https://www.youtube.com/watch?v=65zUM2mych8
Mokoko en résidence surveillée meurt de faim et Sassou danse sur les cadavres du Pool...
Tchadié !
SAssou a mis en prison Moise !
par sycie l'impérative » Mer 15 Juin, 16 8:18
par sycie l'impérative » Mer 20 Juil, 16 8:21
par sycie l'impérative » Ven 22 Juil, 16 4:57
par sycie l'impérative » Mar 02 Août, 16 4:58
La corruption est un crime
La corruption est un crime grave qui affaiblit la société
La corruption :
Freine le développement social et économique et accroît la pauvreté en détournant les investissements nationaux et étrangers des secteurs où ils sont le plus nécessaires;
Affaiblit le système éducatif et le système de santé, privant ainsi la population des composantes fondamentales d’une vie décente;
Mine la démocratie, car elle fausse le processus électoral et sape les institutions publiques, entraînant ainsi un risque d’instabilité politique;
Exacerbe les inégalités et l’injustice en pervertissant l’État de droit et en sanctionnant les victimes d’infractions qui sont confrontées à des décisions de justice viciées.
Lutter contre la corruption, c’est l’affaire de tous
La corruption existe tant dans les pays riches que dans les pays pauvres, même s’il est démontré qu’elle frappe les populations pauvres de façon disproportionnée. Elle entrave les efforts déployés pour réaliser les objectifs du Millénaire pour le développement convenus à l’échelle internationale. Elle sape la démocratie et l’État de droit, entraîne des violations des droits de l’homme, fausse les marchés, dégrade la qualité de vie et favorise la criminalité organisée, le terrorisme et d’autres menaces pour la sécurité humaine. Elle contribue à l’instabilité et à la pauvreté et constitue un facteur dominant qui conduit les États fragiles à la déliquescence.
Les pouvoirs publics, le secteur privé, les organisations non gouvernementales, les médias et les citoyens du monde entier conjuguent leurs efforts pour lutter contre cette forme de criminalité. Le Programme des Nations Unies pour le développement (PNUD) et l’Office des Nations Unies contre la drogue et le crime (UNODC) sont en première ligne de ce combat.
Source : Office des Nations Unies contre la drogue et le crime
par sycie l'impérative » Mar 16 Août, 16 5:41
Congo Brazzaville, champion toutes catégories
Au Congo Brazzaville, petit émirat pétrolier d’Afrique centrale (près de 4,5 millions d’habitants avec environ 250 000 barils/jour, alors que le Koweit, pour comparaison, produit 3 000 000 barils/jour pour 3,5 millions d’habitants), l’unité de compte du détournement des deniers publics commence à partir de 10 millions de francs CFA, soit 15 000 euros. Ici, l’ingénierie de la fraude sur les biens de l’Etat se perfectionne chaque jour.
« Pour sortir l’argent du trésor public, confie un haut cadre de la majorité présidentielle, on monte des meetings bidons. On promet ensuite de mobiliser 50 000 personnes à Brazzaville sur la base de 3 000 francs CFA par personne. Ce qui nous amène à 150 millions de FCFA (environ 230 000 euros) que le ministre des Finances va devoir sortir sur instruction expresse du chef de l’Etat »
En savoir plus sur http://www.lemonde.fr/afrique/article/2 ... bkRqUzx.99
par sycie l'impérative » Mar 16 Août, 16 5:43
Les « Panama papers » en trois points
Le Monde et 108 autres rédactions dans 76 pays, coordonnées par le Consortium international des journalistes d’investigation (ICIJ), ont eu accès à une masse d’informations inédites qui jettent une lumière crue sur le monde opaque de la finance offshore et des paradis fiscaux.
Les 11,5 millions de fichiers proviennent des archives du cabinet panaméen Mossack Fonseca, spécialiste de la domiciliation de sociétés offshore, entre 1977 et 2015. Il s’agit de la plus grosse fuite d’informations jamais exploitée par des médias.
Les « Panama papers » révèlent qu’outre des milliers d’anonymes de nombreux chefs d’Etat, des milliardaires, des grands noms du sport, des célébrités ou des personnalités sous le coup de sanctions internationales ont recouru à des montages offshore pour dissimuler leurs actifs.