Vous avez peur de mourir de faim ? faîtes comme eux : faîtes du bruit, c'est le moment d'effrayer les serpents et les requins !
http://www.bruitdufrigo.com/index.php?id=339
un aménagement pérenne permettant de développer les activités existantes sur le jardin et d’en créer de nouvelles.
Ne soyez pas déçus vous avez été accompagné sans le savoir. Avis à tous les suvrivors !
Il était écrit que toute église détruite sera rebâtie en 3 jours ; c'est le moment jusqu'à l'avènement de la vie à nouveau !
Allez, rétrospective, boustrophédon ! C'était déjà écrit !
On appelle jeu à somme nulle ou jeu strictement compétitif, les jeux à deux joueurs dans lesquels l'intérêt de l'un des deux joueurs est strictement opposé à l'intérêt de l'autre joueur. Si les préférences des joueurs sont représentées par une fonction de gain ou une fonction d'utilité, alors la somme des deux fonctions est toujours égale à 07. La théorie des jeux à somme nulle a été essentiellement développée par Morgenstern et von Neumann 19448.
Les échecs, le tarot ou le poker sont des jeux à somme nulle car les gains de l’un sont très exactement les pertes de l’autre.
Le jeu pierre-feuille-ciseaux est un autre exemple de jeu à somme nulle. Le dilemme du prisonnier n'est pas un jeu à somme nulle (dans certains cas, les deux joueurs peuvent perdre).
Perdre, c'est gagner !
Jeux répétés
La répétition d’un jeu, avec connaissance des résultats intermédiaires, change souvent fondamentalement son déroulement (les meilleurs coups et la conclusion).
Par exemple, il peut être utile de prendre ponctuellement le risque de perdre « pour voir », tester les autres joueurs, et mettre en place des stratégies de communication par les coups joués (à défaut d’autre moyen de communication).
Il se développe également des phénomènes de réputation qui vont influencer les choix stratégiques des autres joueurs. Dans le dilemme du prisonnier, le fait de savoir qu’on va jouer plusieurs fois avec un dur qui n’avoue jamais mais se venge cruellement, ou avec un lâche qui avoue toujours, change radicalement la stratégie optimale.
Enfin, le fait que le nombre total de parties soit connu à l’avance ou non peut avoir des effets importants sur le résultat, l’ignorance du nombre de coups rapprochant du jeu avec un nombre infini de coup, alors que sa connaissance rapproche au contraire du jeu à un seul coup (et ce, aussi grand que soit le nombre de coups).