Muleb' Kongo a écrit :. Toujours est-il que le contact avec l'occident s'étant fait de manière intensive depuis le quinzième siècle, il n'est pas fou de penser que les échanges d'or, de cuivre et aitres matières aient pu se faire sur la base de mesures établies et acceptées de tous.
J'ai connaissance de l'existence de mesures pour l'échange et la vente de graines et d'épices.
Pour ce qui est de la mesure de la masse, j'ai souvent vu soupeser ceci et cela. Le morceau de viande comme le poisson ou le bloc de métal.
Mais je préfère laisser les spécialistes nous livrer ce qu'il en est exactement.
Quand on sait que jusqu'à présent le troc existe dans la cuvette ouest, (Kellé-Mbomo) où l'unité de mesure de la poudre d'or est le bouchon de biere ou de limonade!
1 bouchon de bière rempli de poudre d'or équivalant à peu près à 10 grammes d'or, est échnagé contre un bidon de 25 litres de pétrole pour le traficant venant du Gabon ou du cameroun!
Les commerçants Congolais et les représentants du Ministère des Mines sont absents des échanges commerciaux, les uns trop paresseux, les autres dépourvus de ressources financières, logistiques et même humaines... (Les Bac+9.5, humilité oblige, préfèrant se contenter des allocations de subsistance à l'étranger, tout en se grattant leur nombril , et en le prenant pour le centre de la terre)
Et dire que le Congo vient de regagner le processus de Kimberley, alors que le Ministère des Mines ne possède même pas une balance de type Mettler ou type Roberval avec sa collection de masses marquées en laiton ou même de trébuchet de précision Brewer ... dont voici un modèle:
(on ne parle pas de balance électronique) pour les pesées des productions des orpailleurs)... Ikele Vééééééééééééééé