Que se passe-t-il exactement à Brazzaville où l’article du COMMUNICATEUR sur la santé de Sassou Nguesso a soulevé la tempête dans la cour présidentielle ?
Le journal LE COMMUNICATEUR, qui publie en leader à la une un article
intitulé « Panique à Brazzavile » avec une photo du Président Sassou
persiste et signe dans cet article que le Président Denis Sassou Nguesso
souffre d’un cancer de la prostate.
Comment se porte le Président Denis Sassou Nguesso de la République du
Congo ? Mal, très mal voire. L’affirmation est du journal LE COMMUNICATEUR qui indique que son article dans son édition du 2 mars dernier et relatif à l’état de santé vacillante du « tombeur de Lissouba » a soulevé la tempête dans la cour présidentielle, si bien que LE COMMUNICATEUR enfonce le clou et titre dans son édition d’aujourd’hui : « Panique à Brazzaville ».
Dans cet article, le journal persiste et signe que « le Président Sassou
est menacé par la prostate » et défie quiconque démentirait cette nouvelle d’apporter la preuve du contraire.
Le journal fait état de l’agitation qui règne dans l’entourage du Président Sassou depuis que cette nouvelle a été portée à la connaissance du public et s’en prend nommément au ministre brazzavillois de la Communication Alain Akouala, qu’il accuse d’avoir « une gestion très maladroite et plus qu’irresponsable du dossier LE COMMUNICATEUR ». Le journal tance ce ministre et lui dit que « l’heure a sonné pour révéler des choses qu’il ne fallait pas mettre sur la place publique ».
Ensuite de quoi le journal déballe tout ce que « sa » source - une source particulièrement bien au courant de la situation en question -lui a soufflé sur l’état de santé du Président Sassou Nguesso.
Pour LE COMMUNICATEUR, ceux qui se sont illustrés à Brazzaville dans une
agitation fébrile à la suite de ses révélations sur la maladie de Sassou, « ne sont autres que tous les fauteurs de troubles en mal de positionnement, qui gravitent autour du Président congolais d’en face. Dans le souci de prouver au chef leur loyauté, ils ont joué le simulacre d’une sainte colère ».
Par : niaou
ebonga ebonga te...
