Elections en trompe-l’oeil au Congo-Brazzaville

La presse est muselée. Les partis d’opposition sont victimes de fortes intimidations de la part du pouvoir en place », affirme la FIDH. L’organisation dénonce, par ailleurs, de nombreuses violations des droits de l’homme, notamment de la part de militaires angolais, tchadiens, centrafricains et d’anciens soldats zaïrois, qui ont contribué à la victoire de Denis Sassou Nguesso et sont toujours présents dans le pays. Pour l’heure, trois candidats, sur les neuf initialement retenus ont jeté l’éponge : André Milongo, ancien président de l’assemblée, Martin Mberi, ancien ministre du gouvernement sortant et leader d’une faction de l’UPADS de Pascal Lissouba, de même que le général en retraite Anselme Makambou-Nkouka

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le rapport : Elections en trompe-l’oeil au Congo-Brazzaville

 Rapport 2002 du PNUD sur le développement humain au Congo