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La rage d’être impuissants devant la détresse humaine

L’Association "Tous ensemble dans le même bateau" nous a envoyé un appel poignant auquel nous ne pouvons que nous associer, mais face à une situation qui touche tant de monde, que pouvons-nous faire ?

Leur texte :

Nous sommes une association de lutte contre le cancer en France. Notre but : intervenir auprès des autorités Congolaise pour qu’une enfant de 13 ans diagnostiquée avec un cancer du sein à Brazzaville puisse se faire soigner en France.
Son papa travaille en France où il cotise au régime de sécurité sociale et est couvert par une mutuelle. Depuis toujours, prend en charge les frais pour son enfant. Il souhaite que sa fille Ronika vienne le rejoindre pour obtenir un diagnostic précis et bénéficier de soins en tant qu’enfant de cotisant.
Ce monsieur depuis deux ans se bat pour obtenir l’autorisation de faire venir ses trois enfants mineurs en France. Devant l’urgence du cas de Ronika, il demande une accélération de la procédure pour elle dont la vie est en jeu.

Espérant que vous accepterez de passer cet article pour sensibiliser l’opinion publique et les autorité administratives du Congo Brazzaville.

Notre association :
"Tous ensemble dans le même bateau"

http://www.memebateau.org
La présidente

Pour bouleversant que soit cet appel, nous ne sommes pas certains qu’il s’adresse aux bonnes personnes, les autorités administratives congolaises n’étant en rien capables d’attibuer un visa d’entrée en France, même si un geste de leur part pourrait en favoriser la délivrance.

Le cas de cette jeune fille n’est pas isolé, nombreuses sont les familles qui souhaitent faire soigner l’un des leurs en Europe et qui n’y parviennent pas. L’association le sait puisqu’elle défend d’autres cas comparables.

La seule possibilité que nous ayons est dans la mise en ligne d’une pétition de plus. Elle finira sans doute dans les corbeilles à papier du ministère des affaires étrangères comme le plus grand nombre de celles qui l’ont précédé.

Si nos internautes ont des idées qu’ils les expriment, la solution est peut-être là.

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