par sycie l'impérative » Mar 25 Avr, 17 6:43
par sycie l'impérative » Mer 26 Avr, 17 2:52
par sycie l'impérative » Mer 26 Avr, 17 2:53
par sycie l'impérative » Mer 26 Avr, 17 2:54
Sassou veut simuler un coup d’État pour parachever son œuvre d’extermination, d’épuration ethnique dans le Pool et de massacres de tous les prisonniers politiques.
17/04/2017 19:20:02: Charles Zacharie Bowao a écrit : "Le pouvoir voudrait simuler un coup d'État militaire afin d'arrêter les dirigeants de l'Opposition congolaise et procéder à des purges au sein de l'appareil d'État et du PCT. Ceci pour neutraliser tous ceux qui sont opposés à une dévolution monarchique du pouvoir. Ce serait la dernière étape de conservation clanique du pouvoir, après le coup d'État anticonstitutionnel de 2015 et le hold-up présidentiel de 2016.
Il s'agit d'un scénario turc tropicalisé..."
par sycie l'impérative » Mer 26 Avr, 17 2:57
PROCES MODESTE BOUKADIA
NOTRE TEMOIGNAGE
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L’Association UNION-CONGO a appris avec beaucoup de stupeur et d’émotions que le procès en criminelle de Modeste BOUKADIA, président du Cercle des Démocrates et Républicains du Congo (CDRC) avec d’autres détenus politiques d’opinion, aurait lieu d’ici la fin de ce mois d’avril. Des dates auraient même été avancées. Selon le calendrier :
- Le 18/04/2017 serait la date du choix des membres du Jury
par sycie l'impérative » Mer 26 Avr, 17 3:05
par sycie l'impérative » Ven 28 Avr, 17 1:28
par sycie l'impérative » Ven 28 Avr, 17 1:37
par sycie l'impérative » Ven 28 Avr, 17 1:42
par sycie l'impérative » Ven 28 Avr, 17 1:43
par sycie l'impérative » Ven 28 Avr, 17 1:46
C’est dans le superbe cadre du château d’Antoing en Belgique que la princesse Patricia de Belsunce d’Arenberg a été interrogée par le magazine « Hola » dans son édition argentine
par sycie l'impérative » Ven 28 Avr, 17 1:51
Ce livre est un exposé ordonné de la démocratie athénienne
depuis — 403/2 jusqu’à — 322/1. Je ne partage pas l’idée que
la démocratie du ive siècle était quasi identique à la démocratie
dite «radicale» de 462-411 puis de 410-404. Au contraire, je
tiens —
primo
que la démocratie restaurée en 403 était sur bien
des points importants différente de celle du vc siècle, et —
secundo
qu’elle subit beaucoup plus de transformations et de
réformes durant les années 403-322 qu’on ne le suppose géné
ralement. Je me suis plus spécialement concentré sur la période
355-322, qui se caractérise à la fois par l’évolution des institu
tions et par la relative abondance de nos sources. Les défaites
subies dans la Guerre sociale, en 355, et dans la seconde guerre
contre Philippe de Macédoine, en 338, semblent avoir entraîné
des réformes majeures dans les institutions démocratiques aussi
bien que la renaissance des idéaux de la « démocratie de Solon,
celle de nos pères », même si le régime démocratique fut rem
placé par une oligarchie après la conquête d’Athènes par les
Macédoniens en 322. La plus belle période de la rhétorique
attique commence en 355, et pour les trente-cinq années qui
suivent, nous avons une abondance sans pareille d’excellentes
sources concernant la vie publique à Athènes : en premier lieu
les discours de Démosthène, d’Eschine, d’Hypéride, de
Lycurgue et de Dinarque, mais aussi bien les derniers discours
d’Isocrate. La seconde partie de la Constitution d’Athènes
d’Aris-
tote décrit les institutions démocratiques dans les années 330, et
c’est dans la seconde moitié du rve siècle que la documentation
épigraphique est la plus abondante. Aucun discours n’est posté
rieur à l’abrogation de la démocratie par Antipater en 322/1. La
période 355-322 coïncide également avec la carrière politique
de Démosthène, laquelle commence en 355 avec les poursuites
contre Androtion et Leptine pour s’achever avec son suicide
par sycie l'impérative » Ven 28 Avr, 17 1:52
L’apocalypse de Saint-Jean : une "révélation" intérieure
par micnet
lundi 25 novembre 2013
Lorsqu'on évoque l'apocalypse, l'imagerie d'Epinal (et non celle de Patmos où séjourna, paraît-il, Jean l'évangéliste) évoque immédiatement les guerres et les catastrophes en tout genre, consécutives, bien entendu, des complots d'ordre géopolitique, géostratégique et/ou religieux.
Jean-Yves Leloup est un prêtre orthodoxe, docteur en théologie et en philosophie et spécialisé dans l'étude comparée des religions. Il a écrit (et traduit) " l'Apocalypse selon Saint-Jean" et nous livre ici son interprétation du livre biblique sans doute le plus controversé. Son approche n'est pas sans rappeler celle de Carl Jung sur l'inconscient et les "archétypes" structurant de la psychologie humaine. Car L'apocalypse, avant d'être une réaction en chaîne de catastrophes à venir, est d'abord une révélation de notre inconscient.
par sycie l'impérative » Ven 28 Avr, 17 2:06
par sycie l'impérative » Ven 28 Avr, 17 2:15
par sycie l'impérative » Ven 28 Avr, 17 2:20
Taylor Mitchell, jeune chanteuse folk canadienne, alors en pleine tournée, a succombé lors de l'une de ses pauses de détente. Une promenade en forêt s'est achevée tragiquement lorsqu'un duo de coyote l'a attaquée pour la déchiqueter.
par sycie l'impérative » Ven 28 Avr, 17 2:27
par sycie l'impérative » Ven 28 Avr, 17 2:29
par sycie l'impérative » Ven 28 Avr, 17 2:32
par sycie l'impérative » Mar 02 Mai, 17 5:48
Au 15e siècle, après la guerre de Cent Ans, fut élevé le logis central avec tour d'escalier, le tout dans un style inspiré du Val-de-Loir. Déjà, le château et le domaine alentour, étaient entrés en possession de la famille du Grenier. En 1612, Loup du Grenier épousa notamment Anne Martel, dame d'Oléron. En raison des terres et seigneurie héritées en cette île, il ajouta au titre de seigneur du Pin et de La Pellonnière, celui de «baron d'Oléron», lequel se transmit à son fils René, son petit-fils, également prénommé René (décédé en 1699) prenant enfin le titre de «marquis d'Oléron».
C'est à la famille du Grenier que l'on doit l'embellissement progressif du château, notamment la construction de l'aile, initialement surmontée d'une galerie, reliant le logis au "Pavillon" ci-dessus mentionné et attesté dans plusieurs actes du 18e siècle.
En 1630, fut édifié par René du Grenier, le colombier dont on possède l'acte de commande daté de 1629.
La citadelle fut construite en 1630, un peu à l'est du château-fort d'Aliénor d'Aquitaine qui fut alors démoli. c'était sous Louis XIII.
La direction des travaux fut confiée à Monsieur d'Argencourt. les armes de Richelieu sculptées, croit-on, sur les murs de la porte d'entrée, à l'intérieur, permettent de penser qu'il termina le travail un peu avant la mort du Cardinal vers 1641.
Sous Louis XIV, Colbert délaissa Brouage, port en déclin, au profit de Rochefort qu'il fit littéralement sortir du sol (premier port militaire de France). il fallait protéger Rochefort contre les incursions anglaises.
Colbert envoya dans l'île le chevalier de Clerville et lui fit donner le gouvernement d'une enceinte flanquée de redans et de petites courtines. Après sa mort, ce travail fut conduit par Combes jusqu'en 1688. L'année d'après, Monseigneur Ferry en fait raser une partie. Il fit construire du côté de la ville un ouvrage à cornes et une demi-lune placée dans la gorge de cet ouvrage. Puis s'éleva du côté des marais un autre ouvrage.
Seule la location de salles d'expositions est possible actuellement. Des travaux de réhabilitation sont en cours sur les autres salles qui devraient être terminés pour la saison estivale 2015.
Plus de 7000 ouvriers y travaillèrent et parmi eux des paysans amenés de force sous l'escorte de prévôts de plus de trente lieues. Beaucoup moururent de fatigue et de chagrin. Des sauniers du Château, de Dolus et de Saint Trojan signent un engagement de travail (avec chevaux).
On bâtit encore vers 1690 une demi-lune. Vers 1695, les chemins couverts et les glacis furent terminés.
Quelques temps après, on forma une enceinte où fut comprise la ville. Vers 1741, le pont dormant était refait et en 1742 toute la façade de la porte d'entrée.
La citadelle résume, à elle seule, les qualités des ouvrages de Vauban : beauté, équilibre, audace, et puissance.
Enfin, suprême récompense pour ceux qui ont gardé leur âme d'enfant, des ombres hantent ce site historique : Aliénor d'Aquitaine, Agrippa d'Aubigné, Henri de Navarre, Richelieu, le Roi Soleil, Vauban, visiteurs illustres.
ses occupants :
* en 1630 : urbain de maille, marquis de breze, maréchal de france, beau-père de richelieu, est le premier gouverneur de la citadelle. la garnison se composait d'un régiment d'infanterie de deux bataillons et chaque bataillon de 4 compagnies de fusillers, une compagnie de grenadiers et une compagnie de chasseurs.
* 1789 : à la révolution, prison d'etat
* 1789-1870 : condamnés aux travaux forcés
* 1870 : prisonniers allemands (d'après des dessins gravés dans la pierre, casques, fusils, phrases écrites en gothiques).
* 1870-1911 : garnison
* après 1918 : forteresse abritant des « disciplinaires ». la garde était montée par une section coloniale.
* 1939-1945 : elle est occupée par l'armée allemande. en 1944, 80 oléronais y étaient arrêtés et enfermés.
* 1945 : à la libération, l'aviation alliée bombardait la citadelle et faisait d'énormes dégâts.
* 1959-1970 : restauration
* 1974 : les ronces l'envahissent, elle est abandonnée
* 1988 : début des travaux de remise en état
* aujourd'hui : elle est devenue un des sites les plus visités de l'île d'oléron.
L'accès à la citadelle est libre tout au long de l'année.
L'Arsenal a été terminé en octobre 2015. Il abrite maintenant une salle de spectacle de 300 places, une salle de réception avec vue sur mer et et une salle d'exposition avec cloisons amovibles pour diviser l'espace en 3 salles de travail.
Cette information vous est proposée par : Office de Tourisme de l'île d'Oléron et du bassin de Marennes
Oléron: mort d'un enfant de 6 ans dans l'incendie d'une maison
Un enfant de six ans est mort dans un incendie survenu dans la nuit de jeudi à vendredi dans un appartement à Saint-Pierre-d'Oléron.
"Une mère de famille et ses trois enfants, dont le cadet a été retrouvé mort dans les décombres", vivaient dans cet appartement situé au rez-de-chaussée d'un pavillon, a précisé le capitaine Pascal Hallier, de la compagnie de gendarmerie de Rochefort. Le garçonnet était né en 2010.
Les deux autres enfants et la mère de famille ont pu fuir le logement en flammes. La mère "a été hospitalisée en état de choc", a-t-on précisé de même source.
Trente sapeurs pompiers sont parvenus à éteindre le feu vers 05h00 vendredi. Douze personnes du voisinage ont été évacuées.
Une enquête a été ouverte par le parquet de La Rochelle pour déterminer l'origine de l'incendie.
Le Traité sur la tolérance est une œuvre de Voltaire publiée en 1763.
Ce texte vise la réhabilitation de Jean Calas, protestant faussement accusé et exécuté pour avoir assassiné son fils afin d'éviter que ce dernier ne se convertisse au catholicisme.
Dans ce Traité sur la Tolérance, Voltaire invite à la tolérance entre les religions et prend pour cible le fanatisme religieux (plus particulièrement celui des jésuites chez lesquels il a fait de brillantes études étant jeune homme) et présente un réquisitoire contre les superstitions accolées aux religions.
Le Traité sur la tolérance est vraisemblablement toujours d'actualité au XXIe siècle. En effet, en janvier 2015, à la suite de l'attentat contre Charlie Hebdo, l'ouvrage de Voltaire se place au sommet des ventes des librairies un peu partout dans le monde1. Ses ventes en France passent de 11 500 en 2014 à 185 000 exemplaires fin 20152.
Contexte
L'œuvre voltairienne fait suite au procès, à la condamnation à mort et à l'exécution de Jean Calas, père de famille huguenot, le 10 mars 1762.
Jean Calas appartient à une famille protestante à l'exception de sa servante, catholique, et d'un de ses fils, converti au catholicisme.
À la suite de la mort par suicide supposé de son fils aîné, la famille Calas se retrouve faussement accusée d'homicide volontaire.
La famille est mise aux fers et le père, à la demande populaire, et sur ordre de 13 juges, est condamné à mort malgré l'absence de preuve. Le contexte historique est alors encore fortement marqué par les guerres de religions françaises des siècles précédents.
À la suite de l'exécution de Jean Calas, qui plaide son innocence jusqu'à sa mort, le procès est rejugé à Paris et, le 9 mars 1765, la famille Calas est réhabilitée.