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ENVIRONNEMENT Congo - Cop 28 : La contribution salvatrice de Michel Innocent Peya pour les participants réunis à Dubaï Après le Sommet des Trois Bassins forestiers...

Après le Sommet des Trois Bassins forestiers du Congo, de l’Amazonie et du Bornéo-Mékong tenu à Brazzaville, sommet qui a posé le problème en terme clair quant à la nécessité de la préservation desdits bassins pour la sauvegarde de l’équilibre climatique de la planète, la Cop 28 qui se tient à Dubaï du 30 au 12 décembre 2023, apparait comme un véritable rendez-vous à la croisée des chemins, tant cette grand-messe s’enrichit des conclusions qui ont résulté des rencontres antérieures de haute facture et dont les engagements attendent de passer des paroles enrobées de bonnes intentions aux actes. Trêve de discours écolo-stériles.

C’est pour accompagner cet élan salvateur, que l’écrivain-chercheur congolais de renommée internationale, le Docteur Michel Innocent PEYA Ambassadeur des Droits et Devoirs de l’humanité et de l’Environnement, s’est mis à l’ouvrage en publiant au Éditions Tropiques Littéraires, un livre de 180 pages intitulé : « Position et Propositions commune des pays en développement et des Grands Bassin forestiers du monde – Synthèse et nouvelles perspectives  ».

Ce livre pédagogique qui s’appuie sur les engagements des pays en développement et des Grands Bassins forestiers du monde, pour proposer que la Cop 28 déclenche « une déclaration de guerre mondiale contre le changement climatique et ses conséquences catastrophiques  ».

Pour l’auteur engagé, convaincu de l’immense travail qu’il déploie pour la planète dans ses ouvrages, mais aussi de l’engagement pour la sauvegarde de la planète manifesté par le leader écolo-visionnaire, le Président congolais, Denis Sassou-N’Guesso, l’Homme est au centre de cette problématique, car il est en droit d’assumer sa responsabilité face aux générations futures, en leur léguant une Nature viable, reposant sur des préceptes qui confèrent un sens à la vie.

Face au péril climatique, conséquence d’une gestion irrationnelle des ressources qui ont de tous temps garanti l’équilibre des écosystèmes, la prise de conscience de tous et la promotion des mécanismes visant la sauvegarde de la planète apparaissent plus qu’impérieuses.

Pour ce faire, de nombreux dirigeants, au nombre desquels le Président congolais Denis Sassou N’Guesso, ne cessent de multiplier des initiatives.

Dans ce grand élan de l’évidence et du concret d’une Nature qui se saurait se nourrir des promesses, et même d’un avenir qui ne devrait à tout le moins être sacrifié au présent, le Président Congolais Denis Sassou N’Guesso s’est de tout temps inscrit en véritable rempart.

De par ses idées écolo-visionnaires ainsi que son engagement à garantir à la jeunesse un monde viable, Denis Sassou N’Guesso démontre, lui qui connait l’essence même de la forêt, que la Nature et la qualité de notre rapport au Monde sont largement tributaires de la perception que nous avons de nous-mêmes.

Ainsi que le relève l’auteur dans son ouvrage, l’action de Denis Sassou N’Guesso en direction de la Jeunesse scelle un pacte intergénérationnel pour des jeunes qui se rendent à l’évidence, si la branche veut fleurir, qu’elle honore ses racines. Cette jeunesse qui, selon lui, n’a pas fini d’éclairer son temps, n’a pas fini de guider son monde, mais qui, pour se réaliser, devra s’engager toujours plus pour la paix, la sécurité, la stabilité et pour le développement comme fer de lance des peuples.

En cela, Denis Sassou N’Guesso dont l’action en faveur de la Jeunesse qui se décline en un projet de société et des engagements clairs, fermes dans les domaines écologique, socio-économique, politique et culturel, est un facteur majeur dans le phénomène de résilience, toujours porteur d’espoir. Aider ou plutôt accompagner cette jeunesse, priorité de ses actions, à toujours se relever et à ne pas céder au désespoir et à la fatalité. Comprendre que les épreuves que l’on traverse sont de grands atouts pour les surmonter.

Aussi, les directives du genre «  une école un champ  » ou encore « un écolier un arbre  », montrent à tous égard que dans sa marche vers le progrès, le Président du Congo veut pouvoir compter sur une jeunesse plus engagée, plus digne et meilleure et dont l’identité se forge aujourd’hui en partie sur les réseaux sociaux et dans le lien numérique.

Cliquez sur la photo, pour lire la vidéo.

Sources : Bertrand BOUKAKA/Les Échos du Congo-Brazzaville

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