ailleurs, on ne quitte pas une Camer sans séquelles. Elle te presse comme un citron et te marque, presque, à vie. Si t'es dégoûté, tant mieux. Mais, si tu crois pouvoir faire mieux avec une plus pètè pètè, alors là, c'est la lois des séries. Jamais tu ne t'en sortiras. Tu demeureras ruiné et brouillé sésé séko. Je suis même moi un peu Camer…

Contrairement à Ender End, ça sera un grand plaisir que ma fille épouse un Congolais. En revanche, je la tiendrai à distance de ses TATAS Congolaises. Jamais, elle ne sera comme elles. Crois-moi Mère Evé ! J'espère qu'elle sortira avec des garçons de son âge, qu'elle aura plus ou moins le même âge que son époux c-à-d comme ses parents. OUI, j'espère que ça ne sera pas une dégoûtante ***propos injurieux, censuré*** comme ses tantes.

Gnoka.
Avatar de l’utilisateur
Gnoka
Veterran
 
Message(s) : 2598
Inscription : Jeu 01 Jan, 70 2:00
Localisation : Paris, France.

Message par TITUS 74 » Sam 12 Juil, 03 8:39

Gnoka a tout dit, tellement bien dit que je n'ai rien à rajouter.
Je vous conseille d'imprimer ou de copier/coller le texte ci-dessus de Gnoka et de les archiver. Il reparlera à certains.

La finesse, les bonnes manières en effet GNOKA, la congolaise est aussi rentré dans ce jeu diplomatique. Elle a dû suivre des stages chez les caméruineuses. Elles sont aujourd'hui capables d'élaborer des plans sur 5 ans (flirt, ton divorce, ton mariage avec elle, etc ...), juste pour te dépouiller à la fin et acquérir au passage la nationalité française.

Dans sa chanson intitulée NON , Luambo MAKIADI disait, je cite : "Mibali bo tia frein à main".

Heureusement, j'ai toujours été attentif aux propos de Luambo, donc je n'ai jamais été victime de rien. Des fois je joue le jeu juste pour voir jusqu'où peut en effet aller la congolaise. C'est ahurissant, effroyable, et en même temps pitoyable. Nos soeurs en arriver là. Quelle misère morale.
Souvent elles prient en plus. Comment voulez-vous que j'aille m'asseoir avec des gens comme ça dans une l'église. Résultat, j'y vais jamais.

Joey The KONG, je ne règle pas mes comptes avec les congolaises. Et j'ai 5 soeurs. Mais je le dis, je le répète et je le dis à mes soeurs dont certaines lisent ce forum, que j'en veux énormément à la femme congolaise (40-45 ans aujourd'hui).

J'ai passé 30 ans de ma vie à me battre aux cotés d'elles. Elles ont eu accès au savoir illimité, elles ont eu la liberté.

J'ai été chef de Classe en géologie. J'ai vu arrivé les 2 toutes premières étudiantes congolaises en géologie. Des filles formidables, belles, intelligentes, qui en voulaient. Les profs étaient sceptiques pour les accueillir en géologie car on disait que c'était un "métier d'hommes". Nous nous sommes battus pour elles afin qu'elles soient acceptées.

On les a ensuite encouragé, protégé, on partait 1 mois dans la forêt du Mayombe faire le terrain. On dormait dans les mêmes cabanes, on se baignait ensemble dans les mêmes marigots. Jamais mes relations amicales avec une fille n'avaient atteint ce niveau qu'avec mes collègues filles de géologie. Ils n'y avait (il n'ya) aucun tabou.

Tout le monde s'imaginait qu'il se passait des choses entre elles et nous. Car dans l'esprit du Congolais une relation homme/femme sans "ntsia malu" est impossible.

Voilà la congolaise dans laquelle je croyais,
Voilà la congolaise pour laquelle je me suis "battu" contre mon père jusqu'à risquer la correctionnelle c'est-à-dire la malédiction à vie.

Nous étions complice de nos soeurs contre nos pères et mères. On couvrait le petit copain de la soeur, en le faisant passer pour notre ami. Et elles allaient jusqu'à faire ngolo-ngolo dans nos chambres. Car on comprenait qu'une soeur puisse avoir son petit copain. JE DIS BIEN "SON", donc 1 petit copain (pas 10). Et bien sûr, un jeune de son âge, généralement un de ses copains de classe également.

Alors que le papa était déjà soudoyé par les vieux bembé du coin, dont certains sont des célèbres "autorités" congolaises avec 4 femmes.

On ne voulait pas voir nos soeurs terminées 4ème femme de quelqu'un fût-il puissant général congolais. On lapidait le gars, et on sommait le vieux d'aller rendre immédiatement le lendemain les 30 000 CFA que le gars avait laissé pour la "petite".

Des fois, ils proposaient de trouver du travail à nos soeurs. Ce pourquoi, nous nous opposons également catégoriquement. On voulait que nos soeurs trouvent du travail par elle même, par les voies classiques. Et non par des voies urinaires.

Ma petite soeur directe (3 ans de moins) est Docteur de son état. J'en suis fier car elle était sous ma protection directe.

Je m'attendais à la voir devenir la Patricia ALLEMONIERE du Congo, grande reporter car telles étaient ses ambitions.

Non Joey The KONG, j'ai beaucoup aimé la femme congolaise. Je suis de la génération qui a vu au sommet de leur art :

- Joséphine BIJOU
- Solange KOULINKA
- Mme NGAMASSA de l'Union Révolutionnaire des femmes du Congo
- La première femme officier dans l'armée Congolaise
- les première femmes taximen du Congo
- les premières femmes soldats du Congo
- les premières femmes accrobates du Congo

Elles avaient quoi ces femmes ? parfois même pas le niveau du BEP. Mais elles ont hissé la femme congolaise au plus haut niveau. Et que fait la congolaise 40-45 ans, BAC+10, qui a profité des bénéfices de cette lutte ? elle l'a descend au niveau de...(je retiens ma langue).

Gnoka, chapeau pour ton hommage à la femme Zaïroise que je partage. Comme quoi les idée reçues. La femme zaïroise en France est digne. Elle va faire son ménage à 04h du matin chez flunch s'il faut pour apporter sa part de contribution au foyer. Elle fonctionne dans un projet commun avec son mari.

Anedocte pourtant très vraie : tout dernièrement j'ai fait livrer un super bouquet de fleurs à une congolaise BAC+10, que je n'avais pas revue depuis longtemps. Elle insistait pour qu'on se rencontre. Elle m'a donné rendez-vous dans un resto. A la fin j'ai payé uniquement ma part de consommation, lui demandant d'en faire autant (à sa grande surprise).

Après avoir reçu mon bouquet de fleurs, elle téléphona pour me dire :

"Omoni ngaï taba ? na kolia ba fleurs".

(Traduisez : tu me prends pour une chèvre ou quoi ? Ce sont ces fleurs là que je vais manger ?)

Je crois qu'on est pas prêt de se revoir. Et pourtant la discussion fût très très interessante. Dommage de tout gaché pour une histoire de bouffe. Elle m'aurait dit qu'elle n'avait pas à manger les choses auraient été claires.

Mais où es-tu passée mon modèle de congolaise Solange KOULINKA ?

JE T'AIIIIIIIIIIIMMMMMMMMMMMMMMMMME !!!!!!!!!!!!!!!!

et comme dirait NTESA DALIENST dans sa chanson "Liyandzi ekoti ngaï na motema", je cite : "

"âta o bala mama,
ngaï te moto ya liboso nalingi bato mibale
tuna papa na yo ako pesa ngaï raison"

TITUS 74
TITUS 74
Doyen du forum
 
Message(s) : 298
Inscription : Mer 14 Mai, 03 10:24

Message par Gaspard » Sam 12 Juil, 03 9:08

Niaislenga
Quant à toi Gaspi (llage) sache qu'il n' y a pas de mal a etre GAY!
relis moi je n'ai pas dit autre chose.
TITUS 74
La finesse, les bonnes manières en effet GNOKA, la congolaise est aussi rentré dans ce jeu diplomatique. Elle a dû suivre des stages chez les caméruineuses. Elles sont aujourd'hui capables d'élaborer des plans sur 5 ans (flirt, ton divorce, ton mariage avec elle, etc ...), juste pour te dépouiller à la fin et acquérir au passage la nationalité française
C'est ben vrai ça, bravo.
Ender End
J'ai, entre autres, une fille. Qui est donc une congolaise. Qui va hériter des à-priori sur les congolaises des mâles qui veulent faire croire qu'ils sont au-dessus du système. J'vous jure ... dès qu'elle a 13 ans, je me munis d'un 22 long rifle et les p'tits connards qui veulent se la jouer disparaîtront (à mon grand étonnement et sans trace) de la circulation. Et les connards en question sont ... des congolais.
Frangin, mignonne comme est ta fille, tu vas avoir un sacré boulot et pas qu'avec des congolais. Mais sachant comme tu es sévère envers elle je ne doute pas une seconde que tu mettes en application ce que tu dis là.
Vous est-il venu à l'esprit de penser que si les congolaises sont ainsi, les congolais y sont pour quelque chose ?
ça c'est important, vous ne vous imaginez pas à quel point c'est vrai. Combien de pères sont venus pour me fourrer leur fille dans mon lit et là encore ce n'est pas une attitude réservée aux plus démunis.

Les congolaises se prostituent, et les congolais sont des proxénètes.
Gaspard
Doyen du forum
 
Message(s) : 205
Inscription : Ven 20 Juin, 03 6:02
Localisation : Quelque part au pays

Message par TITUS 74 » Sam 12 Juil, 03 1:09

A tous,

je ne retire rien de tout ce que j'ai dit sur ce sujet depuis le début.
Vous noterez également que nul part je n'ai utilisé les mots pute, ***propos injurieux, censuré***, etc.. dans mes propos.

J'ai parlé par contre d'un comportement que j'assimile à de la prostitution et ça je le maintiens.

Vous n'êtes pas bête ici pour avoir compris qu'il s'agit d'un ZOOM au plus fort grossissement de la société congolaise, la femme congolaise, l'homme congolais. Et nous égratinons au passage nos soeurs camerounaises.

C'est le meilleur moyen pour moi de mettre en valeur ces grandes dames du Congo genre Solange KOULINKA qui aujourd'hui est inconnue des jeunes congolaises de moins de 30 ans. Incroyable, incroyable, incroyable. Car Solange n'était pas comme elles.

Je rends également hommage à mes amies géologues camerounaises :

- Rose YONGUE
- Véronique KAMGANG BEYALA (madio)

Toutes les deux maitres assistantes à la FAC de Douala et de Yaoundé respectivement.

Courageuses dames, mariées, mères de famille qui ont soutenu de brillantes thèses de Géologie à la FAC de Poitiers. Le mari de Madio était lui-même thésard en Biologie à Limoges.

Ils sont rentrés au bled après leurs soutenances respectives. Rose, véronique RESPECT, et merci de maintenir ci-haut la femme africaine.

Je me rappelle toujours ces nuits et ces week-end passés ensemble à soumettre les échantillons de roches aux Rayons X.

A propos de mes soeurs (information vérifiable car tout mon entourage de Brazza le savait )

Quand je suis devenu étudiant (18 ans) et que je commençais à percevoir ma bourse de 30 000CFA, la première des choses que j'ai faite c'est d'allouer chaque mois un montant fixe à ma petite soeur (15 ans). Car je ne voulais pas la voir se prostituer chaque mois pour avoir les 500 CFA nécessaire à l'achat des garnitures pour ses règles.

Je lui parlais exactement en ces termes (j'avais 18 ans et elle 15, je rappelle). Résultat, elle ne nous a pas amené de vieux généraux à la maison, ni de fils à papa. Elle a eu des copains de son âge. Pas forcément friqué car c'est nous qui achetions ses fringues. Elle a fait son Doctorat sur les traces de son grand frère qu'elle idéalisait malgré son coté Yankee.

Aujourd'hui j'attends d'elle qu'elle soit autonome et non qu'elle se comporte comme une picsous vis-à-vis de mon beau frère.


TITUS 74
TITUS 74
Doyen du forum
 
Message(s) : 298
Inscription : Mer 14 Mai, 03 10:24

Message par justice » Sam 12 Juil, 03 9:25

Quel sinistre tableau de la femme Congolaise !

Désolé, je ne connais pas pas cette femme-là, pourtant il semble que nous ayant grandi tous deux en France Gnoka et moi, à moins qu'il ne soit venu ici après sa maturité, autrement j'ai peine à comprendre qu'il en sache autant sur l'enfance de la Congolaise, enfin !

Non Titus, je ne connais pas la Congolaise que tu décris, notamment avec tes histoires de bonbons rouges, pourtant à 9 ans j'étais bien au pays, sauf que moi je tirais déjà mon coup gratos, rien que pour jouer au papa et à la maman !

Il faut croire que cet aspect vénale de nos soeurs, tel qu'évoqué par certains ici, semble lié aussi au quartier dans lequel on eu à vivre les uns et les autres, en d'autres termes au lieu où ont grandi celles qui sont sur la sellette aujourd'hui, comme semble déjà le dire the kong !

Franchement, j'ai beau demandé à mes potes qui sont restés au bled et ne se sont expatriés que sur le tard, certains ont même au delà de 40 ans, aucun ne se souvient avoir eu des rapports sexuels dans notre beau petit quartier chic moyennant bonbon rouge !

Désolé également Titus, mais jamais aucune fille ne m'a refusé la chose sous les motifs que tu évoques, certaines se livraient même en dépit de leurs menstrues, non pas que je les forçais mais je ne l'apprenais que plus tard, trop tard !

Je vais même te surprendre, auprès des jeunes filles, notamment Congolaises, celles dont il s'agit ici, je suis réputé "mabokos makaku", pas besoin de te faire un dessin je suppose, car une de mes régles était et demeure que je ne peux payer une fille pour le sexe que quand elle en a fait son métier !

Ceci pour te dire que les gos pour qui je prenais plaisir à payer les boîtes, les taxis et autres, je dis bien prenait plaisir car j'emmenais aussi avec moi toujours des potes ou cousins, bons amuseurs et super danseurs pour l'ambiance, alors tu vois ...........

Ces frais donc je les faisais très volontiers car il y allait de mon bon plaisir : ces demoiselles étaient ma bonne compagnie !

Pour tout te dire, j'ai toujours baiser au bled au doigt et à l'oeil, depuis ma prime enfance : chez nous on baisait pour jouer au papa et à la maman et certaines filles avaient déjà la réputation de bordelle aimant la chose, elles se livraient gratos à quiconque avait bonne réputation soit pour sa béauté, son intelligence, la tune de ses parents...parfois pour tout cela !

Les filles que tu évoques Titus, qui, à la dernière minute se dérobent à ce qui était entendu implicitement, je n'ai jamais connu au Congo, mais seulement une fois ici avec une go de 25 ans qui sortait tout droit du bled !

Alors que je l'avais invité chez moi et que je devais aller la chercher au forum des halles, à se demande, elle m'avait embarqué dans un magasin pour me faire sortir la carte bleue et lui payer un pull, chose qui n'était pas prévue, je m'étais fait avoir, mis devant le fait accompli, c'était la première et dernière fois m'étais-je juré !

Jusqu'à il y a peu on m'a présenté une jeune-fille originaire de Talangaï d'ailleurs, eh oui, qui après m'avoir "invité" à mes frais dans un resto assez chic, m'avait définitivement dégouté des Congolaises qui ont grandi là-bas : elle voulait après que je lui paie un billet d'avion pour aller voir des parents en Grèce pour la bagatelle de près de 2000 balles me disait-elle, alors que je ne connaissais même pas l'odeur de son sexe !

Il faut dire que je ne connais pas le Congo de Sassou 2 et ne compte pas le connaître, mais toutes les filles que j'avais connues au pays attendaient de moi une certaine situation, pour tout dire que je les épouse et rien d'autre !

Il faut dire aussi que j'avais une certaine particularité : je ne sortais qu'avec les filles du quartier chic, mon quartier, toujours pleines de bonnes manières et qui ne m'ont jamais taxé, car étant elles-mêmes étudiantes donc boursières, ben oui il faut prendre ses semblables quoi !

Honnêtement j'ai tendance à croire que ce caractère que vous décrié ici est beaucoup plus le propre de filles issues de quartiers dit défavorisés, tel que Talangaï ou Ouenzé et je ne sais quoi : tenez d'ailleurs seules les filles de ces quartiers-là m'ont ouvertement taxé, à leur détriment car à part les sorties, je ne suis pas le banquier de ces dames, chic et choc d'acc', mais chec, niet !

Par contre du temps où j'étais un pauvre collégien Congolais en France sans le moindre sou vaillant, j'ai eu deux copines à Ouenzé : l'une se livrait à moi gratuitement, l'autre me filait même des sous comme son pater avait un bar !

Franchement, je crois qu'il y avait deux types de filles au plateau : celles qui avaient laissé tomber les études très tôt et qui faisaient ce qu'on appelle "la vie des blancs" et qui ne respiraient que par l'argent et puis celles qui sont restées dans le droit chemin et de bonnes filles à papa, ma route ne croisait que ces dernières faut-il croire !

Encore une fois, je n'ai jamais eu affaire à une nana qui m'ai dit non au môment de passer à la casserole, jamais !


Pauvre Gaspard, donc maintenant que tu n'as plus de tunes tu dois souvent te géler le gland ?




Justice
justice
 
Message(s) : 71
Inscription : Ven 23 Août, 02 12:57

Message par TITUS 74 » Dim 13 Juil, 03 1:27

Bonsoir Justice,

Ton message va dans le bons sens.

Ce que j'adore chez toi, ce sont tes exceptions. Tu dis non ça n'existe pas sauf une fois j'ai eu ceci. Et tu décris exactement ce que nous décrions.
Je te ferais un morceaux choisis de tes contradictions à la fin pour ne pas trop entrecouper mon texte.

J'ai toujours considéré que la plus grande chance de ma vie et ce qui a façonné le petit être que je suis sans complexe ni de supériorité ni d'infériorité est d'avoir été parachuté à l'âge de 11 ans dans le collège de NGANGA Edouard, où en principe je n'avais rien à y faire.

NGANGA Edouard était située dans le quartier le plus chic de Brazza à l'époque, alors même que je vivais dans le quartier le plus pauvre de Brazzaville à l'époque. Et qui plus noyé dans les milieux Yankees.

Donc j'ai grandi en ayant une vision sur les touches les couches de la sociétés congolaises. Je réussis aujourd'hui le grand écart là où beaucoup n'arrive pas.

J'ai eu aussi la chance d'avoir fait mon Université à la FAC des sciences située à BACONGO.

Pour te dire mon gars, que je connais très bien comment fonctionne la congolaise de Ouenzé, la Congolaise de Talangaï, la congolaise de Moungali, la Congolaise de Poto-Poto, la congolaise de Bacongo, la congolaise des Plateaux de 15 ans et la Congolaise du Centre ville.

Je ne les aborde jamais de la même façon. Il ne faut surtout pas.

On les a toutes mises ici dans le même sac. Mais en réalité, elles ont des nuances. Cependant le fond est le même.

Cette discussion que nous avons, n'est pas dénuée de sens (malgré ses apparences légères). Justice tu m'as dévancé sur un point et merci car c'est là que je voulais en venir lorsque j'ai dit ci-haut qu'à 18 ans j'ai commencé à acheter la garniture pour les règles de ma petite soeur (15 ans).

En fait je voulais introduire (non pas le tampax) mais la question de l'argent de poche, dont l'absence dans la culture a eu certainement des conséquences dévastatrices sur le comportement des jeunes filles de chez nous.

C'est vrai que les filles du Plateau des 15 ans (quartier chic) étaient habituées à l'argent de poche. Ce qui n'était malheureusement pas la cas de l'écrasante majorité des filles de Talangaï, Ouenzé, Bacongo, Poto-Poto, Moungali, bref de tous les quartiers populaires qui représentent 89,4% de la populations de Brazzaville (pour ne rester qu'à Brazza).

Que faisaient les filles à 14, 15, 16, 17, 18 ans, etc... quand approchait la date des règles et qu'à la maison personne ne se préoccupait de ce problème. Et que le sujet était tabou. Elle allait voir son copain pour qu'il achete et quand le copain était un pauvre yankee de Talas, ou un petit sapeur de Bacongo sans sous, elle faisait le tour des mecs jusqu'à ce qu'elle en trouve un qui la lui achete. La garniture pour ne pas dire le sexe.

C'est triste, c'est pitoyable, voire même effroyable. J'ai pris conscicence de ce problème dès l'âge de 15 ans, aussi j'ai pu anticipée avec ma petite soeur dès que j'ai commencé à percevoir mon premier salaire (pardon ma bourse d'étudiant) à l'âge de 18 ans.

Ce petit détail a eu j'en suis plus que convaincu une importance capitale dans le comportement irréprochable de ma petite soeur, souvent montrer comme modèle à TALAS à l'époque.

On l'habillait également nous mêmes (surtout par une grande soeur).

Donc quand elle se trouvait un copain ou en changeait, on savait que ce n'était point pour une question d'argent. D'ailleurs tant qu'elle a été au Lycée, je lui ai imposé un lycéen comme copain. Quand elle nous amenait un étudiant, on lui disait

- C'est pour sa petite bourse de merde ?
- elle répondait, "non yaya",
- et je lui disais alors "va te retrouver un lycéen comme celui d'avant".
- et elle nous ramenait un jeune Lycéen beau et intelligent

Les filles du Plateau en majorité, n'avaient pas ce problème. Et si tu piochais dans ce milieu là, je te donne entièrement raison. Et te pardonne de ne pas connaître l'histoire du bonbon rouge, connue par les autres 89,4% des congolais.

parenthèse :
Ici, j'ai toujours parlé de ce qui touche la majorité des congolais. Et LUAMBO MAKIADI a toujours chanté ce qui touchait la majorité des congolais. S'il a chanté si publiquement, si ouvertement et avec des mots aussi crus tous les travers la femme congolaise (des deux rives) c'est pas toi Justice qui viendra nous dire le contraire. LUAMBO, surtout lui, savait de quoi il parlait. Et aucune femme ne lui a jamais apporté la contradiction.
fin de la parenthèse

En affet Justice, les filles étaient même habillées par leurs parents, et elles avaient de l'argent de poche. J'en ai même bénéficié avec les pop-corns, pommes de chez Presto et les croissants de MAMATI devant le CEG GANGA Edouard.

Une fille des plateaux que j'ai rencontrée à Paris était étonnée que je connaisse autant de nanas aux Plateaux (ses grandes soeurs du quartier disait-elle), moi un ex-yankee de TALAS.

- Mais elles seraient jamais sorti avec toi ? s'écria-t'elle (pourtant séduite par ma personne)
- j'étais 1er de la classe, lui répondis je.
- heiiiinnnn !! compris t'elle.

Quand c'est pas le bonbon rouge, c'est l'intelligence qu'on échange contre un sexe. Aux plateaux des 15 ans, des filles m'entrainaient chez elles et m'offraient du sexe pour un exercice de maths. En plus j'avais droit aux yaourts, pomme, jus de grenadine assis dans le canapé en cuir de Papa.

Pourquoi toujours échanger le sexe ? la question est là.

C'est typiquement le comportement des gros singes de Madagascar que je vous relatais ci-haut. C'est cette culture du monnayage du sexe que je dénonce. Car c'est de la prostitution .

Alors dis-toi mon cher Justice, ces nanas du Plateaux. Une fois bien grandies et que le père ne peut plus ou ne veut plus assumer ses dépenses vestimentaires et autres, que font-elles ?

Elles font la même chose et comme elles étaient habitués à une vie des "mindelés". Elles rodent la nuit dans les hotels de Brazza en quête d'un toubab qui pourraient satisfaire à leurs besoins matériels. On les voyait, on les connait.

On abordera plus tard la question des toubabs. Car si le couple mixte moundele-congolais(e) a une si vilaine connotation chez nous, c'est à cause de ce problème. C'est très dommage pour certains couples mixtes qui se sont véritablement unis par amour. Au Congo on croit à 89,4% que si on est marié à un blanc ou à une blanche, c'est uniquement pour l'argent. Vrai ou faux ? Pourquoi ? On ouvrira ce débat plus tard.

Justice, vu finalement la longueur de mon texte, je t'éparge le morceau choisis de tes contradictions où tu dis que tu ne connais pas la congolaise que je décris et en même temps tu donnes l'exemple d'une qui t'a grugé et dont tu dis qu'on ne te reprendra jamais. Elle t'a bien fait sortir ta carte bleue n'est ce pas ?

Oui c'est ça la congolaise, c'est de celle-la que que je te parle.

T'as refusé de lui acheter la robe ? eh bien elle se la fera acheter par un autre (au moins elle aura essayé)

T'as refusé de lui payer son voyage à Brazza ? eh ben elle se le fera payer par un autre (pas le même que celui de la robe)

Toi déjà, tu l'as avoué, tu leur payes leur Taxi, entrée en boite, conso. Mais c'est déjà pas mal pour la Congolaise. A trois vous faites son bonheur.

TU VEUX UN DESSIN ?????

Robe (le 1er) Taxi, entrée en boite, conso (Justice), billet d'avion à Brazza (le 3ème). Elle est heureuse :lol: :lol: :lol:

Et si toi tu tires ton coup, dis toi que les autres ils tirent aussi (On est passé par là, crois surtout pas les bobards qu'elles te racontent que tu serais leur unique prince charmant. On a tous entendu ça).

Couvres toi quand même Justice.
Très sérieusement.

TITUS 74
TITUS 74
Doyen du forum
 
Message(s) : 298
Inscription : Mer 14 Mai, 03 10:24

Message par Nyelenga » Dim 13 Juil, 03 5:22

Bravo Oncle Gapsi(llage) : je me lance tout de suite a l'OMPI pour enregistrer ta seconde trouvaille NIAISlenga. Fallait y penser! Ah, oncle GaspaNet si tu n'existais pas Dieu lui- meme t'aurait inventé!

Bon les gars, taper trop sur les CAMAIRS je vous dis que j'en une (non pardon DEUX) a la maison en plus de la Mauresque: je ne suis pas encore ruiné ( ca ne saurait tarder). Pour le moment je profite de la location des 5 villas construites par mes epouses.

Qui Dieu mieux?
Nyelenga
Doyen du forum
 
Message(s) : 492
Inscription : Jeu 01 Jan, 70 2:00

Message par justice » Dim 13 Juil, 03 9:23

Face à tant de gens qui partagent ton opinion sur la Congolaise je ne peux que m'incliner, Titus, mais je n'ai donc eu que la chance de croiser des Congolaises comme il faut, car rassures-toi les deux exceptions que je t'ai citées, ce genre de filles, dès qu'elles se dévoilent, je rebrousse chemin, je ne poursuis pas !

D'ailleurs j'aurais du mal à bander en sachant que les choses se présentent de la sorte !

En revanche, laisse tomber Titus, pour les sorties taxis, boîtes et autres conso, je refuse de placer cela sous le compte de l'échange tune contre sexe, puisque de toutes ces choses tout un tas d'autres profitaient de la même façon, des cousins et des potes je te l'ai dit ! je me souviens par exemple de la belle époque de la "main bleue" où je me rendis avec deux autres couples d'amis !

C'est moi qui pris tout en charge depuis nos taxis aller-retour jusqu'aux conso, pour moi c'était normal j'avais plus de revenus que ces amis, l'un encore étudiant en médecine et l'autre photographe !

Et c'était presque toujours le même cas de figure dans toutes mes sorties avec des nanas sur Brazza, je ne vois pas pourquoi celle avec laquelle je tirais n'en n'aurait pas bénéficier autant que les autres !

Quant aux taxis, tu connais surêment le système si nous partions de Bacongo, il déposait d'abord le plus proche d'entre nous jusqu'au dernier, donc là encore je ne vois pas comment la fille seule en profitait !

Quant à l'échange sexe contre tune, je ne suis toujours pas dedans les deux seules cas où ça a failli m'arriver je me suis retiré avant que d'être pigeonné, comme on appelle cela en France !

En plus, il y a une chose que je dois t'avouer c'est que moi quand je sortais avec une nana, même le temps seulement des vacances, soit généralement trois mois, elle n'était plus disponible que pour moi seule car elle se retrouvait avec moi chez moi dans ma chambre du matin au soir, puis je la racompagnais chez elle où nous restions ensuite à causer jusqu'au petit matin, à une 1h-2h, et là seulement chacun allait se coucher chez soi !

Quand ce n'était pas moi qui allait squater sa chambre en douce alors que ses parents dormaient, j'en sortais le lendemain matin vers les cinq heures du matin mes shoes à la main !

Au fait, as-tu vécu cela aussi dans un quelconque des quartiers de Brazza, dormir avec ta belle chez elle, dans sa piaule ?

Ah j'oubliais de te dire que quand j'étais enfermé dans ma turne avec ma go sans que mon pater qui mangeait pourtant à coté dans la salle de séjour ne s'en doute, elle mangeait chez moi en même temps que moi-même !

tu vas me dire voilà, tu la nourrissais, eh que non, car le lendemain c'est moi qui allait manger chez elle : ce que je veux t'amener à comprendre ici c'est j'ai toujours vécu avec mes nanas du plateau comme ici en France !

Tiens aux temps forts du jardin d'Eden j'en étais même un des grands habitués avec ma belle, devine pour aller y faire quoi ?

Eh bien j'allais lui lire des poèmes de mon crû assis sur l'un des blancs ou sur la pelouse, alors que je venais de rentrer en première année de fac !

Bref pour conclure, merci Titus de me faire découvrir un certain visage de la Congolaise, mais il faut croire que je suis béni des Dieux car je n'ai pas vécu cela avec aucune de celle que j'ai connues au sens biblique du terme, gloire à dieu !

Sur ce Titus, à ciao et n'oublies pas de nous abreuver toujours de tes chroniques Congolaises, là dessus, tu es imbattable, merci pour cela !




justice
justice
 
Message(s) : 71
Inscription : Ven 23 Août, 02 12:57

Message par TITUS 74 » Mar 15 Juil, 03 2:20

Justice,

Je vois que tu es un bon vivant.
Comme quelque chose me dit que tu es bien plus jeune que moi, alors je te dis croques là (la vie bien sûr).

Moi j'ai vécu la mienne pleinement et franchement je ne regrette rien. Je t'en souhaite autant.

Les nanas ça a beaucoup changé depuis mon époque. Je l'avais souligné tout au début de mes interventions que je suis très faché envers les 40-45 ans (tout comme les hommes d'ailleurs 40-50 ans). Mais en même temps je suis admiratif devant la nouvelle génération des congolais et des congolaises.

Ce que je ne souhaite pas, c'est que cette nouvelle génération soit dupée par la génération des pourris à laquelle j'appartiens. Quand on veut faire revenir la dot avec des arguments feutrés, la nouvelle génération y croit "naïvement", on leur dit que ce sont nos traditions (surtout pour les jeunes go nées ou ayant grandi en France). Or c'est une véritable regréssion qui n'a pour but que de remettre en selle ces vieux croulants qui ont saboté le Congo.

Je tairai le nom. Mais tout dernièrement en France, un ex-puissant homme politique congolais à marier sa nièce. Pas moins de 3000 euros pour l'ensemble (dot et machin), alors que le couple est un jeune couple de congolaise d'origine nés ici en France et qui voulaient se "conformer" aux traditions de chez nous.

Mon ami à qui on exigeait 2 millions CFA de dot au Congo. Sa belle est la nièce d'un ex Président de la cour suprême au Congo.

C'EST SIMPLEMENT INADMISSIBLE. Il faut banir ces choses là sinon c'est le retour à l'obscurantisme.

Et toi Justice, arrêtes de leur payer tout . Le pire c'est qu'elles ne disent même plus merci. Tu es encore entrain de payer l'entrée en boite qu'elle est déjà en plein bore-bore sur la piste avec un autre. Je répète sans même t'avoir dit merci. Non Justice, chacun doit payer sa part. Il n'a aucune raison.


Joey The KONG Je te devais une réponse à propos des mecs qui 'fuient" leurs femmes dès que celles-ci accèdent à un grade social supérieur aux leurs (par exemple meilleur salaire).
Tu as raison, j'ai également connu ces cas. ET ALORS ?

Maudite soit cette femme qui va se rétrograder à des travaux subalternes et mal payés pour préserver un mari. Elles n'ont qu'à changer de mec (je dis bien 1 mec). Et si c'est pas un congolais, il y a bien des tchadiens, des chinois, des américains ou des laosiens qui répondront à l'appel.

A ce sujet je dirai que ce genre de complexe a existé avant notre génération (40-50 ans) et avait disparu avec la notre. J'en veux pour preuve qu'à l'école.

Quand j'étais au Primaire, une fille 1ère de la Classe c'était la honte pour tous les garçons de la classe. Mais dans les années collèges, Lycées, FAC. Il n'y avait rien de plus banal. On cherchait même pas à voir le sexe du 1er de la Classe. Il n'y avait plus aucun complexe de supériorité de l'homme et nous étions préparés à être commandés aussi bien par les hommes que les femmes dans notre société.

Il y avait même des hommes qui se faisaient tabasser par leur femme à la maison, Mme étant ceinture marron de Karaté. C'était rentré dans les moeurs. A Talas, il y eut même une jeune fille chef Yankees. On l'appelait "Raté", diminutif de "Garçon raté".

L'une des premières femmes officiers dans l'armée congolaise et qui habitait Ouenzé, se faisait saluer en public et au garde-à-vous par tous les subalternes qu'elle croisait. Et elle avait un homme à la maison. Civil et qui ne devait pas avoir meilleur salaire qu'elle.

Joey, tout est entre les mains des femmes. Au Congo, on leur avait donné tous les pouvoirs. Toute la question est de savoir (et CA avait un jour posé la question ici), si la femme congolaise veut réellement prendre ce pouvoir ?

Tout ce que l'on peut constater pour l'heure, c'est qu'elle use et abuse du "3ème pouvoir", à savoir le pouvoir des fesses (comme l'avait si bien intitulée une pièce de théatre au Congo).

"Avec mes fesses je peux dissoudre un gouvernement", disait une des comédiennes dans la pièce. C'est pas feutrés, c'est pas du Balzac, mais dans le cas du Congo ça réflète tellement la réalité.

TITUS 74
TITUS 74
Doyen du forum
 
Message(s) : 298
Inscription : Mer 14 Mai, 03 10:24

Message par Nyelenga » Mar 15 Juil, 03 2:38

Titus,

Dans le pays de ma femme a moi on ne parle pas du "pouvoir des fesses" mais du "pouvoir de l'oreiller". Dans les villages de ce pays -la (celui de ma femme) quand un homme dit au cours d'une reunion que pour le moment il n'a pas d'avis à donner et qu'il lui faut reflechir, c'est simplement qu'il veut aller consulter sa femme. Celle-ci lui refile tous les arguments, tous les conseils et autres conduites a tenir. Cela se fait sur l'oreiller. Puis le matin notre homme rejoint la troupe et parle avec sagesse et conviction. Tout le monde est emerveille: "Quelle sagesse! quelle puissance d'argumentation, quelle pensee forte!" Notre homme roule les mecaniques, gagne en notoriete et souvent oublie une chose essentielle: remercier sa femme.

Nyelenga qui sait dire "Merci Cherie"
Nyelenga
Doyen du forum
 
Message(s) : 492
Inscription : Jeu 01 Jan, 70 2:00

Message par yoka » Mar 15 Juil, 03 5:32

Moi aussi j'ai des exemples:
Ma cousine X, collegienne à l'époque amoureuse d'un autre collegien du même age mais qui accusait un retard scolaire de 3 ans par rapport à elle(le scandale)!. Il était beau très garçon, d'une famille aisée comme il pouvait en exister au Congo. Pendant 2 ans elle a du se battre avec sa famille qui ne pouvait supporté ce garçon bon à rien surtout qu'à cet age là cela ne pouvait être sérieux d'après eux! Entre temps messieur pris une autre copine, on commence très jeune, n'est ce pas ? et au cours d'une altercation mémorable il décida que sa copine c'était l'autre. La déception et l'humiliation ont été tellement grande que cela a changé la vie de ma cousine car après le deuil, un autre mec elle si sérieuse s'est mise avec un tonton bourré de pognon qui rodait. Les parents, les freres et soeurs ont fermé les yeux, eux si pauvres face à une telle manne ...
Aux dernieres nouvelles elle est avec un fauché (pardon gigolo), bon à rien mais au moins il l'a "doté", c'est une fin en soi.

Une étudiante cette fois-ci,canon et hyper douce, son mec un bourreau des coeurs qui plus est de ma famille avait pour exercice principal de jouer à qui couchera avec le plus de filles possible(les moins accessibles de préférence), il n'a rien trouver de mieux que de la plaquer devant toutes sa bande de copains et nous ses soeurs. Imaginez le traumatisme pour elle ... comme pour moi. Au dernière nouvelle il a trouvé comme d'habitude une idiote qui a accepté de l'épouser, lui le gigolo à 4 gosses et n avortements avec des mères différentes et rien dans le ciboulo. Bien sur il a des maîtresses et pendant que l'autre bosse il court à l'église pour devenir pasteur.

Encore une étudiante, du genre trop intelligente et bon parti pour un paumé qui veut percer. Après un mariage avec son bien aimé et un enfant, son cher mari s'est éclipsé; car vous savez les intellos ne savent pas où est leur place de femme: elles veulent rivaliser avec les hommes! Il a tout de même attendu de devenir français avant de filer, pardon de se rendre compte que ce n'était pas une femme. Au dernière nouvelle, il est heureux avec sa ruineuse de nouvelle femme, pas douce pour un sou. Et ma pauvre ex belle soeur une fois le chagrin d'amour passé s'en veut: c'est une autre qui en profite, elle s'est fait avoir sur tous les plans.L'actuel est friqué bien sur, la leçon a été assimilée.

Que dire de cette femme qui est méconnaissable(épanouie) depuis qu'elle est la maîtresse affichée d'un de nos généraux si friqués? Et bien tant mieux, car son mari ne valait pas grand chose: mauvais père, mauvais mari, mauvais officier, mauvais baiseur (c'est une des ses maîtresses qui le dit). Au moins elle peut nourrir sa maisonnée et avec un peu de chance l'amant est doué. Dans tous les cas elle risque le SIDA de toute façon.

Et toutes ses femmes, qui , en plus d'être humiliées se retrouvent dans la paille dans un pays ou elles ont plus le choix entre la promotion canapé ou le piston à papa.

Les congolaises font payer leurs corps? et alors? elles ne sont qu'à l'image des congolais.
D'où sortez-vous? Le Congo que je connais, les femmes sont humiliées à longueur de journée. A telle point que je suis allergique aux conseils des bonnes femmes: si tu veux garder ton mari, il faut faire çi ça et lorsque tu creuses ce sont toutes des femmes bafouées qui pour les plus chanceuses suivant leurs critères se prostituent auprès de leurs maris pour rester au foyer.
L'amour vous avez dit? Aujourd'hui on joue à conserver son niveau économique, les hommes congolais ne sont pas une valeur sûr en amour, alors on les choisi sous d'autres critères, financiers de préférence.
Lorsque j'étais au collège les garçons allaient au ballon d'or quelque chose de ce genre à poto poto où il se payaient les zaïroises, ce n'est surement pas auprès d leurs mères qu'ils ont appris l'existence de ce lieu. D'après-vous quels effets cela a pu avoir sur les copines?
Quant à leurs pères, en déposant les enfants ils repartaient avec des jeunes filles mineures donc censées être irresponsables, ils n'avaient rien pour la maison mais pour les fioti fioti si. Un enfant, même le mieux éduqué a tendance à se laisser séduire par les cadeaux. Et puis c'est bien facile de faire miroiter son argent aux petites filles et de les traiter de salo-pes ensuite.
Aujourd'hui pour se faire épouser d'un congolais il faut être
- "mwana ya" même de loin on ne sait jamais;
en France il faut avoir la nationalité française;
il faut assurer financierement
Dans tous les cas c'est de la prostitution masculine.
- ou être une bête à 5 cinq pattes: soit belle et tais toi, la zaïroise quoi! toujours faire plaisir à son mec, pensez à son bien être à longueur de journée ... triste destion que celui des femmes
Dans ce cas le mec est soit friqué soit la femme est trempée dans la politique d'un homme à tout prix.

J'ignorais que les zaïroises étaient moins ruineuses que des congolaises. En générale les bêtes à cinq pattes sont celles qui s'en tire mieux dans ce que vous décrié: la prostitution.
yoka
 
Message(s) : 56
Inscription : Jeu 01 Jan, 70 2:00

Message par TITUS 74 » Mar 15 Juil, 03 7:40

Salut Yoka,

Si j'ai bien compris, vous êtes une femme. Une congolaise.

Comme le Congolais est très galant, je vous souhaite bonne entrée dans ce débat.

Je ne veux point être l'arbitre de ce débat qui a été initié par Joey The Kong et peut-être pensera t'il que ce débat a été détourné. Pour moi la réponse est non, car nous sommes au coeur même du sujet.

Yoka, je vois que tu nous a lu depuis le début. Mais il me semble qu'il ya une phrase de moi que tu n'as pas retenu. Je disais ceci :

"Si les congolais ont plusieurs bureaux (maîtresses) c'est bien parceque les femmes congolaises l'acceptent".


Moi aussi j'ai toujours aimé avoir 10 bureaux. Mais j'y arrive pas. Je ne sais pas comment ils se débrouillent les autres. Chez moi, ma femme m'a toujours dit :

- au premier Bureau, tu sortiras d'ici sans dessous/dessus (même pas une souris pour cliquer sur congopage).

Et quand je vais chez le bureau potentiel, elle me dit :
- quitte ta femme d'abord.

C'est la preuve que c'est bien la femme qui mène la cadence. Mais si une femme ne veut quitter son homme qui lui ramène des "molongo ya ba mbanda", parcequ'elle ne veut pas perdre les avantages matériel de son vieux et bédonant (comme dirait le doyen Gnoka) , général de mari alors c'est son problème. La femme a la solution entre les mains. De plus elle travaillle. Donc elle peut s'assumer elle-même.

Autre constat, beaucoup ici commencent à justifier le comportement de la femme congolais. Justifier veut dire le reconnaître. Alors que beaucoup voulait nier mes propos au départ, voilà pourqoi j'ai foutu un grand coup de pied dans la fourmilière.

J'ai horreur de ce comportement des congolais de toujours vouloir nier en public ce qui ne va pas chez nous. Je suis d'accord pour laver le linge sale en famille. Mais quand il n'y pas pas de machine à laver à la maison. On va à la laverie.

Je ne trahis pas les secrets du Congo (comme on me l'accusa jadis dans un débat sur la signification de MARIO) . Je veux participer à la crevaison de tout cet abcès cancerrigène de la société congolaise.

J'aurais tellement voulu mener ce débat à visage découvert de manière à ce que toutes les congolaises qui me croiseront sur leur route sache par exemple qu'avec moi, elles payeront leur resto. Elles payeront leur courses au supermarché. Tenez, accompagnez donc une Congolaise dans un super marché (pour lui rendre service car elle n'a pas de voiture). Elle rempli son caddie et à la caisse c'est toi qui paye. Sans même te prévenir. Mais ça ne va pas non ? , mais d'où sort cette espèce. C'est principalement vrai en région parisienne. En province je n'ai jamais connu celà. Donc je me suis fait avoir au moins 2 fois. Avec des femmes tout à fait respactables. Bonnes manières et tout.

De toute manière LUAMBO MAKIADI nous l'avait déjà parfaitement révélé cette femme congolaise. Mais nous n'avons pas suffisament prété oreille à ces textes.

Pour la petite histoire. Savez-vous qu'avec la chanson "TU VOIS" (alias Mamou), LUAMBO avait ouvert les yeux des Ministres congolais ? et peut-être ramener quelques sous aux caisses de l'Etat ?

Les Ministres congolais avaient pris pour habitude d'avoir 1 femme au pays et 1 femme à Paris. La femme du Congo ignorait l'existence de la Parisienne. Le Minsitre se fabriquait des missions pour venir retrouver son 2ème Bureau, parfois pendant 1 mois au frais bien sûr de l'Etat congolais.

ça marchait, ils étaient très contents, jusqu'à la chanson MAMOU, où LUAMBO MAKIADI dévoila au grand jour le comportement de MAMOU.

En effet que faisait MAMOU quand son Ministre d'amant n'était pas là ? eh bien elle se trouvait un "choc" (Justice) , pour faire des galipettes dans le canapé en cuir du cher Ministre. Et quand le Ministre appelait du Congo, la scène était presque identique à celle de Bill Clinton dans le bureau ovale avec son Président du Sénat au bout du fil et Monica à genoux, en pleine prière.

Quand les Ministres ont su cela grâce à la chanson MAMOU. Elles ont aboli cette pratique où finalement c'était eux les dindons de la farce.

Un dernier imbécile de Ministre congolais, qui n'avait pas écouté MAMOU a été recemment la risée dans une ville de province en France. La Maison de sa maîtresse avait été baptisée la MEC (Maison des Etudiants Congolais). Sa maîtresse y faisait du social à l'insu de son plein gré. Tout congolais qui n'avait pas à manger y allait pour vider le frigo et quand il savait s'y prendre (congolais/congolaise oblige) ça se terminait dans les draps du Ministre. Et toute la ville était au courant.

Les garçons s'étaient fait un calendrier où chacun programmait son jour pour aller toucher son RDS (Remboursement de la Dette sociale).

Au bout de 2 ans le Minsitre a fini par être mis au parfum. Il a rappelé la ndoumba au pays. Pas question cette dernière a fait reconnaître la grossesse supposé du Ministre par un congolais ayant la nationalité française (moyennant bien sûr un très gros chec, au mec, signé du Ministre). L'enfant ayant la nationalité française, la mère aussi donc elle peut rester en France et tirer la langue au Ministre (elle en a dans la tête la congolaise). :zz

Abracadabrant ? pas du tout, scène de vie tout à fait ordinaire chez des congolais et congolaises de France. Après on s'étonne que les sénégalais et les sénégalaises soient les seules à occuper des postes de responsabilités au sein des organismes internationaux africains. Eux réléchissent au dessus de la ceinture.

TITUS 74
TITUS 74
Doyen du forum
 
Message(s) : 298
Inscription : Mer 14 Mai, 03 10:24

PrécédentSuivant

Retour vers Forum Public

Qui est en ligne ?

Utilisateur(s) parcourant ce forum : Aucun utilisateur inscrit et 6 invité(s)