Alors qu'il va vous annoncer qu'il va se présenter en candidat du parti créé par le Président Marien NGOUABI, Sassou Nguesso a fait interner à l'hôpital Psychiatrique de Sainte Anne, justement le mal aimé des fils NGOUABI : NGOUABI YOKA Ghislain Césaré.
Pourquoi ? En tant que son Avocat, NGOUABI YOKA m'a confié le manuscrit de son livre SASSOU, le fou au pouvoir que j'ai préfacé et aussitôt confié à un éditeur américain. Ce livre en cours de fabrication fait terriblement peur à SASSOU.
Il démontre comment pendant 22 ans, SASSOU a construit et fait construire le personnage de YOKA, le fou, pour avoir accusé publiquement à l'âge de 20 ans SASSOU d'être l'assassin de son Père NGOUABI. Son aîné Marien, du même prénom que son père qui l'a fait le premier a trouvé la mort dans une boîte de nuit dans un assassinat maquillé en suicide. NGOUABI YOKA a eu droit à une mort sociale.
A 42 ans, il n'a rien fait de sa vie, tandis que d'autres comme Dominique NGOUABI, sont devenus des multi millionnaires en exploitant des licences sur des mines congolaises et d'autres "affaires".
Pendant son séjour parisien où avec son ministre de la Défense ils sont venus s'expliquer sur l'affaire de numéro de série des armes trouver chez les Kamikazes de Paris qui proviendraient du stock congolais des armes, SASSOU qui ne savait pas que le livre était achevé, a donné à Dominique NGOUABI des instructions de bien "s'occuper", moyennant une enveloppe assez copieuse, de son frère. Conclusion : NGOUABI YOKA se retrouve interner à l'hôpital Sainte Anne.
Je sollicite chacun de vous d'écrire à Monsieur le Président de la République, à Monsieur le Ministre des Affaires étrangères, à la Direction de l'hôpital Sainte Anne et d'exiger la libération.
Même si on vous répondait qu'il y est entré librement ou pour son intérêt, insistez, car NGOUABI YOKA que la psychiatrie sous les commandes de SASSOU avait détruit, retrouvait ses repères et commençait à reprendre en main sa vie la preuve la rédaction de ce livre SASSOU, un fou au pouvoir, qui est une bombe dans la maison même de SASSOU.
Dominique KOUNKOU
Avocat
Alors voilà :
Dominique NGOUABI des instructions de bien "s'occuper", moyennant une enveloppe assez copieuse, de son frère.
Sassou a toujours dit qu'il donnait de l'argent pour la famille de Ngouabi, pour toute la famille. Cependant, il fait comme au village : il donne l'argent
aux chefs de meute dont ce Dominique Ngouabi
qui n'a jamais fait aucune affaire, mais qu'on a vu rendre des services bien peu orthodoxes... Enfant d'une makoua, il ne vit que par le complexe d'être à la hauteur, d'être reconnu lui aussi et
nourrit une rivalité sans faille pour sa fratrie et n'importe qui au demeurant.S'il y a des malades dans les familles, il y a aussi des enfants ratés parfois,
et ce ne sont pas forcément ceux qu'on croit fous. Le plus fou des Ngouabi est certainement ce Dominique ; il vendrait sa famille pour un bifteck. C'est un grand psychopathe notoire qui déstabilise toute sa famille et son village par le désordre chaotique de son comportement ; plusieurs chefs d'entreprises qui ont porté plainte contre le Congo-Brazzaville et arpentent les tribunaux internationaux ont été arnaqués par ce Dominique avec des apparences d'être mandaté par l'état congolais, ou d'autres états, on se demande bien comment... Enfin plus depuis le film ; the ambassador. Il est constant qu'il soit lié à de très graves et sombres catastrophes humanitaires en Afrique centrale, dont en Centrafrique. Véritable couteau-Suisse des affaires sous le manteau de la françafrique, mi délateur, mi mendiant, je devrais diviser la part en plus que ça pour qualifier la schizophrénie de cet énergumène, un vrai criminel dont on se demande si les crimes du sérial killer de Pointe-Noire ne sont pas véritablement de lui. Il n'y a qu'à voir ses fréquentations.
C'est sans doute à cause de ce type que Yoka ne guérit plus. En 2008, Ngoualondélé et quelques gens de leur microcosme, se sont arrangés avec les autorités françaises pour faire éliminer des personnes pouvant les gêner en France ; en commençant par faire couper les aides médicales et moyens de survie, faire virer certains de leur travail, essayer de les déporter au Congo où les attendait la prison ou l'asile qu'ils nomment le cabanon.
Comme tout le monde en état de choc, une personne honnête et sensible qui le sait peut péter un câble ; ils le savent, alors ils en jouent ; comme tous les pervers qui se disent travailler pour des services de renseignements, ils encerclent la victime dans un étau invisible fait de galères insurmontables avec des autorités de confiance, et les rendent fou.
Voilà ce que cet enfant a vécu en gros depuis presque toujours, de 1992 à ce jour.
Il est possible de détruire quelqu’un juste avec des mots, des regards, des sous-entendus : cela se nomme pour M.F. Hirigoyen la violence perverse ou le harcèlement moral. Comment comprendre, analyser, vaincre ce type de violences Quelles solutions, quelles parades y apporter
Nous résumons ici l’ouvrage « Le harcèlement moral » dont le sous-titre est La violence perverse au quotidien de M.F. Hirigoyen. Le livre est publié en collection de poche chez Pocket. Présenté en formation continue, ce livre et la lecture qu’en ont faite certains collègues a constitué une véritable libération. Victimes de harcèlement moral, ils avaient enfoui ce vécu dans les profondeurs de leur inconscient. Le réveil de cette série de blessures, la prise de conscience des manœuvres dont ils avaient été victimes, la lecture des exemples cliniques dans lesquels ils se retrouvaient les a aidé à dépasser un vécu douloureux.
La violence perverse au quotidien
De petits actes pervers sont si quotidiens qu’ils paraissent la norme. Cela commence par un simple manque de respect, du mensonge ou de la manipulation. Nous ne trouvons pas cela insupportable que si nous sommes atteints directement. Puis, si le groupe social dans lequel ces conduites apparaissent ne réagit pas, cela se transforme progressivement en conduites perverses avérées qui ont des conséquences graves sur la santé psychologique des victimes. N’étant pas sûres d’être entendues, celles-ci se taisent et souffrent en silence.
Cette destruction morale existe depuis toujours, dans les familles où elle reste cachée, et, dans l’entreprise où l’on s’en accommodait en période de plein emploi car la victime avait la possibilité de partir. Aujourd’hui, celles-ci s’accrochent désespérément à leur poste de travail au détriment de leur santé tant physique que psychique. Quelques-unes se sont révoltées, ont quelquefois intenté des procès ; le phénomène commence à être médiatisé et cela amène la société à s’interroger.
Il est courant dans nos pratiques d’êtres témoins d’histoire de vie où l’on discerne mal la réalité extérieure de la réalité psychique. Ce qui frappe dans tous ces récits de souffrance c’est la récurrence, ce que chacun croyait singulier est partagé par beaucoup d’autres.
La difficulté des transcriptions cliniques réside dans le fait que chaque mot, chaque intonation, chaque allusion ont de l’importance. Tous les détails, pris séparément, paraissent anodins, mais leur ensemble crée un processus destructeur. La victime est entraînée dans ce jeu mortifère et peut réagir elle-même en retour sur un mode pervers, car ce mode de relation peut être utilisé par chacun de nous dans un but défensif. C’est ce qui peut amener à parler de complicité de la victime avec son agresseur.
De nombreuses séquences d’agressivité et/ou de violence peuvent être liées ou déclenchées par le harcèlement moral. C’est pour cette raison que chaque fois que l’on parle de violences, il faut en décrire très précisément le contexte. On risque sinon de contribuer à accréditer l’idée que c’est la victime qui en est l’auteur, et qu’elle seule doit en payer les conséquences. La notion de harcèlement moral montre que les choses sont bien différentes et surtout beaucoup plus complexes. Il existe des soignants qui sont des harceleurs moraux même si chacun de nous peut à un moment ou à un autre adopter une attitude perverse.
M.F. Hirigoyen note qu’un même individu tend à reproduire son comportement destructeur dans toutes les circonstances de sa vie sur son lieu de travail, dans son couple, avec ses enfants, et c’est cette continuité qu’elle veut souligner. Il est ainsi des individus qui jonchent leur parcours de cadavres ou de morts-vivants. Cela ne les empêche pas de donner le change par ailleurs et de paraître tout à fait adaptés à la société.
C'est la spécialité des barbouzes comme Ngouelondélé et ceux qu'il a formé comme malheureusement cette ligue criminelle échappée du Congo Brazza, décrite dans le mainstream, comme des extrémistes de gauche djihadiste.
Il ne faut plus se taire où le Congo aura cette fois-ci un vrai Hitler à sa tête !