Une nouvelle année qui commence, pleine de résolutions... Il faut tout reprendre, regarder l’horizon, ne surtout pas se satisfaire des réalisations antérieures, bosser avec l’énergie du désespoir. Ceux qui se lèvent tôt finissent un jour ou l’autre par accomplir le geste exceptionnel, le fait qui marque, l’acte grandiose qui change et leur vie et celle de ceux qui les entourent...
Nous portons en nous toutes les possibilités d’épanouissement et de succès. Combien d’entre nous ressentiraient la réussite de leur prochain comme la leur ? Il suffit simplement de nourrir de bonnes intentions pour qu’arrive enfin la période des vaches grasses, celle de la prospérité, de l’excellence. En réalité - et je le sais maintenant - c’est en tendant la main aux autres, c’est en ouvrant son coeur que nos prières finissent par arriver jusqu’à Dieu - peu importe Lequel, et loin de moi l’idée de m’engager comme prédicateur pour la suite de mon existence que je souhaite consacrer à ce qui m’est le plus cher au monde : l’écriture...
Pour nos amis du Blog, je souhaite que l’année 2006 soit merveilleuse, riche de surprises, d’amour et de bonheur. Et pour mes collègues écrivains, que souhaiter de plus que la création en toute sérénité ? Je ne doute pas que nous serons émerveillés par des textes d’auteurs qui viendront enrichir le grand concert des littératures mondiales. Nous ne manquerons pas d’applaudir ces exploits...
Enfin, je salue l’ombre de ma défunte mère Pauline Kengué. J’adresse mes pensées amicales à plusieurs écrivains : JMG Le Clézio(en photo au début de cette chronique), Paula Jacques, Pierre Assouline, Henri Lopes, Venus Khoury Ghata, Abdourahman Waberi, Khadi Hane, Salim Bachi, Michel Le Bris, le mentor Dany Laferrière, Daniel Picouly, ces amis qui, de près ou de loin m’ont tendu la main pour que seule compte le règne de la littérature, rien que la littérature...
Bonne année
