Bonsoir Kani !
L'ordre ou la discipline franc-maçonniqueIl s'agit de faire en sorte que tout membre de la confrérie soit soumis, discipliné, obéissant aux ordres de sa hiérarchie dans un but de fonctionnement ordonné de l'ensemble, du moins c'est le but déclaré à tous, mais dans l'unique fin de préserver la suprématie caucasienne en réalité.
A tous il est déclaré le premier but, à quelque niveau de grade que ce soit, tandis que le second ne doit être dévoilé qu'aux concernés, à ceux qui en font partie, ceux qui sont caucasiens, de sorte que tous les autres, qui n'en sont pas, ne sont que des serviteurs qui s'ignorent de cette seule raison réelle d'être de cette confrérie !
Pour servir cette discipline, cet « ordre », divers moyens sont déployés et, sans doute le plus important, est la manipulation des esprits sans que ceux qui s'y livrent ne s'en rendent toujours compte, la tâche est parcellisée au possible, pour que chaque membre agisse comme un maillon d'une chaine, dont il ne maîtrise pas toujours les finalités, mais chacun a une tâche précise à mener !
Si bien que chacun, parmi les manipulateurs est lui-même manipulé sans s'en douter, mais surtout sans avoir à se préoccuper du pourquoi de ce qu'il fait, c'est la condition du maintien d'une bonne marche du principe de l'obéissance, de la discipline lesquels lui imposent de faire ce qu'on lui demande de faire.
Quiconque dérange la confrérie, doit être réduit au silence par tous les voies et moyens possibles, ces décisions ne sont prises que par les plus grands chefs de la confrérie, ceux qui en maîtrisent les finalités de bout en bout ; aux autres, à tous les autres, il revient la fonction d'exécuter l'ordre par grappe, chacun à son niveau, petite dose par petite dose, jusqu'à ce que le but soit atteint !
Celui qui, sans être franc-maçon, prend trop d'importance au niveau social, par le message qu'il véhicule ou par une manière d'être ou de faire différente et susceptible d'éveiller les consciences, donc de réduire leur emprise sur l'humanité est anéanti par des moyens graduels, d'abord pacifiques, puis de plus en plus extrêmes pour en arriver à la mort physique, au besoin !
Au départ il s'agit de le décrédibiliser, de lui faire perdre tout crédit auprès de ses auditeurs, de ceux qui le suivent ou sont attentifs à son message, à son aura, à son charisme donc à terme, susceptibles de le suivre et la meilleure des armes à cette fin est la déresponsabilisation.
Comment déresponsabiliser quelqu'un au mieux sinon en l'infantilisant, en le faisant passer pour immature, comme encore un enfant afin que tout adulte répugne à le suivre, notamment dans un monde dans lequel se creuse de plus en plus le fossé entre dits « jeunes » et dits « vieux » ?
Celui qui apparaît comme un simple jeune, agissant par phénomène de mode, voire de révolte sociale inhérente à toute jeunesse et non par convictions mûrement réfléchies et solidement ancrées autant que justifiées et justifiables, apparaît comme un fanfaron, un farfelu, au mieux un original, mais nullement comme un prophète, un modèle, quelqu'un à écouter ou imiter.
Donc on s'en écarte, s'en défie et, s'il persiste, s'y oppose, voire se braque contre lui !
Certes le concerné peut, quelque soit son âge d'ailleurs, parfaitement se sentir amplement adulte, mais ce n'est pas ainsi que fonctionne le système, il s'agit de manipuler son entourage, tous ceux qu'il croise ou peut être amené à croiser afin que leur attitude à son égard l'incite lui-même à s'y conformer volontairement ou non.
Des lieux communs existent, par exemple, sur la plupart des humains, des noirs on pense en général qu'ils sont moins créatifs, moins indépendants, moins « responsables » que les autres composantes de l'humanité, mais au sein de ces mêmes noirs, on a bâtis de nouveaux clichés de toutes sortes, pour les catégoriser de nouveau.
Dans la sphère francophone, il est généralement admis que le noir africain fait de plus longues études que celui des îles ou des anciennes zones où a régné l'esclavage, ce dernier étant réputé plus joueur, plus immature, plus coureur de jupons, plus facilement contrôlable, plus soumis au maître occidental.
Au premier il doit être contesté toute velléité de création, toute capacité d'organisation, de commandement autrement que parmi les siens, il faut enfermer chacun de ceux-là dans ces imageries crées à cette fin, pour que l'ordre occidental perdure car il repose aussi en partie sur ces a-prioris.
Lorsqu'un noir tend à briller quelque part, il faut soit le faire passer pour tout le contraire de ce que l'on sait qu'il est en réalité, c'est à dire intelligent, adulte en esprit et responsable, cela par tous les moyens ; il faut et il suffit que chaque membre de la confrérie s'y emploie avec acharnement et sans discontinuer pour qu'aux yeux de ceux qui n'en sont pas, de la confrérie, il apparaisse comme on voudrait qu'il apparaisse et perde toute réelle considération de ce fait.
Par la suite, tout dépend de l'attitude de celui qui est visé par cette cabale occulte et sans nom, soit il se laisse entraîner par l'image que l'on veut diffuser de lui, qu'il en aie conscience ou non, soit il se braque et cherche à y résister.
Dans le premier cas, tout va bien, l'organisation a atteint son but, la cabale persiste pour le maintenir ainsi sous contrôle ; au contraire, dans le second cas, on déploie de nouveaux procédés, qui passent par des ordres d'une teneur différente auprès des membres, cela peut aller jusqu'au sabotage du travail de la victime désignée, quelques soient les désagréments susceptibles d'en naitre pour l'institution pour laquelle il travaille, l'objectif de le perdre est prioritaire.
S'il utilise des ordinateurs, on peut sans cesse mettre ceux-ci en panne, s'il utilise d'autres outils, on peut les faire disparaître, juste le temps nécessaire, s'il a besoin de faire des photocopies, on peut mettre la photocopieuse hors service, s'il exerce face à un public déterminé, on peut agir vis à vis de celui-ci, en le manipulant à dessein, pour que d'une manière ou d'une autre il lui mène la vie dure.
A celui qui évolue devant des enfants, on va faire se braquer ceux-ci contre lui, notamment en leur faisant croire qu'il ne les aime pas, dans un monde où de plus en plus tous se positionnent ou non les uns, derrière les autres en fonction des affinités entendues principalement comme le fait d'apprécier ou non quelqu'un.
La manipulation du public auquel il a affaire est d'autant plus facile que celui-ci est jeune car là, au sein de la jeunesse, les clichés passent plus facilement, tandis que face à un public adulte, il faut davantage user de moyens contraignants, par exemple la limitation d'une manière ou d'une autre de leur confort matériel, en les privant d'emploi, de promotion...
L'objectif de tous ces harcèlements qui ne disent pas leur nom, est de finir par décourager la victime désignée parce que trop juste, trop ancrée dans la voie d'amour de manière apparente et donc dérangeante pour la confrérie, que ses efforts en vue de faire partager sa connaissance des vertus de la voie qu'il suit sont vains et voués à l'échec.
Seulement c'est ignorer le devoir de persistance auquel est soumis le juste, en vertu de sa foi et de son adhésion à l'amour, tant qu'il vit, tant que l'humanité n'est pas entièrement entrée dans ce chemin, il se doit partout où il passe de rallier à lui ceux qu'il peut, tout au moins de leur faire connaître l'existence de la voie d'amour par le biais qui lui apparait le plus approprié.
Plus encore pour le juste, toutes les épreuves qu'il croise sur sa route sont autant de gratifications car plus les épreuves qu'il vainc sont grandes, plus son élévation en esprit est conséquente, il a donc tendance à aller au devant de celles-ci plutôt qu'à s'en défier !
Cependant la confrérie visant le maintien de l'humanité dans l'obscurité contrairement à ce qu'elle avoue publiquement, elle aussi va persister dans son entêtement et, dans la mesure où à l'heure actuelle elle sait avoir l'avantage ici-bas et détenir le pouvoir partout, elle s'efforce de maintenir cela au maximum, en s'en prenant aux justes susceptibles de le défaire, d'aider l'humanité à se délivrer.
La grande force de la franc-maçonnerie réside dans son fonctionnement cloisonné, en interdisant à chacun de ses membres de se déclarer ainsi en public, chacun dans la même sphère ne sait pas forcément qui est qui, seuls les chefs, les grands chefs sont habilités à délivrer cette information aux uns et aux autres.
Cela permet, de pouvoir même faire jouer les uns et les autres dans des sens parfois opposés pour mieux endormir la vigilance des justes, qui perdent ainsi tout soupçon vis à vis de certains, à qui ils deviennent susceptibles de se confier, en ignorant leur appartenance à cette confrérie, pour mieux se perdre !
Mais le point fort de l'"ordre" maçonnique repose sans doute sur l'obligation qui est faite à chacun de ses membres d'obéir à tout ordre qui émane de la confrérie, notamment venant d'un supérieur, combien même celui-ci heurterait sa sensibilité ou ses convictions les plus profondes ; c'est le meilleur moyen d'aliéner le libre-arbitre d'autrui, de brider les libertés de pensée et d'action réelles des individus, d'en faire de véritables soldats obéissants !
C'est pourquoi devenir franc-maçon c'est véritablement renoncer à son libre-arbitre, sans plus de chance de retour en arrière puisqu'on est sensé intégrer la confrérie à vie, sans possibilité de renonciation !
Luzolo
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